L'hôpital des Enfers (Os) - LS

L'hôpital des Enfers.

POV LOUIS :

- LÂCHEZ-MOI ! VOUS N'AVEZ AUCUN DROIT ! LÂCHEZ-MOI !

- Vite, donnez-lui un sédatif !

- NON !

Ils m'enfonçait cette merde dans le sang, et je me calmais aussitôt. Je ne sentais plus mes jambes, ils me traînaient jusqu'à ma nouvelle chambre que j'allai partager avec un mec.

Du bloc A, je suis passer au bloc D. Certainement la plus grande dégradation qu'ils leur est était donné de voir.
Ils me poussaient dans ma chambre et avant de refermer la porte, un infirmier me dit :

- Ton colocataire de chambre n'est pas encore là, il est en thérapie.

Puis il sortit.

Ah oui, je ne me suis pas présenter, moi c'est Louis Tomlinson, j'ai 25 ans et je suis interné en hôpital psychiatrique depuis 3 mois. Les gens pensent que je suis fou, car j'ai "tué" mon frère, sauf que ce n'est pas moi. On m'a tendu un piège, et par je ne sais de qu'elle manière, on a réussi à mettre mes empreintes sur l'arme et à trafiquer la vidéo surveillance du parking où se trouvait mon frère avant d'être assassiné.
Lorsque j'ai appris la nouvelle j'ai était détruit. Mon frère était mort et tout prouver que c'était moi.
Mais c'est faux.

Un infirmier rentre dans la chambre accompagner d'un garçon de mon âge sûrement.

- Louis, voici Harry vous serez ensemble dans cette chambre. La pause du dîner est dans 2h.

Il referme la porte et me laisse seul avec lui. Il est grand, chatain avec les cheveux bouclés et avec les yeux verts.
Harry vient s'assoir à côté de moi sur mon lit, avant d'engager la conversation :

- Alors pourquoi t'es là toi ?

- J'ai tuer mon frère, mais c'est faux !
On m'a tendu un piège

- Oh

- Et toi ?

- Euh, j'ai-j'ai battu un ami à mort.

- Alors pourquoi t'es dans ce foutu hôspital, et pas en prison ?

- Parce que c'est des voix dans ma tête qui m'ont dit de le faire, mais je ne le voulais pas.

- Oh

- Parle-moi de toi

- A quoi cela servirait ?

- Autant tuer le temps à deux...

C'est vrai, on s'ennuie à mourir ici, et si je ne trouve pas rapidement des occupations, je tombe encore plus dans la folie, donc autant tuer le temps et lui raconté ma vie.

- C'est vrai. Avant ça j'avais mon boulot de policier, puis on m'a interner ici, mais je suis persuadé que tous ces médecins et infirmiers sont contre moi et savent très bien que je suis innocent.
Je dois savoir quel est ce complot.
Fais attention, ils pourraient s'en prendre à toi...

- T'en fais pas pour moi Louis.

- Comment sais-tu mon prénom ?

- Euh, c'est l'infirmier de tout à l'heure qui me l'a dit.
Mais comment les policiers ont-ils pu te soupçonner ?

- Je me rendais dans ce même parking, j'avais entendu des bruits suspsects, je pensais que c'était deux hommes qui se battait violement. Donc pour me protège de tous risques je suis entré dans ce parking, avec mon arme de service à la main près à me défendre, en cas de danger.
Mais lorsque je suis arrivé un homme s'était enfui, avant de regarder bizarrement une voiture.
Je me suis alors approché de cette voiture, l'arme toujours pointé devant moi, sauf qu'en arrivant j'ai vu mon frère mort, au volant de sa voiture, une balle dans la tête...