- Benji s'il te plait, dit-Samia
- Non Samia ! Notre amie est entre la vie et la mort et tu me dit, de me calmé, vous êtes tous aveugles ou quoi . On peut la retrouver avec une jambe ou un bras en moins merde ! Crie-Benjamin
- Jeune homme, calmez-vous maintenant. Ils ne vont pas la tuer, ni la faire énormément souffrir dit-M. Bernard
- Et comment vous savez ça vous ? Demande Emma en le regardant droit dans les yeux
Benjamin attrape M. Bernard par la chemise
- Où est-ce qu'il l'ont ramené, dites-le nous tout de suite, crie Benjamin en secouant M. Bernard
Les filles courent vers Benjamin et le tire pour le séparer de M. Bernard
Benjamin a le regard plein de colère et de haine.
Une fois que les deux sont séparés M. Grégoire est remonter
- Mais tu es devenu fou Benjamin! Levé la main sur un professeur, on vous la dit que l'on ne sait pas où elle est, donc tu n'as pas à t'inquiéter, il ne lui arrivera rien ! Dit M.Thomas
- J'espère pour vous, parce que sinon, ça va mal se passer dit-Benjamin
Benjamin prend son sac et s'en va laissant derrière lui les filles et les professeurs sous le choc
Les filles descendent pour rejoindre Benjamin
- MAIS TU ES MALADE OU QUOI BENJI ! Crie-Alexandra
- Mais il te prend quoi pour réagir comme ça avec les professeurs ? Lui demande Emma
- Nous aussi on a envie de les tuer, mais on le fait pas, alors contrôle toi dit-Noémie
- C'est notre meilleure amie qui es là-bas, dans ce pétrin, finit par dire Samia
Benjamin les regarde dans les yeux et s'excuse. Ils décident de tous rentrer l'attente risque d'être longue
Dans l'entrepôt
- Vous voulez ma photo ? Non ! Bah alors, aidez moi à sortir d'ici au lieu de me regarder comme des chiens battus, dis-je aux hommes dans la salle
Ils ne me répondent même pas donc je décide de crier
- A L'AIDE !! AIDEZ MOII
- Fermez là ou j'appelle le chef, dit l'un des hommes
Je le regarde droit dans les yeux
- Mais bien sûr allez-y, appeler votre sous merde. Je n'ai pas peur de lui pour votre gouverne et encore moins de vous, alors remballer vos menaces, dis-je avec un sourire
Ils me regardent puis décident de regarder dans une autre direction,
- Pathétique pff, dis-je
Bon maintenant je ne peux qu'attendre, car personne ne viendra m'aider. Malheureuse que je suis !
Au même moment au bureau
- C'est qu'elle ligne ? Dit Albert avec colère
- La ligne 4 monsieur
- Bonjour chef - dit Albert avec une voix toute gentille- , euh oui elle est bien là, (une pause), mais pourquoi Chef ? .... D'accord merci au revoir
Albert raccroche furieux
- Fait chier, merde. Quand on commence à s'amuser, on nous gâche tout dit-Albert
- Qu'est-ce qu'il se passe Monsieur ?
- Le chef, nous a dit de ne rien faire de grave à la petite Kat, enfin rien de grave ne veut pas dire rien du tout dit-Albert
L'autre homme le regarde perplexe
Albert et son homme entrent dans la salle, je me redresse. J'ai réfléchi à une stratégie vue que personne ne veut m'aider ! Dès qu'il s'approche de moi je lui fous un gros coup de tête, dans la gueule, ensuite je me lève avec la chaise -vus que je suis attaché- et je les tape tous un par un, avec la chaise bien sûr. Ensuite j'essaye de prendre un objet pour me détacher et je cours.
Oui vue sous cet angle, l'idée a l'air folle et même irréalisable, mais ne vous inquiétez, j'ai plus d'un tour dans mon sac !
Albert s'approche de moi, il dit à un des hommes déjà présents dans la salle de prendre le chariot et de sortir avec les deux autres
- Toi aussi sort , dit-il à son assistant (si je pourrai dire)
- Mais ... ,il à peine commencer que M. Albert lui coupe la parole
- JE T'AI DIT DE SORTIR ! Crie Albert
L'homme sort et Albert prend la chaise qui était posé dans le coin de la salle et s'installe dessus en face de moi et me regarde. Toujours trop loin pour l'attaqué. Merde !
- Je pense, que vous devriez éviter de couper la parole à tout bout de champ, dis-je pour briser le silence
- Je fais ce que je veux, que cela te plaise ou non ! Dit-il en me souriant
- Si vous voulez me taper, allez-y que l'on en finisse une bonne fois pour toute !
Il me regarde et se lève. Mince, je vais mourir, il se rapproche de moi, il se met dans la position grenouille et il commence à me caresser la joue
- J'ai reçu un appel de mon chef et il m'a dit de ne rien te faire, mais vu que tu m'as cassé, le nez faut bien que je te fasse quelque chose
Je recule un peu ma tête et essaye d'éviter son regard, et je me dis que c'est maintenant que je dois agir. Mais au moment où je veux le taper il se lève et marche dos à moi vers sa chaise et d'un coup il se retourne et me met un gros coup de poing sur la tête, puis il enchaîne les coups de poing, sur la tête et sur le ventre
Chez Katherine au même moment
Benjamin est dehors, il fume sa cigarette, quand Emma le rejoint (Emma est celle avec qui Katherine est le plus proche), elle s'asseoit devant lui, mais il ignore complètement
- Benji, je veux des explications !
- Des explications de quoi, dit-il sans la regarder
- Benjamin pourquoi tu as réagi, comme ça ? dit Emma
- (il se tourne vers elle). Parce que j'aurai réagi comme ça, pour tout le monde. Sauf pour certaines personnes, et aussi parce que, comme tu le sait moi et Katherine, on aime bien se taquiner et la voir dans cette merde me fait mal et je me sens coupable de n'avoir rien fait
- Tu ne pouvais rien faire Benjamin, ni toi ni moi ni personne. Alors ne prend pas tout sur tes épaules. Maintenant on ne peut qu'attendre qu'elle revienne
- Oui tu as raison. ( un silence s'installe). On rentre, il fait un peu froid, dit-Benjamin avec un petit sourire forcé
Elle lui rend son sourire et il rentre
Dans l'entrepôt
Je suis en sang, je n'en peux plus, j'ai mal partout. Mon nez est probablement cassé à cette heure-ci. Ma bouche est gonflée, je ne peux même pas crier, mes yeux gonflés, je ne vois plus rien.
Albert est sorti depuis maintenant 5 minutes .
J'entends quelqu'un rentrer dans la salle, la personne s'approche et elle me pique le bras à nouveau.
Je me réveille dans la voiture, quelqu'un m'ouvre la porte et me ramène vers une maison, avec le peu que je peux voir, j'arrive à distinguer ma maison.
La porte s'ouvre et ...
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Life change
Ficção GeralLe 07/01/16 le discours de cet homme à bouleverser nos vies . Nous étions 16 étudiants ;10 filles et 6 garçons .
I'm afraid because i know i can't fight, but i want to fight
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