Histoire de deux squelettes

Explications et but

Enfin, ma «douleur» allait s'arrêter ! Bizarrement, je ne sentais pas le «pinceau» sur moi.

- T'es fou ou quoi ?!!
- Qui... Qui... Qui me «parle» ?

Ma «morsure» au «coeur» se calma d'un coup, en «entendant» cette «voix». Surpris que cette «personne» ai pu aussi vite «guérir» ma «blessure», je me retournais mais ne vis... personne.
«Déçu», je pensais que mon «esprit» m'avait «joué un tour», mais j'«entendis» une «voix outrée», plus bas que moi, me «réprimander» :

- T'es idiot ou quoi ?! Attaquer ton âme comme ça ! Tu aurais pu mourir, espèce de débile !

C'était mon «pinceau»...

- ? *penche la tête sur le côté d'un air d'incompréhension*

- Tu... Tu ne sais pas ce qu'est une âme ?

- Ben... Je connais le «mot» : «âme» mais... Je ne sais pas pourquoi, les «mots» me viennent seuls à l'«esprit».... Par «exemple», quand je vous ai vu, j'ai tout de suite pensé : «pinceau». Mais, je ne savais pas que vous «parliez»...

- Normalement, les pinceaux ne parlent pas. Moi... on peut dire que je suis une exception. Tu m'as réveillé grâce à ta magie et, me voilà pour t'aider à apprendre ! Tu peux m'appeler Maître, Seneï, ou même Maître Pinceau Suprême !

- D'accord, «Senseï» !

- Bien, tout d'abord, laisse-moi t'expliquer que ton âme est ta vie et que...

- Ma «vie» ? C'est quoi ?

- Tu ne sais même pas ça ? Petit, ton éducation est à refaire.... Pour cela, il nous faudrait des livres !

- Des....«livres» ?

- Écoutes, il faut que tu nous en créé. Pour cela, imagines des rectangles de feuilles remplies d'écritures. Imagines les rangées dans un grand bloc. Ça y est ?

- O-oui !

- Bien. Maintenant, brandis moi dans les airs et rabaisse moi devant toi en criant le mot bibliothèque, O.K. ?

- Oui, «Senseï» !

- Allez, un, deux......Et top !

- Je veux une «bibliothèque» !

Une «grande lumière» apparut et, une «étagère» remplie de «livres» émergea de la «fumée». Je fus «émerveillé» parce qu'il venait de se «passer»... Et fus fier d'avoir réussi à «CRÉÉR» quelque chose d'autre que le «miroir», les «feuilles» et la «peinture». Je «courus» vers ma «création» et pris un de ces «livres» pour le regarder : il était vraiment constitué de «feuilles de papier colorées», et il y avait sûr certaines, des «choses écrites» dessus. N'arrivant pas à «déchiffrer», je me retournai, l'air «dépité», vers mon «Senseï» et, lui fit comprendre que je ne savais pas de quoi parlait ce «livre». Il «souffla» et s'«exclama» :

- Comme on n'est plus à ça de près, je vais aussi t'apprendre à lire, d'accord ?

- B...bien sûr, «Senseï» !

Les jours qui suivirent, j'appris tout plein de choses : à lire, à écrire, et bien sûr, tout ce qui était inscrit dans les livres. Mon Senseï était impressionné par ma capacité à apprendre aussi vite.
Un jour, je vis que mon maître avait l'air préoccupé. Je m'approcha timidement de lui et lui demanda :

- Euh.... Est-ce que vous allez bien, maître ? Je peux vous aider ?

- ................. Je..... réfléchissais.... on a plus beaucoup de temps.....