Chapitre 1

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Je veux sentir l'orgasme venir...tes mains sur moi me donne envie d'être a tes pieds pour monter tranquillement. Je veux que tu me lacère de tes douces mains et que tu me laisse te faire du bien. Je veux que tu me tend ta poitrine sans honte et continuer jusqu'à plus arrêter. Je veux sentir la chaleur et la sueur de ton corps sur le mien. Je veux que tu puisse ouvrir tes jambes comme si c'était la première fois. Je veux que tu m'embrasse comme si c'était la dernière fois. Je veux que tu descends , monte, avance et recule tout ce que tu veux mais fait le comme tu a en envie. Quand tu commencent tu ne peux plus arrêter. Quand tu te déshabilles je m'exalte. J'ai du plaisir a te regarder t'avancer vers moi, l'air si naïve. J'ai envie de te dominer et te chevaucher comme un roi. J'ai envie de te lécher ce qui te fait t'en de bien. J'ai peur que mes yeux quittent te corps et que mes lèvres quittent les tiennes. J'ai peur de perdre l'envie de t'aimer. Je veux voir le sourire sur tes lèvres quand tu a terminer de m'envier. Je veux voir décoller ton corps du mien et retrouver le froid. Te voir te rhabiller comme si il c'était rien passer entre toi et moi...

Je passe dans le corridor et je te vois travailler et comme si hier était rien, tu crouse un mec. Comment peut tu oublier se que ta ressentie avec moi. Quand le cour fini, tu va a ta case et je suis juste a coter de toi mais tu ne me jette même pas un regard. Pourquoi je me sens aussi rejeter. Pourquoi tu fait comme si je n'existerai pas. Je me demande si un jour tu me regarderais. Quand on est dans le même cour et qu'on est en équipe, tu ne me parle même pas et quand c'est le cas c'est pour me dire de travail... Ton regard si vide envers moi me transperce comme des lances. Quand tu me touche l'épaule en éduc, mais main tremblent. Quand tu me lancent un ballon et qui me frappent de plein fouet au visage je le comparent a une giffle de ta part. Quand tu regarde dehors en cour comme dans l'autobus, j'ai juste envie de t'imaginer repasser le film qui c'était passer. Quand tu te retourne et que je me tourne rapidement, tu lance toujours un léger soupire qui me laisse a croire que je suis encore vivant. Quand tu débarque de l'autobus c'est comme quand tu ma laisser au froid sans toi...

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