One piece :Le fruit de la vie

Chapitre 8

- Et bien moi, mon objectif c'est de trouver une personne.

- Une personne ? Qui ça ? fait Ussop.

- Je ne sais pas qui c'est, ni où et quand je le trouverai mais il est certain qu'il me libérera de mes souffrances.

- De tes souffrances ? fait Luffy ne comprenant pas de quoi je parlais.

- Oh ce n'est rien, dis je. En tout cas j'ai besoin de trouver cette personne et je sais que je ne pourrais pas la trouver en restant avec vous.

Luffy n'ajouta rien mais je sais qu'il n'a pas renoncer à ce que je les rejoignent. Ils sont sympathiques, joyeux et je suis certaine qu'ils ne me laisserais jamais tomber. Seulement je ne peux pas me permet de refaire les mêmes erreurs qu'autrefois, ce serait trop douloureux.

Je descend sur l'île, et prononce ces dernières paroles.

- Vous tous, si vous voulez atteindre vos objectifs, restez toujours avec vos amis ! leurs criais je pendant que leurs bateaux partais.

Je les entendit me répondre que j'étais l'une des leurs amies et qu'ils m'accepteront toujours sur leurs navire.

Me retournant, je prend un sentier de la forêt menant au village.

Je leurs donnent un conseil que je n'applique même pas pour moi même. Mais bon, ce que j'ai dit, ne s'applique pas à moi et ne s'appliquera sans doute jamais.

~ ~ ~

Arrivé au village, je me procure un escargophone pour appeler Silvio.

J'étais sensé retrouver Silvio il y a deux jours mais avec les complications qu'il y a eu, ça m'a été impossible.

Je fais le numéro de son escargophone et attend qu'il décroche.

Point de vue de Silvio:

Assis dans un bar, je bois tranquillement en tendant une oreille pour écouter la discussion de deux soldats de la marine.

Ils discutent à voix basse de la prochaine opération de la marine. Opération qui aura bientôt lieu.

Les deux soldats se mettent à rire et change de discutions.

En ayant assez entendu, je pose l'argent pour la boisson et quitte l'établissement.
Je marche à travers le dédale de rue et m'engouffre dans un autre bar.

Je le traverse sans jeter un regard au personne, sachant très bien que ce bar est mal fréquenté. Mais c'est aussi pourquoi j'y viens, ici je sais qu'aucun soldats de la marine ou autre ne viendra déranger mes affaires.

Je contourne le contoire, donne une petite tape sur l'épaule du barman, et entre la clé dans la serrure de la porte de mon bureau. Je referme la porte à clé et m'installe tranquillement dans mon fauteuil.

Aujourd'hui encore, je n'ai pas eu de nouvelles de Ria. Nous devions nous rencontrer ici il y a deux jours, mais elle n'est pas venu. Je sais qu'elle est poursuivi par le gouvernement et la marine et il y a sûrement eu des complications mais je m'inquiète sincèrement de ne pas avoir eu de nouvelles.

Autrefois, je ne me serais jamais inquiété pour personnes, je n'aurais jamais levé le doigt pour aider quelqu'un, mais pas pour elle.
Pour elle, c'est différent. Ria a en quelques sortes vécu les mêmes choses que moi, mais en dix fois plus pire. Et c'est pour ça, que je désire l'aider à atteindre son objectif, à accomplir sa mission.

Parce-qu'elle est comme moi. Sans famille, une souffrance qui nous hante à chaque minutes et une mission qui paraît impossible à réussir mais qu'il faut accomplir.

- Pulepulepule Pulepulepule...

Le son de l'escargophone me fit sursauter. Je décroche.

-Gatcha.

- Oui ? je grogne.

- Tu ne m'as pas l'air de bonne humeur, fit la voix de l'autre côté du fil.

Je sursaute une nouvelle fois au son de la voix que je reconnaîtrais entre mille.

- Ria ! m'exclamais je. Où est tu ? Pourquoi n'était tu pas au rendez-vous ? la questionnais je plus pour voir si elle allait bien que pour connaître les réponses.

- Je vais bien, souffle t-elle. Je suis tombée sur la marine qui a coulé mon bateaux. Résultat, je ne peux pas venir jusqu'à Martia pour te voir. Je t'appellais pour te prévenir que je n'arriverai pas avant un moment.

J'expire de soulagement.

- Si tu veux, je peux venir te chercher ? lui proposais je.

-Ce ne serait pas de refus. Par contre je ne sais pas sur quelle île je suis.

- À quoi ressemble t-elle ?

- C'est une petite île presque entièrement recouverte de forêt où il n'y a qu'un petit village de pêche avec des maisons en pierre toutes semblables.

- Ok, c'est bon. Je vois où c'est. Je serais là d'ici demain.

- Parfait, je te remercie, finit elle avant de raccrocher.

Je me lève et quitte mon entre. J'ai hâte de la voir et de lui fournir les précieuses informations que j'ai récolté.

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Coucou.
En retard, mes excuses.

Aimez vous le personnage de Silvio ?
Quelles sont les informations qu'il a récolté ?
PS: Silvio en média.

À suivre dans le prochain chapitre.