Chapitre 1

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La main de James caresse doucement ma joue et je me laisse aller à cette simple caresse, il murmure de façon sensuelle à mon oreille qu'il m'aime et je laisse échapper un gémissement d'entre mes lèvres lorsque je sens son autre main glisser le long de mon corps laissant derrière elle une rivière de sensations et de frissons. Il m'en faut peu avec lui, il sait comment y faire avec moi.

Aussi avec les autres ...

Ses lèvres se pose sur ma poitrine et je me mords la lèvre inférieur.

Bipp bipp bipp

Mon réveille me sort de mon rêve merveilleux. Ce retour à la réalité est assez brutale tout de même, il faut croire que la vie se moque du fait que je commençais à croire en se rêve, à le confondre avec la dure réalité. J'ouvre les yeux difficilement.
Deux, deux semaines... Deux foutus longues semaines que je n'ai aucun signe de vie de James, depuis la dernière fois dans la maison, à ce moment là il a mis une distance entre nous que je n'ai pas compris... Il faut croire que je me suis trompé à son sujet.

J'éteins le réveille qui fait un bruit atroce et me lève péniblement de mon lit. Il est 17:30 il faut que j'aille travailler.

Dans les premiers jours de la séparation ? Est ce une séparation ? Bref durant les premiers jours de cette étrange distance entre James et moi, j'avais beaucoup d'espoirs en allant au travaille, telle l'idiotie que je suis je me disais " même si il ne répond pas à mes messages je peux toujours le voir au clayps !il y va souvent avec les gars ! " Mais non pas une trace de lui, je me suis faite une raison de toute manière...

Je suis déjà habiller, et oui je ne sors pas ou plus, après ma journée de cours je vais dans mon lit et je finis par m endormir, je me réveille uniquement pour le travaille. Je fais pitié, je ressemble au genre de filles que je déteste, je suis désespérante, je me désespère toute seul...

En descendant les escaliers je n'ai pas à essayer d'éviter ma mère comme j'ai pris habitude de le faire pour éviter ses questions trop indiscrète, elle est chez une amie.

Je mets mes converses, elles passent très bien avec mon jean et ce haut simple blancs un peut décolleté, j'enfile ma veste et pars au travaille seul, je ne fais plus les trajets avec Caro, ses questions sont trop indiscrètes lorsqu'elle essaie les chemins tel que James ou Greg.

***

Je passe les portes du Clayps et fil dans les vestiaires pour éviter les taquineries de David.

Pas la tête à ça..

Dans les vestiaires je tombe sur Caroline, elle est superbe.

Comme d'habitude.

Ses cheveux sont montés en une queue de cheval haute, alors que les miens me tombe sur le visage et hurlent que je sors du lit. Elle me sourit, ce genre de sourir doux qui fait que je me suis effondré dans ses bras mais je n'ai pas pleuré, je ne pouvais pas même si tout mon corps tremblait de chagrin.

- Je sais que s'est dure... Dit elle en me frottant le dos. Mais je...

Je relève la tête pour la regarder et la coupe.

- je t'en supplie ne dit pas " mais je t'avais prévenu. "

Son visage s'adoucie encore plus et je ne pensais pas que s'était possible, elle retire une ou plusieurs mèche qui commençaient sérieusement à me gêner sur mon visage.

- Mais je suis là, continu t elle, je serais toujours là.

Je n'ai pas besoins de lui dire merci, elle le lit très clairement dans mes yeux.

Pour finir cette scène adorable mais pathétique pour moi elle m'embrasse au dessus de la tête et quitte les vestiaires pour me laisser me changer seul.

Je suis souvent seul en ce moment je sais .

Le tablier revêtu, je monte mes cheveux en un chignon coiffé décoiffé et sors à mon tour de cette pièce. En arrivant dans la salle je rentre dans un client, forcément si j essayais de me concentrer ! Quelle conne.

Je commence à me fondre en excuse quand je regarde la personne en question.

- C'est pas vrais, je rêve...

Je me sens tellement petite, tellement mal mais en même temps je ne sais pas peut être soulager. Son regard finis par croiser le miens et mes dents se plantent dans ma lèvres avant que je puisse prononcer ou bafouiller :

- Bonjour James ..

Reviens moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant