Roly poly

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PDV Mégane
Je décida d'aller me coucher était donné que j'étais crevée. Je marchais en direction de ma cabane, mais des bras me tirèrent en arrière et encerclèrent ma taille. Un murmure me demanda :
- Tu ne pensais pas aller dormir sans moi ?
Je souris toute seule.
- Je ne demandais que ça.
Peter me tira et je me retrouva dans sa cabane. Il ferma la porte.
Je m'asseilla sur le lit et enleva mon pull.
Je fis apparaître mon pijama, une longue robe bleue marine fluide qui ne me moulais pas.
Je retira mon tee-shirt en prenant bien garde que Peter se trouvait derrière moi. J'enfila ma robe et enleva mon pantalon ainsi que mes chaussures. Je me releva et pris mon téléphone pour écouter de la musique.
Je ne pensais à rien. La musique envahi mes oreilles.
Peter s'écroula sur le lit façon Patric l'étoile de mer, me faisant sauter en l'air.
- Fais gaffe, crétin !
Il me regarde en plissant les yeux.
- Comment tu m'as appelé ?
- Crétin.
Il attrapa mes poignets et me dit :
- Mégane, tu sais ce que je fais aux filles blondes avec une robe de chambre bleue marine qui m'ont traité de crétin ?
J'avala difficilement ma salive.
- Heu... Non.
Il s'approcha de mon oreille et me dit :
- Je leur fais regretter.
Il commença à me chatouiller.
- Putain... Ha ha... Peter, j'arr... Hi hi... J'arrive plus à... Ha ha ! Respirer.
Il arrêta et me regarda fixement.
- Merci.
On resta là, à ne rien dire. Juste se regarder. Il passa sa main dans ses cheveux bruns et souffla agacé.
- Ça va ?
- Ouais.
Il marqua une pause.
- Ouais, en fait, non.
Je pris ses mains dans les miennes.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Ça m'énerve car j'hésite entre le fait de faire savoir qu'on est ensemble ou ne rien dire.
J'approcha timidement mon visage du sien et c'est lui qui combla l'espace restant. On se décolla légèrement et je lui dis :
- Dis leur !
- Mais, si je leur dis, ils vont peut-être en profiter pour me faire chanter ou je ne sais quoi !
Je rigola doucement. Il était limite rouge de colère et sa mâchoire était contractée. C'est pas croyable que Peter soit si méfiant !
- Peter, ce sont tes frères. Ils ne peuvent pas te faire de tord.
Il se calma un peu et je murmura à son oreille :
- Ce n'est pas toi qui m'as dit que Peter pan n'échoue jamais ?
Je m'éloigna de lui et il me souriait.
- Si. Je n'échoue jamais.
Il embrassa ma mâchoire.
- Sauf une chose.
Je m'écarta de lui.
- Quoi donc ?
- Je n'ai pas su conquérir ton cœur plus tôt.
Je rougis malgré moi.
- T'es mignonne quand tu rougis.
Je lui donne une petite tape sur l'épaule.
- Pffff, t'as pas de force, toi !
- Non.
Il me pousse légèrement et bascule au dessus de moi.
- Mais heuuuuuu, c'est pas juste, pleurnichais-je.
Il sourit et me dit :
- Rien n'est juste, seulement les jeux.
J'essaie de le pousser, mais je n'y arrive pas.
- Hé, mais dit donc, tu t'entraîne des fois ?
Je me regarde. Bon, je suis toujours aussi ronde.
- Ben, oui.
- T'as pas de force.
Je souffle.
- Bon, un bisou et tu me lâche ? ( la personne qui trouve d'où viens cette phrase, je lui fais une dédicace ).
Il sourit. Je l'embrasse et me décolle au moment où il allait répondre au baiser.
Je glisse sur le côté.
- C'est qui la meilleure ?
Il arque un sourcil.
- Ben, vu que t'es la seule fille ici, toi.
- Roh, ça va, râle pas !
Je baille a m'en décrocher la mâchoire.
- T'es fatiguée ?
- Ouais.
- Dors.
Je me glisse sous les draps et commence à fermer les yeux.
Deux bras encerclent ma taille et des lèvres viennent déposer un bisou dans ma nuque, puis dans mon cou.
- Bonne nuit, Petit Ange.
Je prends ses mains dans les miennes.
- Bonne nuit, Peter.
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Ce chapitre est nul, ne m'en voulez pas s'il vous please

Mon ombreDonde viven las historias. Descúbrelo ahora