- : ET TOI T'AS QUE CA A FAIRE DE FOUTRE LA MERDE ? SALE ENFOIRER !

- Samir : MAIS RANI C'EST MON PETIT FRÈRE ZEUBI ! C'EST MON REUFRE.

- Bilel : QUOI ?

- : QUOI C'EST TON FRÈRE ?

- Samir : Et ouais je savais pas putain...

- : EN PLUS C'EST TOI QUI A ENVOYER LA PHOTO ! BAAH BRAVO MORAY !

- Youssef : PETIT BÂTARD CASSE TOI ET DIS BIEN A TON P'TIT FRÈRE QUE SI IL TRAÎNE AU TOUR DE NESRINE JE LUI FAIT COULER SON DEM.

- Bilel : W'ALLAH T'ES UN GROS CON TOI LA VIE.

- Samir : MAIS COMMENT VOUS ME PARLEZ LA CON DE VOS RACE J'SUIS PAS VOTRE PÉDÉ MOI !

- Bilel : AS-Y TA GUEULE ET VAS-Y DIRE A TON FRÈRE VAS-Y !

- : OUAIS ET ARRÊTE DE FOUTRE LA MERDE.

Younes: NEYLA J'VAIS TE NIQUER FERME TA PUTAIN DE GROSSE GUEULE.

Youssef: TOI.

Il donne un coup de pieds à Younes.

- Youssef : PARLE BIEN PÉDÉ !

Younes se lève pour lui mettre une droite mais Samir et Bilel les séparé.

- Bilel : Vas-y Neyla prend le, ils vont encore se battre allez dans l'autre chambre.

 J'étais à bout.  

- : Non c'est bon on part.

Je prends Younes par le bras, au début il ne voulait pas me suivre. Mais il a finit par cédé. Nesrine nous rejoint avec son sac à la main. Nous sortons du bloc. Et vous savez quoi ? En ouvrant la portes il y avait deux jeunes filles qui écoutaient à la porte. Younes leurs a donné une gifle chacune. J'étais choquée, il était allé fort. Les deux adolescentes pleuraient en s'enfuyant. Nous descendons jusqu'en bas. Les teneurs de murs étaient toujours là, je n'ai pas prit la peine de leurs dire bonsoir. J'étais pas d'humeur. Nous priment la voiture de Younes.

- : Tu veux que je conduise ?

- Younes : Non.

- : Mais...

Il me coupe d'une façon violente.

- Younes : Vas-y m'énerve pas.

Je me lève et vais m'asseoir derrière à coté de Nesrine. Il m'énerve ce gros nerveux. Toujours à s'énerver pour rien.

( ... )

Nous sommes enfin arrivé devant la maison. Le trajet n'a pas été très long. Younes roulait vite, comme un fou. Nesrine et moi essayons tant bien que mal de cacher notre peur. L'ambiance était glaciale. C'était pesant. Je sors de la voiture avec Nessrine mais Younes restait dans la voiture.

- : Tu vas ou ?

- Younes : Je vais graille un kebab.

- : T'es sérieux toi ?

- Younes : Y a quoi même ?

- : Ont peut venir ?

- Younes : C'est mort.

- : Euh pourquoi ? Ont put peu être ?

- Younes : Ouais.

Pff. Connard.

- : Ok ok.

- Younes : No sah je t'en ramène un.

- : Pourquoi je peux pas venir alors ?

Oui, pour la vie.Where stories live. Discover now