Chapitre - 19

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[...] Quand une explosion se fit entendre à l'intérieur du QG.

Les murs avaient tremblé on aurait dit un tremblement de terre.

Ezarel : Qu'est-ce que c'était que sa ?

Je m'apprêtais à sortir pour aller voir ce qui se passait mais il me retint.

Ezarel : Tu compte vraiment sortir ?

Moi : Bien sur , il y'a peut être des blessés..

Ezarel : Et qu'est-ce que tu compte faire ?

Moi : Les soignés je sais pas moi mais en tout cas pas resté ici les bras croisés.

Ezarel : Hahaha toi les soigné ?! Tu n'a servis à rien jusqu'à aujourd'hui qu'est ce que tu vas faire ?

Il n'arrête pas de me dire que suis inutile en se moment ! C'est pas totalement faux mais il pourrait au moins avoir un peu de tact..

Moi : Je me fiche de savoir si je suis inutile ou pas !

Miiko entra soudainement dans la chambre.

Miiko : Ezarel !

Ezarel : Miiko ?

Miiko : Je veux que tu vienne dans la salle du Cristal d'ici 5 minute.

Ezarel : Ok..

Moi : Qu'est ce qui c'est passé ?

Miiko : Ah oui et en passant toi tu ne sors pas d'ici !

Quoi ?!

Moi : Si !

Miiko : Non !!

Moi : Je vois pas pourquoi je devrais t'obéir !

Ezarel : Non mais elle se prend pour qui..

Moi : Je sors !

Miiko : Tu ne sors pas un point c'est tout.

Elle ne me laissa même pas le temps de répondre et partit.

Je resta bouche-bée..

Moi : Comme si j'allais resté les bras croisés..

Ezarel : Ta pas entendu les ordres ?!

Moi : Tu ne me crie pas dessus !

Ezarel : Quand est-ce que j'ai crié ?

Il s'avança tout en me regardant droit dans les yeux et se pencha.

Ezarel : Quand on dit un truc t'es sensé obéir , on est tes supérieur.

Je détourna les yeux avant de reprendre.

Moi : En quel honneur ?

Il pris alors son sourire psychopathe.

Ezarel : Tu veux que je te montre ?

Je le poussa de toute mes forces et m'éloigna de lui.

Moi : Je sortirais pas donc tu peut partir.

Il sortit sans dire un mot et sans même m'adresser un regard.

Moi : Si il croient que je vais les écouter !

Je changea mes habits et m'apprêtais à sortir quand je me stoppa.

Moi : Et si on me voyait ?

Je recula puis eu soudainement une idée.

J'ouvris la fenêtre et sauta sans la moindre hésitations.

L'atterrissage fut lamentable , j'avais essayé de me tenir à un arbre mais en vain, mes pieds heurtés avaient le sol tellement violemment que j'ai bien cru qu'ils allaient se tordre. Je lâcha un cris de douleurs et m'appuya contre le mur.

ELDARYA - EZARELOù les histoires vivent. Découvrez maintenant