Addicted to you.

Chapitre 11

J'alluma la lumière et fut surprise de croiser le regard de mon père en face de moi.

«Papa ? Qu... Que faisais tu dans le noir...?»

Il marcha d'un pas lourd et sur de lui en m'approchant. Il me fixa d'un regard noir et il hurla.

«Ou étais tu ! Hein ! Ou ?! Ça fait cinq jours que l'on ne te vois plus ta mère et moi ! Heureusement qu'elle a appelé Jenna ! Et qu'elle savait ou tu étais ! Bon dieu Mina !»

Il se tira les cheveux en tournant autour de moi.

«Je... Désolé papa... C'est que je...» Baffoullais-je avant qu'il ne me coupa la parole.

«Tu sais ce que tu es ?! Une sale petite garce pourri gâté !» Cria-t-il en s'arrêtant face à moi.

Je me contenta de baisser les yeux en mordant ma lèvre pour éviter que mes larmes coule.

«Papa... J... »

Avant que je ne puisse terminer la fin de ma phrase je sentis une douloureuse chaleur sur ma joue, il m'a giflé. Encore.

« Ferme la ! Je ne veux plus t'entendre ! Tu me fais honte Mina !»

«Tu n'as pas le droit de dire ça ! Ta pas le...»

Je tomba au sol du au coup brutal qu'il vint de me mettre au visage. J'essayais de me relever mais il me poussa à nouveaux au sol en frappant à nouveaux au visage.

«Papa arrête... S'il te plait...» Dis-je en pleurant à chaude larme en me protégeant du mieux que je pouvais

«Tu es une enfant gâché Mina ! Tu me fais honte !» Dit-il en tapant sur mes bras.

Il arrêta tout mouvement en reprenant son souffle et il se releva sans me lancer un seul regard.

Comment pouvait-il me dire ça. C'est inhumain de dire ça a sa fille. Bordel mais qu'ais-je  fait ? Ou est passé le père qui me traité comme une princesse et qui m'appelé ainsi.

J'attendis qu'il me tourne le dos et partit en courant à la porte d'entré pour sortir, quand j'arriva a la poignet je me rendis compte qu'elle était fermé. Je me tourna et je vis mon père me fonça dessus. Je cria de toute mes forces. Il attrapa ma taille et me jeta contre le mur.

«Tu comptais aller ou comme ça ! » Hurla-t-il.

Je me recroquevilla sur moi même en pleure tenant mes genoux de mes bras frêle. Mordant mes lèvres pour ne pas dévoiler la douleur que j'avais aux côtes et au crâne.

«Tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre !» Me cracha-t-il en me laissant un regard noir.

Il me faisait peur. Extrêmement peur.

Je monta lentement dans ma chambre.

«Ou vas-tu ?!» Cria-t-il.

«Dans ma chambre...» Dis-je toujours en pleure.

«Bien. Et cesse de pleurer ou je te donnerai une bonne raison de pleurer. »