De Lourds Secrets (Dramione)

Chapitre 8 : Enfermée et la Famille

Point de vue : externe

Hermione s'était enfermée dans sa chambre. Elle n'y sortait jamais. Les Gryffondors s'inquiétait terriblement. Cela faisait maintenant presque une semaine qu'elle n'était pas sortie. Elle était le sujet de conversations de beaucoup de discussion.
Malefoy ne parlait plus. Ni à ses amis ni aux professeurs. Il se demandait si c'était sa faute. Mais bon, bien sûr que c'était sa faute. Et il le savais bien. Il n'arrivait pas à se sortir de la tête les paroles d'Hermione la dernière fois qu'il l'avais vue. " ... Ton père et ses copains Mangemorts ". Il en voulait à son père. Mais attendez. Qu'est-ce qu'il se dit ? Qu'il a peut-être pitié de la Gryffondore ? Impossible ! Un grand sans pure avoir pitié d'une née-Moldue ? Quelle idée farfelue !

Ce soir-là, Ginny se rendit devant la porte de sa meilleure amie.

Ginny : quand est-ce que tu vas sortir ? Tout le monde se fait du soucis !

Pas de réponse. Ginny entendit un murmure et un "pop" sonore. Qu'est-ce que son amie fabriquait ? Tout à coup une mélodie retenti.
Une mélodie merveilleuse, pleine d'émotion. Une mélodie endiablée.
La musique commença à envahir le château. Tout le monde c'était arrêter, et écoutait. Les professeurs s'étaient tus. L'école se plongea dans le silence. Seule retentissait la mélodie du piano qu'avait fait apparaître Hermione dans sa chambre. C'était comme si toute vie s'arrêtaient.
À la porte de sa chambre, Ginny pleurait en silence, sous l'effet de la beauté de cette musique. La directrice se dirigeait lentement vers le dortoir des Gryffondors. Elle traversa le portrait et s'arrêta dans leur salle commune. Tout le monde était immobile et fixait la porte d'où retentissait la musique.
La mélodie s'arrêta. Aussitôt remplacée par une autre, triste et lente. Mais toujours aussi sublime. Comme l'âme de la personne qui jouait. Faisant danser ses mains sur ce clavier blanc et noir. Cette musique était encore plus belle que la première. Et cela était un exploit. Personne n'osait bouger bougeaient. De peur d'effrayer cette douce chanson. La directrice ne semblait pas énervée. Ses traits s'étaient adoucis. Elle s'était assise sur une chaise de la salle. Attendant. Regardant comme tout le monde, la porte de chêne de la chambre, contre laquelle une petite rousse était appuyait et recevait les charme de la musique.
Alors, doucement, le son diminua jusqu'à ne plus rien dire. Le piano disparut. Et la vie repris son cours dans l'école de sorcellerie.
Tout le monde se demandait bien ce qui avait pût arriver à Granger pendant les vacances. Mais eu le deux personnes connaissaient la réponse, mais ne disaient rien.
Cependant, ce ne fut que cinq minutes plus tard que les personnes présentes dans la salle communes des Gryffondors revinrent à eux. Ginny se releva et s'assit dans un canapé, le regard épanoui. Elle avait subis l'enchantement de la musique. Elle souriait.
Le professeure McGonnagall allât alors ouvrir la porte de la chambre qui s'était déverrouillée. Elle poussa la porte, sur Hermione devant la fenêtre. Elle caressait doucement Rouss, son hiboux. Mais la directrice se figea. Hermione, en débardeur et les cheveux attachés en queue de cheval, laissait apparaitre de longues cicatrices rouges.
Son bras gauche était entouré de bandages et on pouvait voir une trace rouge d'une main sur sa nuque. Le "sang de bourbe" incrusté dans son poignet gauche luisait au reflet du soleil. Une tête de mort avait été gravée dans sa peau au niveau de son épaule gauche, et quelques gouttes de sang s'en échappaient.
La professeure se rendit compte alors que l'oiseau avait une lettres accrochée Dans ses Serres.

Hermione : voilà ce qui m'est arrivé pendant les vacances.

Elle se retourna vers la directrice.

Hermione : des Mangemorts m'ont attaqué devant chez moi. Ils m'ont torturé et emmenée dans une forêt. Là, ils ont lâché un loup-garou. Et il m'a mordu. Malefoy aurait dût vous dire la vérité. Mais je vous pris de ne le dire à personne. Pars que c'est mon secret.
MacGo : bien sûr. Et cette lettre.

Hermione se retourna vers son hiboux et constata en effet qu'il y avait un morceau de parchemin entre les ouates de l'animal.

Hermione : je ne l'avais même pas vue.

Sur l'enveloppe, il y avait un sceau. Une fleure de lyse entourée autour de une baguette magique qui ressemblait à la baguette de sureau. Avec, il y avait un petit paquet. Hermione ouvrit la lettre. Et lu à haute voix.

" Très chère Hermione,
Cette lettre te paraîtra sûrement maintenant que Voldemort est anéanti.
En tout cas tout le monde le pense.
Sache que la guerre n'est pas finie, il viendra te chercher.
Tu te demande sûrement pourquoi il aurait besoin de toi ?
C'est pars que tu a des pouvoir exceptionnels, que je t'ai transmis, moi,
Aliennor de Rounenbey.
Tu te demande aussi sûrement qui je suis ?
Et bien, c'est peut être difficile à croire par l'intermédiaire d'une lettre,
mais je suis bel et bien ta mère.
Reste sur tes gardes, tes pouvoirs apparenteront à tes 18 ans.
Le seigneur des ténèbres est morts, mais pas ses fidèles serviteurs,
les Mangemorts.
Ils auront besoin de toi pour le faire renaître.
Ne tombe pas entre leurs mains, sinon tu ne pourra jamais en sortir.
J'en ai fait l'expérience.
En ce moment même, je suis toujours enfermée au Manoir des Malefoy.
J'y suis depuis environ 15 ans.
N'essaye pas de le sauver.
En tout cas pas avant d'avoir la totalités de tes pouvoirs.
Le Manoir est dangereux, tout comme les gens qui y habitent.
Reste loin du fils Malefoy, il à sûrement une mission contre toi.
Ne va pas à Préaulard. Ne sort pas du château.
Narcisse Malefoy va peut être me libérer, mais elle a peur que je me venge sur elle.
Fait bien attention à toi,
Je t'aime,
Ta mère. "

Hermione leva les yeux de sa lettre, et regarda le paquet. Il y avait une fleure de lyse et une baguette. Mais pas n'importe quelle baguette, il s'agissait de la baguette de sureau.

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Voilà voilà,
J'espère que ce chapitre vous aura plu. Je le dédie à ma sœur de cœur qui était impatiente de le lire.
Fantastiquement
EnjoyFantasy