quinze jours après |première partie|

Magsimula sa umpisa
                                    

«Merci pour nous avoir héberger maman.» je la pris dans mes bras.

«Tu vas me manquer ma chérie.» elle était sur le point de pleurer et je savais très bien que si elle s'y mettait j'allais aussi pleurer.

«Je viendrais te voir aussi souvent que possible.» la rassurai-je. Je pris cette fois-ci mon père dans mes bras.

«Je suis content que tu sois avec ce garçon mon lapin.»

«Je suis aussi contente papa.» je lui souris. Harry les salua puis partit m'attendre à l'extérieur.

«Crois-le, il te dit la vérité.» me dit ma mère avant que je ne sorte pour rejoindre Harry.

Harry me sourit quand je fus face à lui. «Allez, on y va Evynou.» me taquina-t-il, commençant à marcher.

«Tais-toi.» souris-je.

«Oh, ne sois pas fâché Evynou.»

«Harry.» gémis-je.

«Oui bébé, j'aime quand tu gémis mon nom.» il me fit un clin d'œil tandis que j'éclatai de rire.

«Ferme-là, tu veux?» je ne pouvais pas m'empêcher de sourire.

«Je ne veux pas, non.» il souriait lui aussi.

«Pourquoi es-tu venu dans mon lit hier soir?» demandai-je.

«Ne me dis pas que tu ne le voulais pas, je serais vraiment déçu.»

«Figures-toi que je ne le voulais pas.»

«Tu mens.» je lui tirai la langue, le faisant rire. Il entrelaça nos doigts ensemble, puis déposa un baiser sur ma joue.

«Est-ce que tu me crois maintenant?»

«Ma mère m'a dit de te croire, je suppose que je te crois à présent.» je soupirai. «Steven m'avait parlé avant ça.»

«Encore et toujours lui.» grogna Harry.

«Évite de marcher sur les branches, on va se faire repérer.» me dit-il.

«Quelles branches?» demandai-je, regardant au sol. Il n'y avait que de la terre, aucunes branches.

«Oh merde.» jura-t-il. Il prit ma main et nous nous mîmes à courir.

«Ne te retourne pas.» me dit-il tandis que nous courrions. Il me tira contre son torse quand nous nous cachâmes derrière un arbre.

«Qui est-ce?» murmurai-je.

«Je ne sais pas mais ne bouge pas, d'accord?» j'acquiesçai et posa ma tête contre son torse alors qu'il resserra son emprise sur ma taille. Il jeta un rapide coup d'œil derrière l'arbre et se cacha à nouveau très rapidement.

«Il est proche.» me dit-il.

«Où sont-ils putain?» nous entendîmes quelqu'un dire.

«Tais-toi, je les vois.»

«À trois, on court.» me dit doucement Harry.

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