Chapitre 22

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J'entend la voie de mon père.
Je sans les caresses de ma mère.
Je sans les bisous de mon hlel.
Je sans l'odeur de mon fils.
Je sans mes larmes couler sur mes joues.

J'ouvre les yeux d'un coup.
Ma respiration est forte comme si je venait de sortir d'un cauchemar. Je regarde ou je suis ; je suis dans ma chambre, je suis en pyjama, il n'y a personne, même pas mon enfant.

J'essaye de me souvenir de tous ce qui c'est passé ; les images viennent petit à petit, des mots et ensuite des phrases et je me souviens de cette dernière phrases, de ces derniers mots ...

Mon frère, accident et comat ; résonne à présent dans ma tête. Ces mots tourne en boucles. Je voulu pleuré mais les larmes couler déjà.

Je m'assois et pleure entre mes mains.

La porte s'ouvra et ce fut ma mère qui entra. Elle s'approcha de moi et me prit dans ces bras, je la séra fort contre moi. Je retrouve enfin son odeur, ces caresse et sa magnifique voie. Oh mon Dieu comme sa m'avait manqué. Ma mère pleuré dans mes bras en me chuchotant des mots doux, j'ai l'impression de rêvé .

-Maman...il il est vivant ? Dis-je en me détachant de ces bras

-Oui...je pence..je ne sais pas...il est dans un état critique... Il est encore dans le coma sa peux duré pour toujours..., dit-elle en essuyant ces larmes

-Je suis désolé maman...je suis désolé d'avoir fait toute ces conneries c'est ma faute si il est là-bas j'en suis sur...c'est ma faute..

Elle me reprit dans ces bras ;

-Non ma fille. Ce n'est pas de ta faute c'est le mectoub... Il nous reviendras In Sha Allah

On parla encore un peux de ce qui c'étais passé depuis notre séparation. Elle m'expliqua la joie quelle ressentais d'être grand mère et la tristesse d'avoir son fils si loin d'elle. Mon père, Najib ainsi que mon fils qui était dans ces bras entrèrent quelques minute après. On était tous triste, on est tous triste. Je vien de perdre, mon sang, mon meilleur ami, mon frère , je vien de perdre un être que j'aimais depuis toujours. Et jamais au grand jamais je ne m'en remettrai. Mais il y a encore de l'espoir il peux encore ce réveiller... On l'espèrait tous...

Ma belle mère a fait du couscous et on en mangea tous dans le silence. Nous étions maintenant en deuil. Et part la suite, en fin de soiré tous le monde, ainsi que moi partions à la Mosquée. Tous le monde fit la prière à par moi car j'ai encore du mal à me baisser avec l'accouchement. Je regarda donc ma mère et ma belle mère faire la prière. Mon fils dans mes bras je pleuré et prier en silence.

Shayna&NajibOù les histoires vivent. Découvrez maintenant