Et dans toutes ses personnes, je reconnus une personne que je croyait ne jamais me haïr. Mike. 

-Nooooon, je vous en supplie, je ne vous ai rien fait, lâcher-moi...

Quelqu'un me secoua se qui me réveilla de nouveau, j'ouvris mes yeux et regardais mon sauveur, je découvrit Mike, me regardant avec peur. Il était assit sur le lit que je n'avais même pas remarqué mais que j'étais allongé dessus. Je m'assit sur ce lit et me tourna vers lui, les larmes au yeux, je le prit dans mes bras en nichant ma tête dans son cou, il frissonna. 

-Je suis désoler... je voulais pas... pleurais-je dans son cou.

Il mis sa main en dessous de mon t-shirt dans mon dos et traça des cercle avec sa main. J'en avais assez d'être faible. 

Faible.

Faible.  

Faible.  

Oui c'est ce que je suis, faible. Je peut le prouver, je laisse un monstre me calmer. Le pire dans tout sa, c'est qu'il réussi. Mes larmes se firent moins nombreuse malgré mes yeux mouillé qui m'empêchais de bien distinguer ce qui m'entoure. Je remarqua soudain que j'étais dans la chambre de l'Alpha. 

Il m'avais sauvé. 

Il était venu pour moi.

Il me calme.

Je lui doit bien un câlin malgré le fait que ce soit un monstre. Je relâcha la prise que j'avais sur lui et m'éloigna un peu de lui.

-Merci.

-Tu n'as pas à me remercier, tu es mon Âme-Soeur et je ferais n'importe quoi pour toi, me dit-il en essuyant les dernières larmes qui perlaient mon visage et en embrassant mon front.

Je ne le repoussa pas.

Oui, mais je ne veux rien te redevoir quand je partirais, pensais-je.

Rien, je veux partirent en oubliant tout de cet endroit, tout de lui, tout de sa famille, de ses habitant. Je veux tout oublier, pas une seuls onde de souvenirs ici ne doit rester.

C'est difficile malgré que je les déteste.

 Je veux qu'ils m'oublient également, je ne veux manquer à personnes, je ne veux pas, ces loups sont tout ce que je déteste le plus au monde, malgré cela, ils étaient présents avec moi. Ils doivent me haïr, c'est la seul chose que je leurs permettraient de garder de moi. La haine qu'ils ressentirons lorsque je partirais. 

Je ne dois plus trop m'attarder ici, les plans ont changer, je part bientôt. Je commence à m'attacher à eux, mais Lianna est l'une que je voudrais oublier, je ne veux pas la détester pour ce qu'elle est, je veux garder tout nos moment de joie, d'amusement, lorsque je ne savais pas qu'ils existaient. Je veux seulement garder ceux que j'avais d'elle avant. En tant que meilleure amie. Elle garde toujours une place dans mon coeur mais le fait qu'elle mentis sur sa me fait douter sur le fait que sa soit ma meilleure amie. Qu'elle soit une amie.

Je le veux mais je ne sais plus où j'en suis. 

Je ne sais plus.

-D'accord, mais je préférerais quand même te remercier, pas seulement pour avoir réussie à me calmer mais aussi pour m'avoir libéré de ton tyran de frère que j'aurais préféré oublier, dit-je avec une pointe de colère et de mépris.

Il me souris, sourire que je lui rendu, un sourire vraie et honnête. C'est presque la première fois depuis que les loups son apparut que je sourit honnêtement, il à intérêt à être content. 

Soudain, mon ventre gargouilla, se qui le fit rire.

-Eh, c'est pas drôle, laisse mon ventre tranquille lorsqu'il à faim, c'est quelque chose qui te portera malheur si ton continu à te moquer de moi, dit-je en lui faisant la moral au début puis en boudant à la fin.

Il me prit la main et m'emmena à l'étage du dessous, direction: la cuisine. 

Il me prépara une bonne pizza maison comme je les aime : Jambon, sauce tomate, fromage, olive noir et chèvre. C'est ma préféré et quand elle est faite maison, elle est divinement bon. Je vais voir si sa cuisine est bien. Je l'espère. 

-Tu as intérêt à la réussir, je suis jury, tu auras une vote sur dix, si elle est inférieurs à dix, tu devras courir dix tours de terrain de foot et si il est supérieur, tu aura le droit à un câlin spécial Emora, en faite, il est basique, dit-je en rigolant.

Il me regarda avec ses yeux qui disent " Non mais elle est folle", et il rigola.

-T'inquiète, madame sera satisfaite, dit-il en commençant sa préparation de cet fameuse pizza maison.

Je le regarda faire sans l'aider. 

*Ellipse de la préparation et de la cuisson*

-Hum, elle est délicieuse, monsieur aura alors le droit à un câlin, j'aurais adoré te voir courir mais bon, dit-je en faisant semblant d'être déçut.

Nous finissions de manger sans vraiment parler, lui souriant, aller comprendre se qu'il as dans sa tête. Quand j'eu finie, je le regarda, sûrement l'une des dernière alors je veux l'embêter un peu, j'adore embêter Mike, c'est comme un passe temps. Un fois finie, je me leva et m'approcha de lui et le pris dans mes bras, il se leva pour profiter un max de ce câlin. Il me serra comme si sa vie en dépendait. Ce n'est pas souvent que je lui fait un câlin de ma volonté. D'habitude, c'est lui qui me prend dans ses bras, je ne répond pas souvent à son étreinte. Je m'éloigna de lui.

-Un film!

-Quoi? demanda-t-il.

-Je veux regarder un film, ste-plaît, dit-je avec une moue d'enfant.

Le dernier avant longtemps.

-Ok, tu veux regarder quoi?

-Hum, t'as quoi comme film?

-Tout ce que tu veux, on le regardera sur l'ordi. 

-Oky, oky, dit-je en sautant partout dans la maison. 

Kingsman: service secret est le dernier film que j'avais envie de voir quand ils n'étaient pas apparus, je ne l'avais pas encore vue et je voulais trop mais vraiment trop le voir. 

Il amena son ordinateur portable et le posa sur la table base. Je pianota sur le clavier le film en streaming et ouvrit la première page qui marcha. Je cliqua sur le boutons play au milieu de l'écran en mettant aussi la page en plein d'écran. Le film démarra quelque trente seconde plus tard. 

Je regarda attentivement tout les passage du film pour me les graver, je voulais avoir une dernière image de ce qu'est un film. Je mis ma tête sur l'épaule à Mike quand je sentis que je commençais à fatiguer, il ne dit rien à part qu'il mis sa main dans mon dos. Sans m'en rendre compte mes yeux se fermèrent et je m'endormis dans les bras de Mike.

"Il n'y a point de bonheur sans courage, ni de vertu sans combat" de Jean-Jacques Rousseau.

"Le remord, c'est l'horreur d'avoir douté" de Thérèse Tardif. 


Chapitre Banal mais au prochain chapitre, il y aura plus d'action.

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Du rapprochement?

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Entre Âmes - Terminer (En correction)Where stories live. Discover now