3. Retour au bercail

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Ce chapitre reprend avec le point de vue d'Emora Théo et je pense que je resterais sur ce point vue pendant un bout de temps.

Je me réveil en sursaut, la peur au ventre, en sueur, mon corps tout tremblant. Le rêve que je viens de faire si réel, si étrange, je me suis approché de ce monstre sans gêne et rapidement comme si je l'avais toujours connue, ce qui est totalement faux. Jamais je ne me saurais approché d'eux. Je préfère largement mourir que de faire cette chose absurde.

Soudain, je remarque que je ne suis plus sur l'herbe à côté de la chute d'eau, mais dans une chambre dont les murs sont peints en bleu et noir, une chambre d'homme. Impossible que je me sois retrouvé ici, impossible même si pendant que je dormais, je m'étais mis à marcher tout seule, jamais ne serais somnambule, à ce. J'essaye de me lever, mais mes jambes tremblent et ma tête me fait mal. Je touche mon front et je remarque qu'il y a un bandage, recouvrant ma tête. Cette fois quand j'essaye de nouveau de me lever, j'y arrive, mais reste assise sur le rebord du lit.

J'examine avec plus d'approfondissement ce qui m'entoure. Un bureau de couleur noir et bleu, dessus, est poser des livres, mais je ne distingue pas le titre de là où je suis avec mon sac qui était dessus sur un livre. Il y a deux portes, un qui doit surement mener à l'extérieur de la chambre et l'autre, soit dans un dressing ou dans une salle de bains. Je tourne ma tête et vue la fenêtre, elle mène sur un balcon qui m'a l'air d'un taille plutôt impressionnante. Sur les murs sont afficher des plans de quoi ? Aucune idée, mais je ne m'attarde pas dessus, car j'entends quelqu'un frapper à la porte. C'est à la première porte, cela doit donc être celle qui va me permettre de sortir de cette chambre. Il donne de nouveau, un coup sur la porte, mais je ne répondu pas, j'avais peur de cette personne qui se trouve derrière.

Je me lève et me dirige vers la seconde porte, l'ouvre et découvre bien un dressing, énormes, vraiment immense, je pense même presque plus grand que la chambre où je me trouvais, avant, déjà que je trouve la chambre vraiment grande, mais là, c'est vraiment absurde. Pourquoi un dressing serait plus grand qu'un chambre ? Peut-être dû à sa richesse.  

Une personne ouvre la porte de la chambre pendant que moi, je m'enfonce petit à petit, dans le dressing extraordinairement grand. Cette personne s'arrête derrière moi regardant chacun de mes mouvements, que j'aperçois dans le miroir et me retourne pour que lui faire face. Je reconnus les traits du visage de l'Alpha de mon rêve, ces yeux d'un bleu si purs qu'il me donne envie de les regarder jusqu'à en être fatigué. Il a un nez fin, des lèvres charnues et vraiment bien faites. Il est habillé d'un jean bleu, d'un t-shirt blanc et d'une chemise noire. Il me regarde avec amour et semble rassuré. Il me prend dans ses bras que j'essaye de repousser, mais il est bien trop musclé et je n'arrive donc pas à m'en détacher. Je soupire, ce qui le fit me relâcher, m'éloignant un peu de lui. Je veux lui demander ce que je peux bien faire ici. Mais il répond aussitôt à ma question muette.

<< Tu as trébuché sur une racine et tu t'es tapé la tête avec une pierre en tombant, d'ailleurs, il faut penser à en refaire... >>

Soudain, je réalise que ce rêve était tout bonnement vrai, que lui étais belle et bien là, je recule de quelque pas et il me fit un regard plein de questions qui sont présentes dans sa tête, auxquels, je lui réponds rapidement en sentant une larme perler mon visage.

<< Tu n'es qu'un monstre, dis-je énerver de ne pas m'en être rendu compte plus tôt. >>

Il grogne à ce que je viens de dire, mais ne dit rien et continue de m'observer.

Je m'en veux tellement de ne pas m'être dit que la possibilité, que cela aurait pu être réel, car ça me semblait bien trop irréel. Raah, pourquoi c'est chose-là n'arrive qu'à moi ? Je détourne mon regard du sien, part vers la chambre et pris mon sac pour retourner de nouveau dans le dressing en lui disant que je veux me changer, il part aussitôt mes paroles prononcées. Il m'écoute comme un petit chien et disparaît donc de ma vue, c'est bien petit toutou, me dis-je. Je souris à cet penser.

Entre Âmes - Terminer (En correction)Where stories live. Discover now