Secret Story (boyxboy)/Correction

Chapitre IV

"Ma vie tu l'écoutes et moi je la vie comme je l'entend."

Voilà à quoi se résume ma vie depuis trois semaines. Écouter les railleries et qui veut faire comme bon lui semble. Mercedes me pourris mon existence avec ses mauvaises humeurs et ses crises de nerfs. Je n'est jamais vu un gamin aussi capricieux et désagréable et moi je vais bientôt me tirer une balle en pleine tronche. Mais se serais du gâchis pour le monde si je leur privée de mon éternel beauté masculine.
En plus, Mercedes c'est un nom qui ne lui va absolument pas. Une Mercedes, c'est un joyaux, un magnifique bolide classe, quand je conduis dessus je suis le maître du monde, mais ce Mercedes là est tout le contraire d'un joyaux, il gâche tout le symbole de la magnificence. En un mot. INSUPPORTABLE.

-Tu dois prendre tes cachets contre la douleur.

-Je t'emmerde toi et tes cachets. Si tu y tiens tant prend les toi.

-Ce n'est pas moi qui suis handicapé.

Il me regarde mortifié, pauvre fils à maman. Je m'en fou comme la création du monde il n'a qu'à être plus sympa et prendre ces putains de cachets. Mais non Mr veut joué le fils à maman en boudant dans son coin parce que je ne le laisse pas terminer sa partie de jeux vidéo.

-Sors.

-Non. Je ne suis pas ton chien.

-Si, tu l'es, tu es paye pour ça. Alors sors.

Je m'approche de lui et le saisit par le col. Il veut se débattre mais son handicape et son imposant poids l'empêche de reculer. Il a peut-être plus d'argent que moi mais moi je suis beaucoup plus fort que lui. Et bien plus beau. Sa tête rondouillarde de petit gosse de riche m'énerve. On dirait un écureuil.

-Écoute sale mioche. À la base, je ne suis pas de nature sauvage.

Je me rapproche de son visage, je prend sa mâchoire entre mes mains et serre dessus pour lui faire comprendre que c'est moi le maître ici.

-Alors montre-moi un peu plus de respect. Hoche la tête si tu as compris?

Je resserre un peu plus, l'obligeant à me donner une réponse. Et effectivement il hoche la tête pour confirmer. Je le relâche et ses yeux marrons s'accroche au miens, il me dévisage. Un sourire se dessine au coin de mes lèvres.

-Je sais, je suis beau. Beaucoup de personne reverrais d'être à ta place.
Maintenant prend tes médocs.

Il sursaute comme s'il revenait dans rêve lointain. Il essaie de reculer et je le relâche.

-Heureusement que je ne suis pas une de ces personnes.

-Oui heureusement. Tu n'aurais aucune chance.

Vexé encore une fois il ne dit plus rien, il prend enfin ces médocs. Mieux vaut tard que jamais. Pour m'amuser un peu plus, je lui caresse le haut de sa tête comme on le fait pour un chien avant de sortir de sa chambre nauséabonde.

-Putain... Quel sale gosse.

J'ai plus l'impression d'élever un enfant de 5 ans que faire des recherches. Durant ces trois semaines, je n'es pas eu une seule occasion de me balader et trouver des indices sur la famille et Enzo me met une pression au dessus de la tête. Et à chaque fois qu'une opportunité se présente, il y'a toujours quelqu'un au bureau de la reine. Mon téléphone sonne et je répond avec grand plaisir.

-Je n'est jamais eu autant plaisir à entendre ta voix.

-Salut, filou... Sa se passe toujours mal?

-Arrête de m'appeler comme sa Maxime. Oui toujours aussi mal, ce gamin est... Est... Je sais pas j'ai pas de mot pour décrire son sale caractère de merde.