LA JALOUSE

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- Belle et cruelle, telle une araignée, elle tisse sa toile autour de l'homme qu'elle aime, pour ne pas le voir s'éloigner, de sa jalousie elle en fait son objet .

Pour cela elle l'enferme, dans son cocon de reine.
Elle répond à tout ses désirs, charnelles et mutins, ce qui l'endoctrine, pour ne pas regarder plus loin.

De ses courbes généreuses, elle se fait pulpeuse, elle le désarme avec ses charmes .
Il n'a d'yeux que pour elle, car il l'aime.

D'un simple déhanché, elle se retrouve déshabillée.
Lui fait une dance sensuelle, et tout son moi intérieur se déchaine.

Il la désire, la câline; et compte bien lui faire comprendre, qu'il n'y a qu'elle, en la prenant avec amour,
comme il le fait chaques jours, pour le lui prouver.

Il glisse sa main le long de son dos, pour lui donner des frissons .
Puis sa main descend jusqu'à ses rein, et va découvrir son entre jambe, afin de la détendre.
Avec ses doigts audacieux, il lui donne un première aspect de la jouissance.

Mais il ne va pas s'arrêter la, car il veut lui prouver qu'il lui appartient .

Son envie à elle, devient plus présente et d'un geste habile elle le déshabille, le couche sur le lit, et empoigne l'objet de sa volonté, afin de lui donner une totale humanité.

Il se laisse aller, elle dirige le mouvement et se pénètre en lui, dans un grand élan .
Ils se balance, dans cette danse corporelle .
De haut en bas, de gauche a droite, ils se déplacent.

Etant maîtresse de ces lieux, en dominant son corps de feu , elle lui montre ses arrières, ses courbes calypige l'hypnotise; par ses mouvements soulevés qui lui montre la fente secondaire, qu'il pourrait deguster, du bout de sa langue et visiter de la ferveur de son doigter .

De ses mains, elle joue faisant de la pétanque avec ses bourses, ce qui électrise d'un créneau supérieur son excitation.

Il se relève, veut la serrer tout contre lui, jouer de ses mains sur sa poitrine qui bondit dans les airs.
Lui dévore le cou tel un vampire, assoiffé de la douceur de sa peau.

Puis la fait s'abaisser, pour que son visage rencontre ses jambes, accélère le mouvement, se qui les mènent à leurs plus grands haletants.

Et dans un soin prodigieux, donne le dernier coup de pieux; qui les poussent dans un cris extrême, de jouissance intemporelle .

Tellement épuisé, il lui sussure un je t'aime approuver .
Elle sait avec détermination, qu'il n'ira en aimer une autre, et le laissera s'enfuir quelques heures profiter de sa liberté.

QUAND LA POÉSIE SE FAIT COQUINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant