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Je suis couchée sur mon petit matelas miteux dans le petit studio une pièce que j'utilise depuis un an maintenant. Après la mort de mes parents, j'ai quitté Brooklyn pour m'installer à Sarnia (c'est une pure invention cette ville n'existe pas) dans une nouvelle ville. Au début je n'avais rien, après l'incendie je n'ai pu récupérer que certains effets personnels et quelques souvenir (photos ) qui ont été épargné. J'ai aussi trouvé 200 dollars dans la chambre de mes parents, qui elle, c'est retrouvée intacte lors de l'incendie. J'ai pu garder les quelques bijoux de ma mère et quelque objets appartenant à mon père. J'ai décidé de quitter ce quartier, cette ville où j'avais tous ces bon souvenirs mais aussi où c'est dérouler cette tragédie. Je voulais reprendre ailleurs , je suis seule maintenant... C'est vrai qu'avec deux cents dollars je ne pouvais rien faire à part survivre quelque jours. Je comptais trouver une petite auberge ou rester un certain temps afin de trouver un travail pour me faire un peu d'argent afin de louer un petit studio et pouvoir m'inscrire a la rentrée prochaine.
C'était dur dans les débuts car toutes les auberges (motels) que j'ai trouvé était trop chers pour moi une seule nuit la bas excédait 300 dollars. J'ai dormi pendant un mois dans une église et utilisait l'argent pour me nourrir jusqu'à ce que les sœurs me remarque lors de mes aller et venue car la journée je sortais a la recherche d'un travail et revenais le soir dans l'église. Elles ont été très bonnes avec moi car elles m'ont eberger et nourri jusqu'à ce que je trouve du travail (bien-sûr j'ai dû leur raconter mon histoire , même si je déteste inspirer de la pitié aux gens ce qu'elles ont vite compris) j'ai supplier la sœur Maria pour qu'elle me laisse me débrouiller pour la nourriture déjà qu'elle m'ebergeait dans le couvent, je ne voulais pas abuser de sa gentillesse et aussi de celle des autre sœur Gertrude, Cécilia et Carmen . C'étaient des anges. C'est grâce à elles, qu'après plusieurs recherches infructueuses de travail que j'ai rencontré monsieur Jonhson, qui est propriétaire d'un grand restaurant où j'ai commencé à travailler. La Sœur Maria , lui a raconté mon histoire et bien-sûr ce dernier voulait me faire une faveur en me payant plus que je le méritait mais j'ai tout de suite refuser car je ne voulais aucun traitement de faveur... Mais il a quand même insister car comme il me répètait a plusieurs reprises :"Kayla, j'insiste. En plus je t'ai ouvert un compte au nom du restaurant car tu n'es pas encore majeur... Tu auras besoin de cette argent pour ton inscription. Et aussi pour te trouver un logement...
Bien que je souhaite te garder chez moi mais comme tu ne veux pas je veux au moins que tu vives quelque part , tu ne restera pas indéfiniment au couvent. Donc dis toi que cet argent en plus c'est comme une offre que je te fait pour ta scolarité, tes fournitures et ton futur logement , s'il y a un reste ce sera pour te nourrir. Lorsque je verrais que tu as une situation stable bah je te paierais au même titre que les autres employés. Alors ? " i
Il avait totalement raison et j'étais donc contrainte d'accepter son offre. Je le considérais un peu comme mon deuxième père , c'est vraiment un homme bon et j'espère que Dieu le bénira.
Il m'avait trouvé une place dans une école de renommée (et aussi de gosses de riches ) , on m'a très vite accepter la bas parce que j'avais de très bons résultats dans mon ancien lycée. Et dans ce nouveau lycée non-seulement j'étais considérée comme l'intellect de service , pauvre et la fille qui utilisait sa condition sociale pour avoir les faveurs des professeurs , c'est pour cela que j'étais le punching-ball de tous ces populaires qui me rouaient de coups , et qui me faisait la misère... Mais j'accepte, c'est ma dernière année de lycée et je suis habituée à ce qu'on me martyrise a force d'être battu et maltraitée par les autres j'ai fini par ne plus rien ressentir et je me laisse faire jusqu'à l'évanouissement. Vous allez vous demander pourquoi je ne les dénonce pas mais j'ai pas envie d'empirer mon cas et que tous le monde pense que j'ai écarté les jambes pour le directeur car oui non seulement j'étais la fille pauvre mais aussi la pute qui usait de ses charmes. Je suis loin d'être narcissique mais je suis belle. Je suis assez petite de taille 1m67 , ma peau assez bronzé du fait que mon père étai métisse, j'ai les traits fin de ma mère, un petit nez fin , une bouche assez pulpeuse un peu rose de nature et j'ai les yeux gris de mon père. J'ai des formes là où il faut un poitrine moyenne mais assez volumineuse et aussi un fessier rebondi...
<<Drriiiinnnggggg >>
Je me fis tirer de mes pensées par mon réveille qui c'est mît a sonner.
Je soufflais un bon coup avant de me lever et me diriger vers le petit endroit qui me servait de douche...
Encore une nouvelle journée de souffrance qui s'annonce.
Je pris une douche froide qui ne plue guerre vu le froid qu'il fait dehors , les voisins on du tirer toute l'eau chaude.
Je sorti de la douche et me dirigeais vers le petit placards qui me servait d'armoires. Je choisis un pull bleu assez ample et un pantalon slim noir. J'arrangeais rapidement mes affaires dans mon sacs à dos (mon sac a assez souffert je dois vous dire , à force d'être tirée et balancer comme un ballon par les autres élèves il a vécu assez d'expériences et je l'ai raccommodé plus d'une fois. Je lui ai fait des point de sutures mdr. ). J'attrapais ma longue chevelure brune en un chignon , je n'aimais pas les laisser détacher. Ils m'arrivent pratiquement à la taille et dans quelques temps ils toucheront peut être mes fesses ce qui me gêne beaucoup donc je les garde tout le temps attaché.
Je mis enfin mes éternelles baskets nike qui sont assez vieille et qui perde leur couleurs au fil des années mais c'est la seule paire confortable que je peux porter par ce temps la . Je me dirigeais vers mon petit coin cuisine (il n'y a pas de cuisine à vrai dire, mon studios c'est juste une petite chambre avec une petite douche tout ce qu'il ya de simple mais je me suis débrouiller pour m'acheter une sorte de cuisinière et quelques ustensiles avec quelques produits alimentaires placés dans un coin que j'ai aménager comme une cuisine. Ce n'est pas un penthouse ultra-moderne ou un appartement mais c'est tout ce que je pouvais m'offrir. Pour le moment je fais avec mais si j'ai les moyens je pourrais m'acheter une télé et même un divan ou déménager dans un studio plus grand) et je bu un verre d'eau.
Je fais ma prière devant ma petit croix que j'ai placer sur la petite table de chevet et fais un baiser a la photo de mes parents puis je sors .
-c'est partie pour une journée de souffrance encore une fois.

Seule un jour... Seule toujours ?Where stories live. Discover now