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Chapitre 23

Nous parlons en attendant que Harry ce réveille ce qui ne tarde pas à arriver.

Ron lui explique pour son ballet et Dubois explique qu'ils ont perdu tandis que Hermione dit que Dumbledore lui a évité une chute mortelle et qu'il était furieux que les détraqueurs ce soit approché des élèves.

Je finis par partir accompagner de l'équipe de Gryffondor. Je remarque que une fille, Alicia je crois, tourne autour de Fred. C'est une des filles avec qui Fred trainer l'année dernière il a sûrement dû coucher avec elle.

- Fred ?

- Camelia ?

- Tu peux venir s'il te plaît.

Il vient à côté de moi sous le regard meurtrier que me lance Alicia.

- Tu peux au moins être un minimum loin d'elle encore plus sous mes yeux.

- C'est elle ! Je n'es rien fait !

- Tu as couché avec elle l'année dernière je me trompe ?

- Non tu as raison.

Il baisse la tête évitant mon regard.

- Alors pourquoi tu la laisse s'approcher de toi alors que tu es sensé être avec moi ?

- Je suis désolé ! Je n'es pas fait attention ! Je parlais à George.

- Pourquoi tu me mens ? Je t'es vu lui sourire et ne rien lui dire alors qu'elle avait la main sur ton bras.

- Tu es jalouse parce qu'elle m'a touché le bras ?

- Oui ! Sa aurait était Angelina ou Alice ou même Hermione je m'en fiche mais la c'est une fille que tu n'as pas arrêter de voir l'année dernière ! Tu as couché avec cette fille ! Donc oui je suis jalouse Weasley un problème avec ça ?

- Si tu ne me fais pas confiance autant arrêtez maintenant !

Je le regarde stupéfait puis lui tourne le dos. J'entends George crier sur son frère puis Angelina me courir après.

Je ne ralenti pas et cours dans la salle de mon père.

- Esmé ? Me demande t'il.

Je cours dans ses bras en pleurant.

- Qu'est-ce qui ce passe ?

- Fred...

- Je croyais que sa allez entre vous maintenant ?

- Apparemment non...

Il ne me pose pas plus de questions et me sert fort dans ses bras jusqu'à ce que je me calme. Il me dit après de rejoindre mes amis et me rassure en disant qu'il va venir s'excuser. Je lui souri pas convaincu et rejoins mes amis Poufsouffle dans ma salle commune.

À peine suis-je entrer que Alice, Tucker et Cédric viennent vers moi.

- Tout vas bien ? Demande Alice.

- Il a fait quoi ce Weasley encore ? S'énerve Cédric.

- Il est vraiment pas croyable ! Fini Tucker.

- Je peux en placer une ? Dis-je.

- Oui pardon. Dit Cédric.

- On quittait l'infirmerie avec l'équipe de Gryffondor. Je parlais avec Angelina et Fred parlait à George. Je me suis retourné pour le regarder et je le voyais rire avec cette Alicia.

- C'est pas une des filles avec qui il était l'année dernière ? Demande Alice.

- Justement. Elle lui a pris le bras et lui faisait les yeux doux et lui ne lui a rien dit il rigolais avec elle comme si je n'étais pas là. Je lui est dit de venir et il m'a même appelé par mon surnom comme si il n'y avait absolument rien de grave. Je lui est demandé pourquoi il faisait ça. Et il a dit que ce n'était pas lui mais elle qu'il n'avait rien fait je me suis énervé et il a fini par dire que si je lui faisais pas confiance sa ne servait à rien qu'on continue.

- Donc vous êtes ensemble ! Cri Tucker.

- Oui. Mais apparemment il n'a plus envie.

Et j'ai eu raison. Voilà maintenant 2 semaines qu'il ne me parle plus. Et le pire c'est qu'il est très proche de cette garce.

- Il ne se rend pas compte de ce qu'il rate. Me dit un garçon derrière moi.

Je me retourne et suis surprise de voir l'ami de Cédric. Sébastien.

- Qu'est-ce t'en sais ?

- Tu as l'air d'être une fille génial il rate beaucoup.

- Tu ne me connais pas.

- Je n'es pas besoin de te connaître pour être proche de toi.

- Qu'est-ce que tu insinues ?

- Tu sais de quoi je parle.

Je me lève ne sachant pas quoi dire puis je vais vers mon prochain cours. Soin au créatures magiques.

Hagrid commence son cours mais il a l'air triste. Ça doit être dû au fait que Malfoy ai demandé à son père de faire en sorte que Buck, l'hippogrife soit exécuté. J'écoute que d'une oreille trop préoccupée par ce que Sébastien vient de me dire.

- Qu'est-ce que tu as ? Me demande Alice.

- Sébastien vient de me proposé qu'on soit des amis avec avantages. Il ne l'a pas dit comme ça mais en tout cas c'était sous entendu.

- L'ami de Cédric !? Cri Tucker.

Beaucoup de personne autour de nous ce tourne vers nous dont les deux principaux concernés. Je baisse la tête évitant le regard de mon meilleur ami et de son ami à côté.

- Tu en penses quoi ? Demande Alice calmement.

- Non ! Dis-je sans hésiter.

- Au moins ça te changerai les idées. Tu ne penses qu'à Fred. Lui doit être tout le temps avec Spinnet.

- Oui mais je ne connais pas Sébastien.

- Alors apprend à le connaître et voit ensuite. Me dit Tucker.

- Pas sûr que ça plaise à Cédric.

- Tu fais ce que tu veux. Affirme Alice.

Je lui souri ne sachant pas quoi faire et puis je me dis que je peux bien lui parler sans forcément faire quelque chose. De toute façon Fred ne m'adresse plus la parole.

À la fin du cours je m'avance vers le groupe de Cédric.

- Sébastien ? Dis-je.

- Oui ?

Cédric nous regarde à tour de rôle surpris.

- Demain, 14h, au trois ballet.

Je n'attend pas sa réponse et tourne les tallons. J'entends les amis de Cédric le féliciter quant à Cédric il ne dit rien. Je jure de lui expliquer mais pour l'instant je vais à la bibliothèque rejoindre Blaise.

- Coucou. Me dit il.

- Salut.

- Tu as l'air un peu mieux que c'est dernier jours.

- Je ne sais pas ce que je fais.

- C'est à dire ?

- Un ami de Cédric. Sébastien. A dit que Fred ne voit pas ce qu'il perd en parlant de moi et à insinuer que lui et moi pourrait être des connaissances avec avantages. Juste ça.

- Mais vous ne vous êtes jamais parlée ?

- Je sais.

- Tu as répondu quoi ?

- Je suis parti à mon cours et à la fin de ce cours je lui est donné rendez vous au trois ballet demain à 14h.

- Esmé Black Lupin a son premier rencard ! Je n'y crois pas !

- Monsieur Zabini moins fort. Dit la bibliothécaire.

Il s'excuse puis me regarde en souriant.

- Tu pourrais rendre Weasley jaloux.

- Je pourrais tu as raison.

Il voit que je suis perdu et qu'il n'y a pas grand chose à dire de plus donc nous révisons en silence.