Elle aimait...

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Autrefois une légende ancestrale résidait dans un vieux village au Pérou, deux amies Sia et Linda. C'était le parfait exemple d'une amitié exemplaire inséparables, totalement complémentaires Elles s'étaient rencontré en classe de danse une passion commune. Dans l'école de danse de Repetto .Il n'y avait pas un jour ou Linda était sans Sia ou inversement .

Tous désiraient la pureté de cette amitié dénué d'hypocrisie de jalousie de mauvaise fois comme toutes les autres .Tous désiraient une personne de confiance une personne aimante quand la tristesse les envahit enjoué partageant leurs joie, désiraient toutes l'amitié de Sia et Linda , qui s'intensifie de plus lorsqu'elle partageait leurs amour à leur passion la danse classique ou communément appelé ''LE BALLET ''cet art peu commun qui est l'alliance parfaite de plusieurs cultures distinctes .Un art unissant grâce technique, stylisme, décorations et savoir-faire  .Mais surtout cette grâce que enveloppe ses postures impressionnantes .Ce sentiment à l'écoute de la musique et au ressenti des mouvement éthéré cette sensation de délicatesse et de souplesse que partage tous les danseurs et danseuse au commencement d'une variation tel un vent dansant dans les allées de la ville .Cette impression si spéciale éprouvée par les virtuoses de la danse classique, qui se focalisent sur leurs amour et pas sur la peine qui leurs procure .Et ces vraies danseuses étaient Sia et Linda.

Sia était brune aux yeux vert cheveux ondulés très long et brillants très souvent détachés des yeux vert en amande un nez camus et de belles lèvres d'une forme pulpeuse une fille de taille moyenne , plaisante d'un fort caractère elle n'aime pas se moquer des plus faibles car elle l'a déjà vécu elle s'en est sorti, a évolué mûri et compris que ce n'est pas parce qu'ils se moque de toi que tu es forcément c e que tout le monde dit le plus important est de savoir se surpasser reprendre confiance en sois et ne pas plonger dans l'allée funèbre ou les paroles d'autrui deviennent reine, ne pas se laisser abattre par des pensées morose et c'est ce qu'elle a fait oublier laisser toutes ces paroles blessantes de côté et aller de l'avant, la plupart des garçon étaient à sa guise se battaient pour la moindre attention ,alors qu'elle se concentrait sur ses études plutôt que sur des histoires de cœur inutiles.

Linda avaient de grands yeux rond et bleu un petit nez droit et une belle petite bouche des cheveux roux naturellement bouclé mais qu'elle ne s'essaie de lisser jours après jours elles les détestaient d'après plusieurs ancienne histoires et propos harceleurs encore encrés dans sa mémoire même après des efforts inouï elle n'a jamais pu les faire taire de ses oreilles ses yeux se remplissaient de larmes quand elle y repensait , elle était de grande taille ses belles jambes longues la complexé encore plus et ça la rendait encore plus rude .Elle était plus réservé que son acolyte , beaucoup plus naïve et surtout très sentimental . Sia ne cessait de la conseiller en lui expliquant qu'il n'était pas si important qu'elle le pensait, que les garçons à cet âge sont blessants et hautains et surtout qu'ils ne le voient pas lorsque tu leur donne un tout petit intérêt ils prennent beaucoup trop la confiance.

Mais en vain ,elle ne veut pas comprendre , a chaque fois qu'elles en parlent ,Linda s'énerve elle manifeste que son ami n'arrive pas à la comprendre qu'elle est aveuglé par la quantité de garçons à ses pieds , c'est le motif de son incompréhension son prochain désirant l'amour , aimer jusqu'à pouvoir faire n'importe quoi, aimer avec d'autant plus de d'ignorance qu'aimer avec passion ne sachant pas si cela est bon ou mauvais, utile ou dangereux, nécessaire ou mortel, éternel ou passager, légal ou prohibé ,ne voulant que aimer.

Le violoniste déambulant Où les histoires vivent. Découvrez maintenant