J'étais dans ma bulle quand m'on téléphone sonne.

C'étais ma mère.

J'hésite a répondre mais bon.

Je décroche.

Anne: Selam kizim

Moi: Selem anne

J'ai plus l'accent arabe que turc mdr.

Anne: Napiyorsun ? (tu fait quoi ?)

Moi: Rien

Anne: Ta reçu l'invitation du mariage du fils à Soumia ?

Ma gorge s'est noué.

Moi: Oui..

Anne: Tu va y aller ?

Moi: Non

Anne: Pourquoi ? Vasy

Moi: J'ai pas envie

Anne: Si vasy et achète un petit cadeau

Et puis quoi encore.

Moi: Je verrai anne

Anne: Tamam

On a parler pendant quelques minutes et elle a fini par raccrocher.

J'avais juste envie de pleurer. Je me sentais pas bien.

Je jouer avec mon collier. Le collier avec nos prénom..

C'est pas possible, je peux pas accepter.

Je me lève et je mets mon manteau.

Je peux pas laisser passé se mariage. Je peux pas accepter.

Je mets mes baskets et je sort de la maison. Je me dirige vers ma voiture. Sa date que je l'ai pas pris mais bref.

Je monte et je démarre en direction de chez Adem. Je stressais de ouf. Je tremblais énormement. Je conduit jusqu'à chez lui.

Après quelques minutes, j'arrive devant chez lui.

Je descend de la voiture et je me dirige vers son bâtiments.

Je monte les marches d'escaliers et je me dirige vers sa porte.

Et comme toujours la porte était ouverte.

Il a pas peur de qui peux rentrer chez lui, lui.

Bref, je rentre et je me dirige vers le salon.

Il n'y avait personne.

Mes mains tremblait de fou.

Je me dirige vers sa chambre. Elle était a moitié ouverte. Il faisait noir complet. Les volets était fermé.

Il était à l'intérieur, assis sur son lit. Les bras sur sa jambes et sa tête contre ses coudes.

Une larme coule sur ma joue.

Je suis resté un bon moment a l'observer. Je l'avais pas vu depuis longtemps.

Je soupire un grand coup et je rentre dans sa chambre.

Il avait toujours pas remarquer ma présence.

Quelques secondes après il entendu mes reniflements et il a relever sa tête.

Nos regards se sont croiser pendant quelques secondes.

J'pense qu'il avait toujours pas capté que s'était moi devant lui.

Il me regarde et se lève.

Adem: Tu fou quoi ici ?

Moi: On doit parler !

Chronique de Sana : « Un amour impossible »Where stories live. Discover now