Moi: Quoi Moha ?
Pelin: Sana t'es à deux doigt de crever, ta rien manger depuis hier et tu veux lui donner du sang ?
Moi: Oui
Je l'ai laissent et je suis le médecin. On y va dans un laboratoire et je m'installe sur une chaise.
Médecin: Je vous re-demande, êtes vous sûr madame parce que c'est plusieurs tubes de sang, vous pouvez perdre faiblesse ?
Moi: J'en suis sûr, allez-y vous
Je m'adosse sur la chaise et une infirmière rentre dans la salle.
Infirmière: Vous êtes prête ?
Moi: Oui
Elle commence à préparer ses ustensiles.
Pelin rentre dans la salle.
Pelin: Sana arrête sa !
Moi: Pelin !
Elle me regarde désespérément.
Je ferais tout pour Adem. Il est toute ma vie.
Elle commence à rentrer l'aiguille dans mon bras.
Sa fessait pas mal, mais plus elle tirer le sang plus je me sentais grave faible. C'était comme ci elle vidait tout mon sang. C'était une sensation tellement désagréable.
Je commençais petit à petit à m'affaiblir. J'étais devenue toute pâle.
Infirmière: Vous allez bien ?
J'étais dans l'incapacité de répondre.
Médecin: Voulez-vous arrêtez ?
Je hoche ma tête négativement.
J'avais une douleur atroce au crâne mais je pouvais pas abandonner. Je devais aller jusqu'au bout.
Quelques longues minutes après, sa s'est terminé et sans comprendre quoi que se soit.
Trou noir.
...
Je me réveille dans une chambre.
Je vois khalti et Pelin près de moi.
Dès quelle me voient, elles s'approchent de moi.
Khalti: Sana, benthi je sais pas comment te remercier
Moi: De quoi ?
Pelin: Il est sorti de l'opération, il va beaucoup mieux
Moi: Quoi ? Vraiment ?
Pelin: Oui
Faut voir comment mon coeur s'est apaiser. J'étais tellement heureuse. C'est la meilleure annonce qu'on ai pu me faire.
Moi: Al hamdoulilah
Mes larmes couler, des larmes de joie.
Khalti: Oui Al hamdoulilah
Moi: Je veux le voir
Pelin: Tu peux pas te lever, t'es trop faible
Khalti: Toi repose toi, j'arrive moi
Moi: Oui
Elle sort de la chambre.
Moi: J'suis trop heureuse Pelin
Elle me sourit.
Moi: w'Allah si il lui aurais arrivé un truc..
Elle ma coupé.
Pelin: c'est bon, ne pense pas au mal Sana
La porte de la chambre s'ouvre sur un médecin.
Médecin: Vous allez bien madame C****** ?
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Chronique de Sana : « Un amour impossible »
Romance« 𝐈𝐥 𝐲 𝐚𝐮𝐫𝐚 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞́𝐜𝐫𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐟𝐟𝐚𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́.. » Chronique réelle avec des passages fictifs.