Là malédictions de Térié

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Une fois rentré chez lui, il ressentit un manque. Cette juin fille avait provoqué chez lui une chaise qu'il ne pouvait pas éteindre simplement en la regardant.
Il décida d'y retourné, le même jour, a la même heur au même endroit.
Cette jeune fille le frappa de nouveaux. Il la trouvé encore plus belle qu'event. Il prit alors son courage a deux mains, et décida de s'approcher. Il était si délicat dans ses mouvement qu'ont aurez dit qu'il s'approchait d'un lapin sauvage.
Seulement sa présence fut trahit quand une branche ceda sous son poids. Apeuré la jeune fille ce tourna vers lui. Il stoppa tout mouvement pour ne pas l'effrayer d'avantage.

- Qui este vous ?

Demanda t-elle d'une voix si faible qu'elle en était a peine audible.

- Excusez-moi, je ne voulait pas vous faire peur. Je suis Etimose un homme du village voisin.

- Ho, bonjours.

- Vous êtes très belle.

Les joue de la jeune fille fille ce rossèrent de gène. Elle ne sut quoi répondre face a ce compliment a part un merci.

Seulement il était t'en pour elle de partir, elle prit a ors la direction de sa maison. Mais insatisfait, Etimose lui attrapé le poignet. Surprise, elle poussa un petit crie.

- Attendait, nous pouvons discuté.

- Je suis désolé, mais je dois vraiment y aller.

Elle essaya de ce dégagé, mais Etimose raffermissait sa prise sur elle.

- Juste quelque minute, s'il vous plais.

- Une autre fois peut-être.

La jeune fille ce forçait pour restait courtoise,
amis elle n'avait qu'une envie: fuir. Etimose qui jusque là essayé d'être « patient », commença s'agacer.

- Vous pouvez bien prendre quelque minute pour moi.

Pour accompagné ses parole, il tira la jeune fille vers lui, et reprocha son visage du siens. Elle essayé de ce débattre comme elle le pouvait, mais Etimose était bien plus fort qu'elle.

Elle tenta alors de crier, en espèrent que quelqu'un l'entende, mais Etimose plaqua ses lèvres sur les siennes pour la faire taire.

Paniqué les larmes lui montais au yeux. Elle ne pouvait plus parlé ni crier, alors que les main froide de l'homme ce baladait sur son corps.

Elle ne pouvait qu'espérait, qu'il ce contenterait de l'embrassait, mais malheureusement ce ne fut pas le cas.

Sont corps tout entier était paralysé. Même sa bouche qui était libérait , ne pouvait émettre aucun song.

Elle ne pouvait que subir.

Subir ce moment qui sembla lui durée des heures.

Une fois l'homme satisfait, il la laissa là. Au bord de ce lac, seul. Il la laissa tremblante, enveloppé par une honte et une douleur qu'aucun être vivant n'avait encore ressentit.

Térié, qui était au teranos a ce moment là, ressenti la douleur, de la jeune fille. Alerté, il ce rendit sur terre, et la rejoignit.

Il la releva, la rhabilla, la ramena chez elle, et décida qu'elle ne mérite pas de ce souvenir de ça, ni de ressentir une telle souffrance, il lui effaça donc la mémoire.

Mais prit d'une extreme colère, il décida aussi qu'Etimose ne mérite pas de vivre après avoir commit un acte aussi atroce.

Pour le punir, il le rendit immortelle, mais il le transformât aussi en femme, qui n'aurait d'autre choix que de travaillé dans une maison close. Mais il ne s'arrêta pas là.

Il le condamnant a ressentir la souffrance des femme travaillent dans cette maison close, et des femmes violet.

Face e ces souffrance il devra obéir a sa pulsion, qui sera de tué l'homme infligent la souffrance, pour y logé une âme ayant perdu son corps. »

Les filles ce regardèrent tour a tour satisfaite par cette fin. Seul Rose dévisagé Venus incrédule, pendant que cette dernier affichait un sourire satisfait.

Le vent commençait a soufflait, faisant battre contre le mur la pancarte, qui indique le nom de la maison close: la maison du crie.

Au même moment le hurlement strident d'un homme ce fit entendre. Un frison parcourut l'échine de Rose, pendant que ses muscles ce crispèrent.

Ce fut la seul a sursauté. Les autres continué de discuté sur le récit de Venus.

Le crie résonnait encore dans les tympans de Rose, quand des bruits de pas résonnèrent dans les couloir, avent de disparaître.

Candy apparut ensuite en trombe dans la pièce, claquant la porte derrière elle. Toute les tète ce tournèrent vers elle.

- Etimise est de sortie. Déclare-t-elle haletante.

Le temp ce suspendue. Les flemmes semblaient gelait, plus aucun bruits ne fut audible. Plus personne ne respirait.

Au bout de quelque seconde les respiration reprirent, les filles ce regardèrent, et re prirent leur conversation.

Certaine prirent Candy a part pour s'assuré que tout aller bien. Rose resta immobile quelque seconde le temp d'ingérait les information qui arrivé a son cerveaux. Elle jeta son regard sur Venus, avent de ce levait, et de la rejoindre.

- Tu est en train de me dire qu'Etimise est en fait...

L'histoire des corbeaux Where stories live. Discover now