PDV DE FATIMA
L'étreinte de Bachir se resserrait encore plus autour de ma poitrine, qui s'écrasait contre le sien, pendant que ses mains me caressaient le dos d'est en ouest et du nord au sud. C'est comme ça qu'il m'allonge sur le dos, ses baisers devenant de plus en plus passionnés, j'étais déjà bien trempée quand il a commencé à me caresser le clitoris, et c'est à croire qu'il connaissait mon corps depuis des millénaires. Je poussais des gémissements de plaisir qui de plus en plus emplissaient l'espace. Il lève la tête une seconde, nos regards se croisent et il sourit.
-Lui: Tu te sens bien ?
Je hoche la tête en guise de oui. On s'échange un langoureux baiser, après lequel il descend jusqu'au niveau de ma poitrine et sans crier gare, manque de m'avaler le sein. Il a passé 2 minutes à tantôt le lécher, tantôt me sucer le téton, guidé par mes gémissements. J'avais une main sur sa tête et l'autre lui agrippait le dos. Mes jambes étaient croisées autour de son bassin, et avec les mouvements, je sens son caleçon qui était toujours là. Sans même y réfléchir deux fois, j'utilise mes pieds pour le retirer et sens son membre bien endurci en sortir.
Il a dû percevoir ça comme une invitation à la pénétration, parce qu'il m'a écarté les jambes à presque 180° à ce moment précis et a commencé à me pénétrer lentement. Il est bien membré est le moins qu'on puisse dire alors je l'ai bien senti rentrer. Plus il s'enfonçait en moi, plus la douleur me prenait à l'entrejambe, et au bas ventre. Sans m'en rendre compte, j'ai arrêté de lui rendre ses baisers.
Je lui agrippais les bras pour ne pas crier de douleur, et me tordait en arrière.
-Bachir Bachir Bachir...
Je ne sais pas s'il m'ignorait délibérément ou c'était le feu de l'action, mais j'ai arrêté de prendre goût au moment. Lui, commençait à faire des va-et-vient lents mais pas insignifiants.
Mes gémissements de plaisir se sont transformés en gémissement de douleur et d'inconfort mêlés. Je décide de quand même me laisser faire parce que c'était une étape à passer et après laquelle je ne prendrai que du plaisir à être avec lui.
Ses coups de rein s'accélèraient et je ne ressentais plus aucun plaisir dans l'acte.
Sans vraiment le vouloir, j'ai commencé à pleurer silencieusement. Mes larmes coulaient sur mes joues tandis que j'étais toujours agrippée à son dos.
Et après ce qui m'a semblé duré des heures, j'ai enfin senti ce liquide chaud se déverser en moi. Bachir est resté couché sur moi pendant peut-être 2 minutes en me serrant dans ses bras.
-Lui: Tu te sens bien ?
-Moi: Pas vraiment, Bachir
Il se retire enfin et s'allonge à côté de moi. Je me blottis immédiatement contre lui.
-Lui: Tu pleures ?
-Moi: J'ai mal
Il n'y avait pas de sang ou alors trop peu pour être tout de suite remarquable mais ça ne diminuait rien à la douleur.
-Lui: Je suis désolé, pardonne moi Guidelam
-Moi: Je ne suis pas fâchée enfin
-Lui: Je sais, mais je ne voulais pas te faire mal
-Moi: Je sais
Pour une raison que moi même je ne connais pas, j'ai commencé à pleurer de plus en plus fort. Peut-être était-ce l'émotion à ce stade.
-Lui: Heyyy je suis désolé, je... Tu veux un anti douleur ? Il y en a dans la salle de bain
-Moi: Je ne sais pas
-Lui: Je vais t'en chercher
-Moi: Non non laisse tomber, restes là
Il s'exécute et me serre bien dans ses bras.
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Moi vs Sa dernière volonté (l'ultime voie vers le bonheur)
Romance-Alors c'est une jeune femme, que la vie a malmenée. De ces persécussions, né un démon, une entité, un "rap", qui l'habite, la consume, la pousse à se faire du mal à elle-même et aux autres, en lui répétant cette vérité là: "Tu n'as rien à perdre"...
