Chapitre 2

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          « Zenzouilli et sa compagnon»

Le jour suivant, Zenzouilli allait se mettre à l'abri du dehors. Il avait enfin trouvé l'endroit parfait pour bâtir une petite maisonnette et s'y abriter. Décidant de défaire sa roulotte, il s'était rendu dans les bois pour aller chercher d'arbres mortes ou du bois pour bâtir sa maison.
En son troisième voyage aux milieu des arbres, il avait trouvé quelque chose de bizzare voir même mystérieuse à ses yeux.
Il cru être tomber sur le plus grand arbre de la forêt, un arbre géant qui ressemblait au " Mapou " comme on le nomme de nom commun. Le bonhomme bleu ferma les yeux et les rouvrit pour être plus concret à sa découverte.
Delà, son grand couteau à la main, il avait ralenti sur ses pas en s'approchant lentement vers l'arbre qui résidait dans un lieu de silence. Pas de oiseaux, ni sauterelles! Même pas le vent ! C'était incroyable !
Quand il était arrivé par devant l'arbre, son silence s'éteint et un cri de rire sortait au milieu de ses feuillages. Ce genre de cri ou de rire qu'il avait l'habitude d'entendre quand il sortait dans la prairie du village où il y vivait avec sa famille. D'un frémissement, Il eut peur, mais simplement pour un instant seulement.
Il fit un regard en haut pour voir s'il y avait quelqu'un qui était caché dans les branches, mais n'en trouve aucun.
Il tendit sa main vers l'arbre et le frappa doucement.
Pouf! Quelque chose se déclencha, et une porte s'était ouverte en bon milieu du tronc de l'arbre qui se tenait devant lui.
Quand la porte s'ouvrit devant lui, il devait s'assurer d'être sous ses garde avant de vouloir faire quelques pas pour voir ce qu'il y avait de l'intérieur. Mais il reste encore éveillé et plein de frayeur.
Héo! Dit-il en approchant calmement.
— il y a quelqu'un ? Il a demandé à haute voix, tout tremblant, mais personne ne répond.
Comme le temps était sombre, il paraissait que la nuit avait fait son nid à l'intérieur de l'arbre.
Une fois dedans, la porte s'est vite refermer et des torches étaient allumés pareils aux étoiles du ciel qui éclaire leur propre sentier.
Un hamster sortit au milieu de nul part, se tenait devant lui en le regardant paisiblement.

Quand il fut rentré dans l'arbre habité, il voyait des choses comme s'il s'agissait d'une maison naturelle.
Une table et des chaises bien arrangées, pourtant, il y avait des verre cassés par terre, semblerait-il qu'il y avait du grabuge entre deux ou plusieurs personnes habitants cette mystérieuse maison surnaturelle. Il faisait clair, comme la parfaite couleur de l'extérieur.
Soudainement, il entendu un bruit derrière quelques assiettes qui étaient installés à leur place. Puis il appercois ce petit hamster, qu'il avait sauvé la vie quand il marchait dans la forêt pour trouver l'endroit idéal.
- Mais! C'est bien l'animal que j'ai croisé il a quelques heures ! Affirme t-il en haussant les sourcils d'une surprise incontestable.
L'animal fait un geste des pattes croisés en lui regardant fixement, puis répondit sagement de sa voix aiguë: oui! C'est bien moi.
— Et voilà un animal qui se met à parler ! Il a dit surpris par ce mystère.
— écoute moi. À dit l'animal au corps plein de poils fins de couleur brun et des tâches noir en rondelles.
— non, toi écoute moi! Personne n'autorise un animal à parler ou de dire quoi que ce soit, c'est... Impossible. A-t-il ajouté en tournant le dos pour se rendre vers la sortie, mais la porte était fermé à jun.
— je ne suis pas un animal bonhomme bleu. Je m'en fous d'où vous venez mais je pense que vous n'êtes pas ici par hasard. À répondu l'animal qui s'est rapidement changé en une jeune fille au satin rasé portant une longue robe noire. Ses cheveux longs noir déployés sur le dos, par contre, ses yeux marrons qui exprime une existence paranormale.
— wouah ! Mais c'est... Marmotte t-il en gardant pleinement sa curiosité.
— je suis une sorcière bonhomme bleu. Comme vous le voyez, je vis ici, à l'intérieur de cet arbre ! A-t-elle déclarée en soulevant ses bras et lança un rire jaune.
— alors ? Pourquoi à l'intérieur d'un arbre ? Vous auriez pu être habitée dans une maisonnette ou quelque chose comme ça ! A-t-il répondu de sa voix basse et masculine.
— honnêtement j'ai beaucoup de raisons pour ça. Eh! Vous n'avez pas faim? Je pense que vous avez fait un grand parcours avant d'arriver ici. Viens vous asseoir, je vais vous préparer quelque chose à manger et comme ça nous pourrons faire de la connaissance ! Elle a crié en souriant.
— mais Je... Marmotte t-il en grattant ses cheveux noirs, propre malgré ces jours qu'il a eu sans les soigner.
" d'accord ! Ajouta t-il. " il savait qu'en réalité qu'il n'avait pas trop envie de manger parce qu'il n'avait réellement pas faim, mais il voulait que cette discussion se prolonge jusqu'à ce qu'il puisse en trouvé le moyen de sortir de l'arbre, ou plutôt : la maison du sorcière.
— comment ce fait-il que vous soyez si jeune ?! Avait-il demandé à la sorcière.
La sorcière pris sa marmite, allumé son feu puis ajouta quelques vivres et de morceaux de viande pour le bouillon.
— Ah! Très belle question. Elle a dit. On m'appelle Oanema, je n'ai pas l'âge d'un adulte parce-que je ne le suis pas. J'ai perdu ma famille de très tôt, mais heureusement qu'on m'avait choisi à la place de ma mère afin de pouvoir garder une partie de la forêt. Elle a ajoutée. Sa main droite faisait tourné le bouillon d'une louche en argent, celle-ci fût un cadeau de la part de sa mère avant qu'elle ait mourut par la plus méchante sorcière qui voulait faire échanger son âge parce qu'elle était trop vieille et qu'en fait, elle le faisait à chaque fois que sa force lui manquait.
— wouah ! C'est une très belle histoire ! Moi je suis : Zenzouilli le chaperon et je suis charpentier tout comme mon père l'a été. Je suis en quête d'une nouvelle terre pour mon peuple et je suis très heureux de pouvoir vous connaître.
— en quête d'une nouvelle terre ? Elle a exclamée en arrêtant de faire tourner la louche dans la marmite.
— Bah oui! Je vivais avec des amis paisible et mes parents aussi, mais un jour, un groupe de rebelles ont traversés la rive et envahissent le village comme une invasion de frelons.
— et maintenant ?! Elle a demandée sous ses paupières grand ouvert qui indique son inquiétude.
Comme pareille aux autres, elle avait des pouvoirs magique et se sert quand elle en avait besoin ; cependant, elle avait un cœur qui l'avait toujours rendu très différente par rapport aux autres.
— et maintenant, ils nous force à travailler, à puiser de l'or dans nos rivières pour qu'ils se prospèrent. Mais nous, le peuple, on a simplement besoin de nous libéré. A-t-il raconté à la sorcière qui prenait bien soin de comprendre ces paroles.
— bon! Je pense que tu n'as pas besoin de chercher une nouvelle terre. Je peux moi-même t'aider à libéré ton peuple de  cette situation. Elle a répondu en souriant.
-— sérieusement ? Il a demandé. Zenzouilli. Pour lui, il ne s'agissait que d'une blague ou de simple plaisanterie ; déjà, il n'était pas un officier ou un manivreur d'épée et son peuple aussi n'avait pas de l'armée pour combattre les ennemis.
Je crois que là tu vas me faire rire mademoiselle, avec quoi toi et moi arriveront à repousser toutes ces hommes ? Il avait ajouté en interrogeant de son gré.
— et bien... Marmotte t-elle en réfléchissant. Je crois avoir trouvée une idée ! Je vais te préparer une baguette. Elle a répondu de sang froid.
Oanema avait les yeux chirés, telle une japonaise qui avait abandonnée sa résidence..
— pourquoi il y a autant de verre cassés ? Il a demandé, Zenzouilli.
Elle essoufla, sur levant les mains avant de répondre.
-— et bien... Je cherchais un petit détail ! Elle a répondu en faisant tourné les yeux de part et d'autre.
— pour le brouillon ? Réplique t-il.
— bien sûr que non ! Je savais que tu allais venir alors il faudrait que je te préparait quelque chose d'avance, mais... Tu es arrivé plutôt. Elle descendit le brouillon et sert dans les assiettes blanche.
— et si je te fais une autre proposition ? Il a demandé à la jeune sorcière qui s'installe près de la table et buvais dans son pot.
— alors ? Tout ce que tu veux ! Elle a répondue, plein de confiance.
— je dirais qu'à la place d'une baguette magique, on pourrait plutôt nous en servir d'une paire de bottes !
La petite sorcière pris un instant pour y réfléchir, mais là, elle eût trouvée une autre idée qu'elle préférait garder pour elle. Elle crut que la baguette pourrait subir des choques et pouvait se casser rapidement, elle se disait qu'une petite poignard sera bien plus efficace pour son ami.
Après une période de longue durée, elle se mettait déjà au travail. Et voilà ! Une paire de bottes ! Elle a criée, sachant que le petit poignard s'était enfermé dans une petite boîte et le plaça dans un sac.
Ce poignard sera plus que ce qu'il pourrait se représenter sous les regards des autres, car il avait le sort de se convertir en une longue épée que seul le chaperon avait le pouvoir de manier. Quand il devait être plus léger, il se transforme en une baguette magique qui cependant, ne pouvait que briller dans la nuit. En outre, il s'agissait d'une surprise pour monsieur le chaperon dès qu'il aura l'occasion de s'en servir.
Zenzouilli était très content de ce cadeau, il avait pris un moment pour le regarder avant même de mettre les pieds dedans.
Après leur discussion, Zenzouilli avait cessé de chercher du bois pour sa cabane ; sa nouvelle amie l'avait demandé de prendre ses affaires et de les faire rentrer à l'intérieur de chez elle.
Quand ils étaient arrivés à l'endroit où la roulotte de Zenzouilli y était, il regardait l'arbre et sa roulotte qui lui paraissait trop grand pour le faire entrer à l'intérieur de l'arbre.
Du coup, Onema avait vite compris sa doute et s'en approchait calmement. Elle haussa les mains et les balance. Et hop! Une puissance comme un tourbillon se leva et la roulotte de zenzouilli avait disparue.

— mais ! Qu'est-ce que ? Marmotte t-il, de ses yeux ronds qui fondent de surprise.
— rentre à l'intérieur et tu verras que tout est en ordre ! Affirme t-elle.

Avec les yeux éblouis, il haussa les épaules et sifflait: oui, c'est... Magique ! Ils avaient retournés à l'intérieur pour prendre leurs bagages, car à ce moment-là, quelque chose allait venir et il faudra donc prendre une bonne décision, partir à l'aventure pour vaincre la plus méchante sorcière de tout les temps..
— Ben dit donc, pourquoi penses-tu qu'il faudra qu'on y aille chez cette sorcière donc tu m'as parlé ? J'ai une paire de bottes pour aller combattre les ennemis de mon peuple, non? Il avait demandé, Zenzouilli.
— très belle question ! Je pense qu'il est important que je te dise que même si tu essaie de faire fuir ses hommes, cela ne te servira à rien car le pire, c'est qu'elle est la seule à pouvoir faire dépouillé les biens de toute peuple sur terre et elle en fera ses esclaves rien que pour continuer à faire pillé tout les endroits du monde. Elle avait répondue, Onema.
— très bien ! Alors je pense que le mieux est d'abandonner tout ça. La jeune sorcière l'avait regardé attentivement et lança un sourire pâle.
— tu ne sais peut-être pas qui tu es, c'est toi qui sera le roi de ce peuple et si tu abandonne comme tu le dis, il n'y aura aucun espoir pour personne, ni toi et ce peuple.
— écoute, je ne sais pas ce que tu racontes mais je voudrais savoir pourquoi tu veux vraiment qu'on y aille là-bas. Demande t-il, Zenzouilli.
— bon, Ok. La première chose, c'est qu'on aura besoin de savoir pourquoi la sorcière veut prendre le contrôle de toutes les territoires, la deuxième, je pense que ton anomalie à besoin d'un fortification ou on pourrait trouver quelque chose qui pourrait te faire changer de couleur de teint et tant d'autres ! Voilà ! Je souhaite que tu en trouveras une de ses raisons valable pour toi. Elle a répondue tranquillement.
— j'ai bien compris Onema. Mais, je veux bien sûr trouver une solution pour devenir un être normal comme toi, me sentir dans la vraie peau de l'humain. Marmotte le jeune homme qui oblige la jeune sorcière à réfléchir.
— écoute zenzouilli, tu as peut-être raison de dire ça, parce qu'en réalité, la sorcière cherche des choses de qualité rare pour compléter ses potions. Elle a répondue, en se tournant vers l'au-delà.
— et la solution, c'est quoi? Interroge t-il en dirigeant vers sa petite roulotte.
— j'ai peut-être une idée ! Elle a rétorquée, Onema.Elle avait trouver une idée géniale pour faire déplacer la roulotte comme un vrai moyen de transport et leur servis de caravane dans tout les parcours qu'ils devaient entamer ensembles.
— Ah oui! Et c'est quoi au juste ? Il a demandé d'un air douteux mais assez tendue en lui fixant des yeux. Onema avait ressentis quelque chose qui éveilla son cœur vide et volatil, elle avait sourit, mais garde son secret.
— je pense que nous devons trouver des animaux pour faire traîner ta roulotte. Elle a proposée, Onema.
— bien sûr ! Mais, il va falloir l'agrandir tu ne penses pas ? Propose t-il à son tour.
— et bien... Si tu veux, on peut le faire ! Mon père était constructeur de traîneau, je crois qu'on peut y arriver. Le jeune Zenzouilli poussa un court sourire et aquiesça.
Alors, ils se sont mis à chercher du bois et commence les travaux, cette roulotte qui devait ressembler à une cabane mobile et leur servir de réfuge. Ils ont pris tout le reste de la journée à travailler, jusqu'à la tomber de la nuit ; ils avaient travailler si vite qu'avant l'aube ils avaient achever le reste du travail qui leur avait rester.
— il faut donc que je me repose un peu, je suis plus fatigué qu'en traînant derrière moi cet engin. Il a dit en soupirant. Ils avaient arrangés un lit avec les feuillages et quelques tissus et de peaux d'animaux sous les arbres de la forêt. Il se longeait puis soulager sa fatigue, tandis que sa compagnon venait juste de fixer la dernière roue qu'il n'avait pas terminé. Elle avait jeter les outils qu'elle avait en main, puis, revenir se longer à son tour.
La lune était croissante et donne une partie de sa lumière, toujours aucune idée des animaux qu'ils allaient attrapés pour les mettre au service de leur convois, Zenzouilli réfléchi les yeux demis ouvert. Cependant, Onema savait ce qu'elle allait choisir d'entre tout les animaux qui existent dans ce monde, sur ce point, elle avait l'air très confiante ; c'est ainsi que la nuit passa...

Les Aventures De ZenzouilliWhere stories live. Discover now