Le monde de Narnia

Chapitre 5

Nous courrons désormais, mais nous dûmes nous arrêter quand on se retrouva encercler. Mr Castor voulu nous défendre, mais à la place, il se retrouva entre les crocs d'un loup. Le chef, qui apprès réflexion devait être Maugrim, nous regarda avant de dévisagé Peter qui venait de sortir son épée de son fourreau.

- Range moi sa petit, tu pourrais te blesser.

- Ne vous en faites pas pour moi, transpercer le ! Hurla Mr Castor.

- Partez tant que vous le pouvez et votre frère partira avec vous.

- Je pense que nous avons intérêt a l'écouter Peter. Cria Susan.

- Voila qui est sage.

- Non, ne l'écoute pas Peter, tu sais aussi bien que moi que nous devons les aidez, les narniens on besoin de nous.

- Oh voyons, cette guerre ne te concerne pas. Tout ce que ma reine demande, c'est que tu reparte avec ta famille.

- C'est ridicule, ce n'est pas parce qu'un vieil homme vêtu de rouge ta offert une épée que cela fait de toi un héros ! Jette la, je t'en pris !

- Susan tait toi, tu n'aide pas ! C'est a Peter de décider.

- Peter, Narnia a besoin de vous, étripez le, ne ratez pas cette occasion. Lui cria Mr Castor.

- Que décide tu fils d'Adam ? Je n'attendrais pas éternellement. Et la rivière non plus.

- Peter !!! fit Lucie.

Elle nous montra la cascade gelé qui s'apprêtais a se briser. Je commence a paniquer quand une idée me vient, je prend l'épée de Peter et la plante dans la glace bien profondément.

- Tenez vous a moi !

La cascade se brise et l'eau nous submerge, je sens les prises de tout le monde sur moi, ils se cramponnent avec force ce qui me rassure. Les loups finirent a l'eau alors que nous étions ramenée sur le rivage, quelques mètres plus loin. Nous grimpions sur la petite bute quand j'entends Peter murmurer un "Oh non".

- Que ce passe t'il ? Lui demandais je.

Il me montre le manteau de Lucie mais sans Lucie a l'intérieur. La panique commence a faire irruption dans tout mon corps. Je m'inventais mille et un scénarios catastrophes. Où étais t-elle ? Nous crions son prénom quand une voix nous parvins.

- J'ai perdu mon manteau !

Je la vis au loin, essayant de remettre correctement son petit gilet en laine. Ni une, ni deux, je me précipite sur elle dans un câlin. Je la regardais sous toute les coutures pour être sûr qu'elle n'avait rien. Puis je craqua, toute les larmes que j'avais retenue depuis le début de cette folle aventure, coulèrent. Je ne pouvais plus les arrêter. Peter et Susan vinrent se rajouter pour un énorme câlin collectif.

- Je ne le supporterais pas . . . sgniff . . . s'il vous arrivais quelque . . . quelque chose. Je vous aime . . . sgniff . . . je vous aime tellement, vous ne pouvez pas savoir a quel point. . . . sgniff . . .

Ils resserrèrent leurs emprise sur moi puis Mme Castor vient nous interrompre nous disant que nous n'aurons plus besoin de nos manteau. En effet, certains bourgeons commencèrent a éclore. Le printemps était bientôt là. Nous abandonnons donc nos manteau sur des branches d'arbres avant de nous aventurer dans la forêt où toute trace d'hiver et de neige avait disparus.

Après plus ou moins, deux heures de marche nous arrivâmes enfin au campement d'Aslan. Une corne de brume se fit entendre, signalant notre arrivée. C'était sublime, toute sorte de créature mystique était présente dans un même lieu, les arbres dansaient, des dryades nous faisait signe, les couleurs se mélangeais. Lucie avait le regard pétillant tandis que Susan était gêné par tout les regards et chuchotement sur notre passage.