Obsession

Chapitre 1

Alya Willis 27 ans travaille comme fleuriste dans son propre magasin au coin de la rue dans un quartier assez calme de la ville de Miami. De nature très calme, se retrouvera malgré elle embarquée dans une histoire peu commune.
Comme chaque jour, Alya effectua l'ouverture de sa boutique qu'elle gérait seul depuis plus de quatre ans, celle-ci marchait plutôt bien pour son plus grand bonheur vu qu'il lui permettait de régler ses factures, ses dépenses et aussi son loyer.
Dans l'après-midi,alors qu'elle effectuait quelques comptes et la liste des commandes à effectuer,la cloche de la boutique lui informa l'arrivée d'un nouveau client.
- Bonsoir en quoi puis-je v.....
le reste mots mourus au fond de sa gorge lorsqu'elle croisa le regard de la personne en face d'elle.Un homme d'environ 1m90, un visage ne reflétant aucune imperfection, une carrure très imposante, une barbe de trois jours taillée à la perfection.Qu'il est beau, on dirait un ange descendu du ciel ou mieux encore un Dieu grec ... elle fut coupée dans sa contemplation par une voix si rauque qu'elle fît parcourir par une chair de poule
- Bonsoir mlle, j'aimerais vous acheter votre plus beau bouquet.
- Quelle fleur en particulier recherchez-vous ?
- Que me proposez-vous Cara ? Lui demanda -t-elle sans s'empêcher de rougir malgré elle.
- Nous avons des lys, ou si vous préférez des pivoines sauf si vous avez une variété de fleurs en particulier qui vous fait envie ?
- Et vous, quelles sont vos préférés ? Laissez moi deviner les pivoines ? Affirma t'il avec un rictus aux lèvres
- Co... comment vous le savez ? s'étonna t'elle
- Les vous représente le mieux aussi magnifique et irrésistible que vous Cara. Ce qui l'a fît rougir immédiatement.Elle ne pu s'empêcher de le trouver tellement beau qu'une chaleur se réveilla immédiatement dans le creux de ses reins, de ce fait elle se cessait de se mordre la lèvre inférieure, chose qui la rendait plus que désirable aux yeux du jeune homme.

-Merci pour les fleurs Cara ! Dis t'il avant de s'en aller , Alya quand à elle demeurait interdite et se demandait ce qui venait de se passer.
La cloche venait de sonner enthousiaste à l'idée que ce soit encore ce jeune homme elle se retournait avec un sourire qui disparu lorsqu'elle vu la personne devant elle.
- Que faites-vous ici ? Je croyais avoir été clair avec vous.
Harris Donovan, homme d'affaires de quarante sept ans, mesure 1m87, possédant une carrure imposante (moins que le mystérieux client), venait de racheter les bâtiments autour de celui qu'elle avait acheté il y'a quelques années, un petit bâtiment de deux niveaux dont le haut faisait office d'appartement et le bas était utilisé pour sa boutique. Harris Donovan veux racheter son bâtiment pour le faire détruire ainsi que les autres aux alentours pour faire construire un hôtel, cependant Alya ne veut point se débarrasser de ce local car il lui a pris tout ces économies et la somme qu'il lui propose pour racheter cet espace est minime d'où son refus de plus ce cher monsieur Donovan ne cachait point l'attention particulière qu'il lui portait. Elle était dotée d'une beauté particulière dont elle ne semblait pas s'en rendre compte, un visage gracieux, une peau laiteuse, des cheveux bruns d'une telle beauté, et des formes gracieuses à faire tomber plus d'un, pourtant elle ne semblait pas s'en rendre compte.
- Du calme ma belle Alya je ne suis pas là pour parler du local. Dit-il sans cacher le regard pervers qu'il lançait sur elle
- Dans ce que voulez-vous ?
- vous invitez à dîner.
- Dés....s'apprêta t'elle à décliner l'offre qu'elle fut coupée par celui ci
- vous ne pouvez refuser vu que j'ai une solution à vous proposer concernant la vente. Dit-il sans se départir de son sourire vicieux.
- De quoi s'agit t'il ? Demanda t'elle avec espoir de pouvoir enfin se débarrasser définitivement de lui.
- Si vous ne venez pas mademoiselle Willis, je doutes que vous puissiez savoir de quoi il s'agit. De ce fait je vous attendrai demain soir à huit heures au Hell's palace, j'y ai déjà réservé une table. Dit t'il
- D...D'accord demain huit heures.
- Très bien à demain mademoiselle Willis.
Après une journée chargée, elle ferma sa boutique et monta se reposer dans son appartement.

Bonne lecture.