Harry Potter : The Link

Chapitre 1

Douze ans se sont écoulés, et après de très nombreux rebondissement lors de ma première année à Poudlard, où j'ai rencontré mon meilleur ami, Ronald Weasley, précisément dans le train qui nous conduisait à Poudalrd le premier septembre, nous voici enfin en deuxième année.

Ou presque.

C'est encore les vacances d'été et après avoir passé onze mois loin de notre famille d'adoption, les Durrsley, dont Pétunia est la soeur de ma maman, donc notre tante, le retour chez eux pour juillet et août a été difficile. Oncle Vernon déteste les sorciers et tout ce qui s'y approche, dont moi et mon frère. La tante Pétunia déteste sa soeur, Lily, et parfois elle semble heureuse qu'elle soir morte. Et ils ne se cachent pas pour nous le faire savoir. Oncle Vernon a même essayé de nous empêcher d'aller à Poudlad... Mais nous avons fini par avoir nos lettres, même si Hagrrid à du s'en mêler.

Aujourd'hui, cependant, l'Oncle Vernon est tellement remonté contre Harry et moi qu'il nous a bouclé dans notre chambre. Il a posé un verrou sur la porte, qui se ferme de l'extérieur, et des barreau à la fenêtre... Nos chouettes non même pas le droit de sortir...

Mais j'ai le pressentiment que quelque chose va bientôt changer et que cet enfer va prendre fin. Non, décidément, je ne supporte plus de vivre ici...

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Je me fais secouer dans tous les sens, je grogne de mécontentement et les secousses se font de plus en plus forte encore si bien que je finis par émerger;

- Humm...

- Lia, debout ! Ron et ses frères sont venu nous chercher !

- Quoi ? Mais il est presque trois heures du matin Harry !

- Tu n'as qu'à leur dire toi même...

J'ouvre les yeux et je vois Harry à moitié penché sur moi. Je soupire avant sa tête avec ma main. Harry tombe sur le lit et je rigole doucement. Pas question d'alerter les Dursley !

- Tu sais que t'as une sale tronche le matin ?

- Toi c'est pire.

On rigole et je vois que Harry à déjà préparé nos malles. Je souris et sors du lit en baillant. J'entends alors que quelqu'un toque à la fenêtre. Je tourne ma tête vers la fenêtre et un grand sourire prend place sur mon visage.

- Ron ! Fred ! George !

- Salut Malia ! Tu vas bien ?

- Maintenant oui.

- C'est top mignon mais...

- On a pas le temps pour les retrouvailles.

- Montez.

Harry et moi hochons la tête et Harry entreprend de hisse nos malles dans la voiture qui flotte à coté de notre fenêtre, sans un bruit sinon un petit ronronnement de moteur. Je monte en première, Ron m'aide et je m'installe. Harry passe ensuite sa lourde malle et Ron et moi la tirons par la poignée pour la hisser dans la voitures, Quand c'est fait, mon frère enjambe le rebord de la fenêtre déchiqueté après que les jumeaux aient arraché les barreaux qui bloquaient la fenêtre. Mais au moment où il commence à monter, l'oncle Vernon déboule dans la chambre et lui agrippe solidement la cheville.

- Tu n'iras nulle part gamin !

- Lâche moi !

Ron et moi, on prend alors Harry par les bras puis on le tire dans la voiture avec difficultés à cause de notre oncle qui le tire par les pieds dans l'autre sens tout en fulminant, tel un taureau prêt à charger.