sache que ce que tu pensais à ces instant,
n'était pas ce à quoi je pensais moi en disant ça.
je sais que c'est compliqué et qu'on imagine toujours plein de choses possibles derrières des paroles.
mais je n'ai jamais énoncée une seule fois,
tout ce a quoi tu pensais.
tu pensais ces choses a en croire que c'était aussi ce que je pensais.
or c'est faux.
ces derniers instants sont si vastes dans ma tête.
je n'avais plus le contrôle trop perdue et étouffée.
je n'était pas froide qu'avec toi.
j'en est la certitude.
par message part contre,
tu a pu croire le contraire en effet.
mais tout était faux et jouer.
j'évitais tout contact.
part messages comme physiquement.
les seuls messages rares au quel je répondais j'y répondais avec hypocrisie.
je faisais comme si de rien était évidemment en disant que si je répondais pas c'était que j'étais juste très occupée.
mais la personne que je voulais éviter part dessus tout,
c'était toi.
car j'avais trop peur d'affronter la réalité.
tu me ramenais à la réalité à chaque fois.
mais là je n'en avais pas envie.
j'aimais cette non réalité comme j'en souffrais.
alors je t'évitais plus que les autres,
c'est vrai.
mais je ne savais même pas si j'allais y survivre,
j'étais complètement inconsciente,
complètement shootée,
or de la réalité.
enfermée à en peiner de parler à nouveau une fois sortie.
à en peiner le contact,
voulant restez dans cette fausse réalité.
tu m'y a sortie.
sortie brutale.
8 avril.
VOCÊ ESTÁ LENDO
A cœur ouvert.
Poesia(Suite chronologique de « Pourquoi vivre dans un monde pareil ») A cœur ouvert. A prendre ou à laisser, ce n'est que ce qu'il se passe dans ma tête, et mon cœur. Merci.
