True love [Kazuha X Scaramouche]°

- Chapter 4 -

Pdv exterieur:

Il s'agissait d'un vendredi après midi nuageux, se préparant pour le dernier cours de la journée, Scaramouche se trouvait dans les vestiaire afin d'enfiler son uniforme de sport. Il modissait ses capacités physique et son endurance proche de zéro. Cette matière était bel et bien la pire de toute. Ce dernier détestait le fait de se retrouver avec des habits collant de sueur à halter à chaque fin de séance, ou encore à se retrouver dernier quand il s'agissait de courir le long du terrain pour s'échauffer avant chaque séance, il détestait ses poumons pour leur fragilité et leur vulnérabilité à l'effort physique. Il haissait le soleil tapant sur son visage qui lui hurlait de fondre sous la chaleur. Mais comme cet après midi il n'y avait pas de soleil, il s'était dit que ça ira. Deux heures passeront vite. Il devait tenir.

L'échauffement venait de commencer et il se sentait déjà épuisé. Il ne l'a toujours pas remarqué, cependant une paire d'œil rouge le suivait du regard. Kazuha avait remarqué que son "ami" n'était pas fan de sport. Il se mis à son niveau et couru à la même cadence que ce dernier afin de discuter avec lui.

- Tu tiendra?

Scaramouche jeta un regard interrogateur à celui ci qui le réceptionna avec un rire mélodieux. Il trouvait les expressions faciale de scaramouche fascinantes et assez drôle.

- Ne m'adresse pas la parole.

- Oh, tu me hais à ce point?

En réalité le violet ne le détestait pas particulièrement, il méprisait tout ce qui bougeait. Il avait besoin d'espace personelle et personne jusque là avait réussi à le penetrer. Il ne savais pas si celà était lié à son éducation et à son enfance encore une fois, mais des fois il n'aimait pas être si différent et associal. À vrai dire, son comportement ne l'enchantait pas dans certaines situations. Mais la vie lui a appris qu'il devais accepter sa personne et que pour rien au monde il ne changerais qui il est pour quelques primates insignifiants. Ayant perdu espoir que quelqu'un tolère sa personalité incompatible à ce monde, il préfère ne pas avoir de relations afin de ne pas subir les remarques ou le regards déçu des gens. Non pas que ça le blesse, mais ça l'énerve plus que tout.

Scaramouche le regarda, un sourire sarcastique au visage.

- Oui, maintenant va-t-en!

Kazuha fit semblant de bouder.

- La personne qui m'a aidé il y a quelques jours aurait-elle quitté ce corps?

Scaramouche grimaça à l'entente de ces mots. Il avait complètement oublié cet épisode de sa vie. Ce n'est pas quelqu'un de mauvais, il l'a donc aidé naturellement. Mais il aurait préférais que Kazuha ne s'en souvienne pas.

Le siflet du professeur retentit indiquant la fin de l'échauffement.

Scaramouche se reposa sur ses jenoux à l'aide de ses mains. Il respirait difficilement. Le sport, il détestait ça.

Kazuha pourtant s'en sortait comme un champion. Il vit une bouteille d'eau apparaître devant lui. Le méché la lui tendait.

Le violet l'a prise et avala un grand volume d'eau en un coup. Il essuya l'excès de liquide sur le côté gauche de sa lèvre et remis la bouteille à Kazuha.

- Merci.

Il s'allongea sur l'herbe, profitant de ces cinq minutes de pause dont deux minutes se sont déjà écoulées.

Kazuha l'observa un moment. Il avait l'air si paisible qu'il souhaitait partager sa même sérénité. Kazuha ne savais pas concrètement ce qui l'intéressait chez le violet mais il se sentait léger quand il était avec lui.

Deux heures s'ecroulèrent rapidement et le cours se termina. Après cette séance de pure bonheur, Scaramouche se precipita dans les vestiaire pour se changer et vite sortir d'ici. Il pleuvait dehors. En sortant du bâtiment quelqu'un l'appelait. C'était encore Kazuha. Qu'est ce qui lui voulait encore?

- Alors..voilà. Ça va te paraître bizarre dit comme ça.

Que lui voulait-il?

Je n'ai pas où passer la nuit. J'ai demandé à Heizo si il pouvait m'héberger mais ses parents ne m'apprécient absolument pas...

Il se frote l'arrière de la tête, un peu gêné.

Pdv Scaramouche:

Je sais pertinemment ce qu'il va me demander. Ha la bonne blague. Il crois sérieusement que je vais accepter? Personne, jamais personne n'a jamais posé les pieds dans ma maison, et ça ne changera pas. C'est de la folie. Je ne le connais même pas assez. Et puis ce n'est pas mon problème!

J'attends qu'il me pose la question afin de le recaler pour que je puisse enfin rentrer chez moi. D'un air épuisé et blasé, je le regarde souffler ces mots.

- Est ce que... je pourrais passer la nuit chez toi s'il te plaît?

- Non.

- Je te payerais. Ajouta-t-il.

- C'est d'accord.

Merde. Je me suis peut être précipité. Mais j'ai bien besoin d'argent là. Je modit intérieurement ma dignité pour avoir accepté instantanément après avoir enttendu le verbe payer...
On dirait qu'il avait prévu ma réaction depuis le début.

- Génial!

Il souria de plus belle s'agite comme un gamin de dix ans.

La pluie était légère mais on était tout de même trempé jusqu'aux os. Le soleil se montre petit à petit menaçant de faire apparaître un arc-en-ciel.

- Magne -toi si tu ne veux pas que je change d'avis.

Il mis sa main sur mon épaule comme si nous étions les meilleurs amis du monde et m'entraîne dans sa démarche.

Je commence déjà à regretter.

Sur le chemin, il fredonne tout un tas d'airs joyeux.

- Mes oreilles saignent.

- Oups. J'arrête alors.

Je ne peut pas m'empêcher de réfléchir sur la question, mais pourquoi il souris si souvent? Ce n'est pas comme si la vie était fantastique. Et puis aussi, il n'a pas l'air de détester mon comportement comme littéralement tout le monde.

Il assez collant.

C'est chiant.

Et il est imprévisible.

Il m'enerve.

Alors pourquoi? Quel est cette sensation?

Ça doit sûrement être parce que je n'est jamais auttant réussi à parler à quelqu'un. Ça alors...

Comme c'est drôle.

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Hey :)

Ces vacances sont ennuyants ouuu😭

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(Le pauvre) sorry not sorry.