Je vous l'ai dit j'suis de bonne humeur aujourd'hui. Donc je lui fait son café noir moi je me fait un chocolat chaud, je lui ramène son café et j'sens qu'il me fixe mais j'men fiche et je vais m'assoir.

Ibrahim: Je t'ai dit non.

Lui il est toujours énervé, matin énervé, midi énervé, soir énervé, y'a pas un jour ou il sourit et y'a pas un jour où il a pas les sourcils froncé.

Moi: J'avais pas entendu

Ibrahim: Si t'as très entendu.

Moi: Si tu veux. Et sinon t'as toujours pas retrouver mon téléphone ?

Ibrahim: Nan.

Moi: Ah.

Une fois que j'ai fini mon chocolat chaud je vais laver mon verre, je monte ranger la chambre et je redescend.

Il est bizarre d'habitude il trouve toujours un prétexte pour m'énerver mais aujourd'hui il faisait rien.

Moi: Qu'est ce que t'as ?

Ibrahim: J'ai rien casses moi pas les couilles.

Sa c'est fait pour casser l'humeur des gens. En même temps à quoi je m'attends moi aussi il me supporte pas et moi aussi juste moi j'essaye de faire des efforts.

Tout le reste de la journée j'suis restée dans ma chambre à rien faire je tournais en rond.

Au alentours de dix-huits heures il rentre dans la chambre.

Ibrahim: Va faire un truc à manger.

Moi: Ah là tu veux ?

Ibrahim: Oe je veux oe descend.

Moi: Va te faire un truc si tu veux.

Ibrahim: J'vais te niquer ta race on va voir ce que je veux.

Moi: Mais parle calmement pourquoi tu t'énerve ?

Ibrahim: Descend.

Il avait pas crier mais sa voyait qu'il était trèsss énervé donc j'ai pas cherché à comprendre je suis descendue.

Moi: Tu pourri l'humeur des gens tu sais ça ?

Ibrahim: J'men bas les couilles tu sais ça ?

J'ai fait des pâtes vite fait je lui ai servis son assiette puis j'ai commencé a monté les escaliers mais il m'as apeller.

Moi: Quoi ?

Ibrahim: Tu manges pas ?

Moi: Non

Ibrahim: Bah casses toi.

Moi: Bah c'est ce que je faisais.

Ibrahim: Bah continue à le faire.

Il veut toujours avoir le dernier mot il m'énerve. Mais rien que pour ça maintenant je voulais redescendre pour l'énerver moi aussi donc je suis redescendue.

Ibrahim: T'as pas comprit je crois, j't'ai dit continue de le faire pas de redescendre.

Moi: J'avais très bien comprit t'inquiète pas.

Ibrahim: Tu vois toi j'ai été trop gentil avec toi. *en se levant*

J'aurai peut être mieux fait de continué à monter je pense.

Ibrahim: Et maintenant tu croit trop j'suis ton petit et ça c'est pas bon.

Moi: J'ai jamais dit t'était mon petit.

Ibrahim: Nan sa se voit comment tu me parles.

Moi: J'te parle normalement.

Ibrahim: Bah changes ta manière de parler avec moi.

Chronique de Safiya: « Je suis pas comme tout le monde »Hikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin