Chapitre 12

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NOVA

Trompillon : catastrophes et catapultes ! C'est ça, votre nouveau plan ? Envoyez une petite fille dans la partie la plus sombre de la forêt, seule ?

Peter : c'est notre dernière chance.

Moi : et puis elle ne sera pas seule, Susan l'accompagnera.

Trompillon nous regarde tous avant d'aller vers Lucy.

Trompillon : vous ne trouvez pas, qu'il y a eu assez de morts comme ça ?

Blaireau : Nikabrik était aussi mon ami. Mais il avait perdu espoir. Contrairement à la reine Lucy. Et contrairement à moi.

Ripitchip : pour Aslan. Dit-il fièrement.

L'ours : pour Aslan.

Trompillon : alors je viendrais avec vous.

Lucy : non, on a besoin de vous ici.

Peter : nous devons attendre jusqu'à ce que Lucy et Susan reviennent.

Caspian : si je peux me permettre, dit-il en se levant, Miraz est probablement un tyran est un assassin...mais en tant que roi, il se soumet à toutes les traditions et respecte les attentes de son peuple. Et il y en a une particulièrement qui pourrais nous faire gagner pas mal de temps.

Mon frère me regarde et je comprends de quelle tradition il veut parler.

Peter : on vous écoute.

Caspian lui explique la tradition, et Edmund par ensuite voir notre oncle.

EDMUND

Moi : ''moi, Peter, par la grâce d'Aslan, par élection et par conquête, Grand toi de Narnia, seigneur de Cari Paravel, et empereur des îles solitaires, dans le but d'éviter une abominable effusion de sang, défi et appelle l'usurpateur Miraz, à un combat singulier sur le champ de bataille, jusqu'à ce que mort s'ensuive. Le vainqueur obtiendra une capitulation totale''.

Dès que je finis de lire, je replie le parchemin.

Miraz : dîtes moi, prince Edmund...

Moi : roi. Dis-je en le coupant.

Miraz : je vous demande pardon ?

Moi : c'est roi Edmund, à vrai dire. Seulement roi. Peter est le grand roi. Oui je sais c'est compliquer.

Miraz : pourquoi devrais-je accepter une telle proposition alors que mon armée est sur le point de vous anéantir ?

Moi : n'auriez-vous pas, par le passé, déjà sous-estimer notre nombre ? Car il y a une semaine encore, les Narniens étaient censé être éteints...

Miraz : et vous le serez bientôt pour de bon.

Moi : dans ce cas, vous n'avez rien à craindre !

Miraz : ah !

Il se met à rigoler.

Miraz : ce n'est pas une question de bravoure !

Moi : alors c'est avec bravoure que vous refusez d'affronter un adversaire qui a la moitié de votre âge.

Il s'accoude contre la table.

Miraz : qui a dit que je refusais ?

? : vous aurez notre soutien, votre Majesté, quelque sois votre décision.

? : sir. Notre avantage militaire à lui seul vous offre une parfaite excuse pour éviter ce duel...

Il se lève en sortant son épée.

Miraz : je ne cherche pas à éviter quoi que ce soit.

? : je mets simplement en évidence le fait que mon seigneur est parfaitement en droit de refuser.

? : sa majesté ne refusera jamais. Car c'est pour elle l'occasion rêver de prouver au peuple, le courage, de son nouveau roi.

Je vois Miraz réfléchir et il pointe son épée vers moi.

Miraz : vous ! Il vaudrait mieux pour vois que l'épée de votre frère soit plus aiguisée que sa plume.

Je souris légèrement avant de m'en aller.

SUSAN

Caspian ajuste l'étrier à mon pied avant de nous dire.

Caspian : Destrier est mon plus fidèle compagnon. Vous êtes entre de bonnes mains.

Lucy : entre de bons sabots. Nous dits Lucy en plaisantant.

Caspian sourit légèrement avant de me regarder.

Caspian : bonne chance.

Je détourne le regard.

Moi : merci.

Il sort ma trompe de son sac avant de me la tendre.

Caspian : il est temps que je vous rende cet objet.

Moi : vous feriez mieux de la garder. Au cas où cous auriez besoin de m'appeler.

Je souris avant de m'en aller.

Lucy : au cas où vous auriez besoin de m'appeler. Plaisante ma sœur.

Moi : oh ne commence pas ! 

You Are My QueenHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin