Trente-neuf

Depuis le début
                                    

Amir : J'LA LÂCHE PAS T'ES MALADE OU QUOI J'L'AIME TU COMPRENDS PAS QUOI PUTAIN A CAUSE DE SE FILS DE PUTE J'AI TOUT NIQUÉ

Une fois que j'ai ouvert la porte pour sortir je l'ai regardé une dernière fois et il avait mis un coup dans une chaise qui a volé à l'autre bout de la pièce.

Et voilà je suis dehors, il y a Adlen, son cousin et Zak avec moi.

Enfin.

Je suis libre.

J'avais mal au coeur, j'avais mal de voir Amir dans cet état, je savais qu'il allait se rendre fou de culpabilité mais il l'avait bien mérité.

Adlen : Tu veux que je conduis ?

Moi : Non je vais rentré seule ça va

Zak : Façon je viens avec toi j'habite en face vire moi pas

Moi : Non viens t'inquiète

Adlen : Vasy c'était assez mouvementé on va pas en rajouter, on se voit demain

Zak : Vasy merci Adlen wAllah

Adlen : Je l'ai fais pour elle

Je souris et on vas dans la voiture.

Zak : Ça va en vrai ?

Moi : Ça va je suis soulagée

Zak : Moi aussi, j'en pouvais plus d'Amir et ses crises d'ado

Moi : C'est à dire

Zak : Chaque fois qu'il te voyait avec Adlen dehors il petait un plomb t'imagine même pas, il t'insultait et ensuite il cassait tout cqui était autour de lui

Moi : Du grand Amir

Zak : Ta tout compris

Moi : uffffff

Zak : T'es saoulé hyn

Moi : Grave, j'suis épuisée aussi

Il me regarde et me sourit légèrement pour me rassurer.

On arrive et je rentre directement chez moi.

J'étais morte de fatigue, j'avais fais une nuit blanche la veille alors je me suis étalé sur mon lit.

Trou noir, un sommeil tah le coma !

Je me suis réveillé par des bruits à l'entré.

J'ai entendu sa voix ..

Ines : Non c'est mort tu rentres pas ! Adlen m'a tout raconté pour hier tu la laisse tranquille elle dort en plus

Amir : Heychik Ines chab je te supplie laisse moi la voir même de loin

Ines : Mais t'es malade elle dort j'te dis, quand elle aura envie de te voir elle t'appellera

Amir : NAN ! non faut que je la voix maintenant

Ines : Euh tu veux forcé la porte aussi ? non j'te dis aller oust

Elle claque la porte à son nez ! Cheh bien fais

Je sors de ma chambre.

Ines : Putain désolé je t'ai réveillé

Moi : Non j'ai bien dormi t'inquiète

Elle vient vers moi et elle me prend dans ses bras, elle me serre hyper fort.

Ines : Désolé de pas avoir été plus présente

Moi : Mdrr Ines tranquille y'avai Adlen il m'a toujours aidé

Ines : Heureusement je suis fière de lui

J'ai passé 3 jours comme ça... je fuyais Amir, il venait forcé Ines à ouvrir la porte et elle ouvrait jamais, je m'enfermais dans ma chambre, Adlen venait je le voyais rapidement puis il partait.

Enfaite je pensais que j'allais revivre après avoir eu ma vengeance mais c'était tout le contraire.

Un jour vers les coup de 15 heures avec Ines on entend des gars crier à la fenêtre alors curieuse qu'on est on regarde.

C'était un peu plus loin, il y avait un groupe de 10 gars.

J'ai bien sûr reconnu Amir qui était dessus Yousri à lui hurler dessus et à le tabasser, puis viens le tour de souley.

J'ai pas cherché à comprendre et j'ai refermé la fenêtre, je voulais rien savoir, c'est pas en donnant deux trois coups de poings à tout le monde que ça allait tout effacé !

Mais bon ma curiosité me démangeait ! Mais heureusement Zak est venu 1 heure après chez nous.

Ines : Zak OMG heureusement t'es la il s'est passé quoi ?

Zak : De quoi ? Taleur ?

Ines : Ouiii

Zak : Ah rien Amir a défoncé Yousri et sa bande pour qu'il supprime la vidéo. C'est mérité

Ines : Grave par contre c'est bien fais

Moi : Hm

Zak : C'est bon je sais que tu lui en veux mais arrête de nous faire la gueule à nous

Moi : Je fais pas la gueule

Ines : Ça ce voit pas trop hyn

Je lui lance un sale regard, pas méchant bien sûr.

J'étais pas d'humeur et avec personne, j'en voulais au monde entier.

J'étais en réalité contente qu'il essaye de réparer ses erreurs mais vraiment j'étais déçu, je lui en voulais.

Je l'aimais comme une folle, rien n'avait changé dans mes sentiments et c'est bien parce que je l'aime que je lui en veux.

Et les filles qui ont vécu des trauma similaires me comprendront, nous sommes les victimes mais c'est à nous de nous justifier...

Voilà 1 semaines après l'histoire.

Je me décide enfin à sortir, j'enfile rapidement mes baskets, je prend mes clefs et j'essaye de rejoindre le plus rapidement possible ma voiture.

Mais c'était sans compter sur lui.

... : Isra

Ma petite voix dans ma tête me disait « te retourne pas dépêche toi avance vite »

... : Isra attend !

Il pose sa main sur mon épaule pour que je me retourne.

Moi : Mais QUOI

Chronique d'Isra, pas l'un sans l'autreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant