Resident Evil 8 Village : Le Cadeau De Dimitrescu

Ce qui me déplaira.

- Je passais la porte du hall d'entrée pour aller dehors. J'attendais une commande très importante de la part du duc, j'ai commandé plusieurs bouteilles de vin rouge, et j'avais également commandé de la viande de bœuf. Lorsque j'apperçu le Duc, il me regardait toujours de son sourire nargueur, fumant toujours son cigare, les pieds à l'air en dehors de sa petite couverture, présentant ses produits coûteux sur deux petites tables. Il montrait des balles, des fusils, et de la viande de n'importe quel animal.

- Dame Dimitrescu, c'est un plaisir de vous revoir.
Disait-il. Je savais que son but était de me narguer. Il cachait quelque chose...

- Ou est ma commande ?
Je lui demande en colère au bord de la crise.

- Je craint qu'il n'y ait eu un problème justement en parlant de cela.
Me disait-il tout en fumant sans gêne son cigare devant moi.

-c'est à dire que...votre commande a eu un petit défaut. Nous n'avons plus de viande de bœuf, dévalisés. Cet hiver, la chasse et les récoltes sont assidues, nous n'avons jamais connu un tel froid...
Me disait-il de sa voix enrouée.

- Qu'en est-il du vin ?
Lui demandais-je en cachant ma colère.

- Il n'y a que cela qui vous attend dans ma roulotte. Vous en aviez demandé une vingtaine il me semble ?
Me dit-il avec un léger sourire.

- C'est cela oui.
Je lui dis. Pour la première fois de la journée, j'ai une petite lueur de bonheur dans mon cœur de pierre. Malgré cela, je ne lâchais pas le moindre petit sourire.

- Les voicis.
Me disait-il d'une voix enjouée. Il me montre un grand tonneau a côté de sa roulotte. Mes servantes le pris donc, et je rentre dans mon château sans le moindre au-revoir.

- Bonne journée Dame Dimitrescu.
Me disait-il tandis que je m'éloignais de plus en plus.

- C'est cela oui.
Lui disait-je sèchement alors que je m'éloignais.
Je montais dans mes appartements, je jettais mon cigare dans le cendrier, puis j'allume ma pipe, et je la fume. Mais je reçue un appel de Miranda.
Je m'assis brutalement sur ma chaise d'or solide et bien confortable et je pris le téléphone fixe et je le tenu près de mon oreille.

- Mère Miranda, je craint ne pas pouvoir vous amener votre viande de bœuf, le duc m'a informé de son piètre sourire qu'il était à cour de stock. Les récoltes et la chasse seront assidues durant cet hiver.
Lui disait-je tout en me mettant une nouvelle couche de rouge à lèvres.

- Car le froid fera des ravages, le duc a pu me donner les seules bouteilles de vin rouge qu'il lui restait hélas.
Lui disait-je d'un air agacé.

- Oui mère. Bien-sûr, je comprends l'importance de la cérémonie. Oui, mère, j'y serai.
Lui disait-je secrètement agacée par ses paroles.
Je raccroche mon téléphone fixe et je me lève brutalement. Je me dirigeais vers ma commode, là où une bouteille de sang et un verre étaient éventuellement posés. Je pris la bouteille de sang, je verse le délicieux sang qui était à l'intérieur dans mon verre à pied. Je pose la bouteille de sang sur ma commode et je bue le sang à l'intérieur de mon verre. Je sursaute lorsque j'entendis le téléphone fixe sonner à nouveau. Je pris le téléphone fixe et je le tenu près de mon oreille. C'était encore mère Miranda qui m'appelait.

- oui, bien-sûr. D'accord, vous pouvez compter sur moi pour être à l'heure et présentable.

Je lui raccroche brutalement. Elle avait un présent pour moi. J'ai horreur des surprises ! Qu'est-ce que cela peut être ? Je partis en vitesse au lieu de cérémonie, je rentre à l'intérieur et je vois Miranda faire les mêmes prières. Elle se retourne doucement et constate ma présence.