Bad bi...

Droit et contrainte

Comme tout les matins, tu te prépares pour te rendre à ton cabinet. Cela fait bientôt 2 mois que tu travail là-bas et tu n'en peux déjà plus. Ton patron te traite comme une bonne a rien, te néglige et ne te prend pas réellement au sérieux car tu est la plus jeune du cabinet. Il ne te donne que les affaires que personne ne veut régler et ne te paye pas tout ce qu'il te doit. Mais tu dois rester, pour ta grande mère, pour toi, mais surtout pour prouver a ta famille que tu n'a pas besoin d'eux et que tu y arrivera car tu n'es pas une incapable comme ils le pense. Tu t'installe à ton bureau et quelque minutes plus, ton patron rentre sans toquer pour te donner les dossiers que tu dois remplir, puis repars sans t'adresser la parole. Son bureau est situé à côté du tient et il a l'insupportable habitude de mettre la radio à fond. Tu entend a la radio qu'une fusillade a éclaté la veille dans une cité se trouvant près de chez ta grand-mère, et qu'un individu a été arrêté. D'après les journalistes, l'homme ayant été arrêté est un célèbre rappeur nommé Zola. Tu ne le connais pas car tu n'écoute pas de rap, mais tu t'en fiche de savoir qui il est, car au fond de toi, tu sais que même s'il va au tribunal, tu ne pourras pas le défendre car ton patron donnera l'affaire a un de tes collègue plus expérimenté. Tu viens de finir de remplir tout les dossiers que ton patron t'a donné ce matin, et tu t'apprêtes a rentrer chez toi. Avant de quitter le cabinet, tu passes par le bureau de ton patron pour lui donner la pile de dossiers que tu a rempli. Une fois entrée dans son bureau, ton patron regarde ton décolleté de façon perverse et te dit un sourire en coin: « Tu t'es habillé comme ça pour qui? ». Gêner, tu lui réponds que tu t'habille comme ça tout les jours et que tu le fais pour toi et pour personne d'autre. Il lâche  dans un soupir: « alala, les bonnes femmes... qu'est-ce qu'elle ne ferait pas pour attiré l'attention... » en continuant de te regarder de façon étrange. Tu commence à monter en pression mais tu essaye le plus possible de garder ton calme. Il te parle ensuite de l'affaire dont tu avais entendu parler à la radio ce matin. Il te dit que se serait vraiment génial si il fesait appelle a un des avocats de notre cabinet, ( ça nous ferait de la pub) mais que je ne devrais espérer avoir la chance de le défendre car il donnerait l'affaire a un autre employé plus expérimenté que toi. Tu quitte le cabinet, dégoûter par ta journée, par ton patron, par ta vie.