Juste Moi {Yelena Belova}

2.

POV YELENA :

On est dans le hangar ou Dreykov va nous être livré. Des veuves nous ont remercié en aidant les soldats d'Alex. Je ne sais pas comment Nat a pu passer à côté de cette beauté divine.

Elle est magnifique et respectueuse. J'aimerai vraiment faire parti de son équipe. Elle est neutre. Je crois qu'elle n'aime pas trop sourire.

A: Arrête de m'observer Belova. Ils sont arrivés.

Moi: Désolé d'observer une œuvre d'art.

A: Phrase de drague trop connu.

On descend et Alex paye les soldats. On retire le sac sur la tête de Dreykov pour le découvrir sale avec de la suie sur son visage.

Il sourit en me voyant.

D: Belova. Sa fait longtemps.

A: Tu peux le tuer quand tu veux okay ? Je vais vite fait dehors.

Moi: D'accord merci.

Elle s'écarte. Je prend une chaise et me met devant lui à cheval.

D: Tu es pitoyable.

Moi: Ironique venant de vous.

D: J'ai vu le regard que tu lui jette.

Moi: Quel regard ?

D: Celui qu'on jette à une personne qui nous plaît.

Moi: Et qu'est-ce que sa vous fait hein ? J'aime qui je veux, quand je veux, où je veux.

D: Yelena rend toi à l'évidence ! Tu es moche, grosse, une tueuse avec du sang sur les mains, la pute des Red Gardians, tu n'es même pas compétente et tu veux une femme de 8 ans de plus que toi qui est belle, forte avec un corps sans pareil ? Faut vraiment te rendre à l'évidence : tu ne lui plais pas !

Je sais que je ne pourrai jamais vivre une histoire d'amour avec elle mais l'entendre de la bouche d'un gars qui fantasme sur des veuves de 8 piges est très blessant.

Je sors mon flingue et le pointe sur sa tempe.

D: Elle vaut un 100. Toi tu vaux un 0. C'est un amour impossible ! - regarde derrière moi - Tu es un monstre Yelena. Les filles comme elle tue les monstre.

?: Je suis un monstre aussi. Sa fait d'elle ma protégé petit con.

Je me retourne. Elle est juste derrière moi.

A: Je n'ai pas entendu le début de votre discussion mais c'était assez pour que tu sois perturbé.

D: Vous devriez faire attention à Belova. Elle vous l'a mettra à l'envers. Un monstre reste un monstre.

A: C'est ce qui fait notre force.

Je tire. Je n'ai pas envie de l'entendre plus. Elle lui tranche le doigt où se trouve sa bague et le met dans une poche en plastique avant de le mettre dans sa poche. Elle me regarde et me tend la main. J'accepte son aide pour me lever. Je ne dis pas un mot et me dirige vers l'extérieur.

Elle me suit et me donne un casque de moto. On part dans une de ses planques. À l'intérieur, on se pose à table et on mange en jouant au carte.

Moi: Tu voudrais être ma coéquipière ?

A: Je fonctionne seule gamine.

Moi: Et moi aussi de base. Je te promet que j'obéirai !