Ceci est un dessin de tenshi
Le lendemain matin, nous nous étions réveillé grâce à la lueurs du jour.
Nous avions pris notre petit déjeuner, et nous sommes partis dans une forêt, peu loin du village.- que compte tu faire Hayate?
Demanda akamarya.
-j'ai une demande particulière à te faire. Pourrait tu ressuciter mon clan ? Il vénère les silphyde de la lune, et il a été décimer par des humains.
- je n'y vois aucune objetion.
Son regard... Il est vide d'émotion. Elle a tellement du souffrir....- mais il y a une condition pour pratiquer la réincarnation des corps.
- la quel ? Je ferai n'importe quoi !
-il faut un membre du clan en guise de sacrifice....
-je j'hésiterais pas une seule seconde pour me sacrifier pour eux !
Quand pourrons nous les ressuciter ??-dans 1 ans. Il faut que je m'entraîne.
- Hayate ! Tu va vraiment te sacrifier ???
-je suis désolé.... Mais il le faut.
- je n'y comprends rien. j'aurais fait la même chose , mais n'y a il pas d'autres alternatives possibles ??
-...
-répond... Je ne te laisserai pas mourir. Dis kage.-écoute kimiona. Entraînons nous pendant ces trois mois ci.
Quelques chose me dis que vous serez amené à combattre Akuma et tenshi. Et puis, nous pourrons toujours pratiquer la fusion des âmes !-qu'est ce ?
-une technique ancestrale de mon clan.elle consiste à fusion l'âme d'un défunts dans le corps de celui qui pratique cette technique.
-je ne veux pas.... Je ne veux pas que tu meurt. Tu ne peux pas. Dis je les larmes au yeux.
Si tu meurt il n'y aura plus rien !
Tu ne te réveillera plus. Tu ne rira plus. Plus rien !-écoute... Essaie de penser à autre chose.... Pense plutôt au futur combat à venir !
..........
~élipse de qlq jours d'entraînement ~
L'entraînement était rude. Kage devait travailler son endurace en utilisant le plus longtemps possible son alias, moi, je devais m'entraîner à manipuler plus précisément ma glace, Hikari, devait travailler sa force physique, et Hayate, se préparer mentalement en pratiquant des cérémonie.
~quels fin préfériez vous ? ~
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°✰why✰°
ParanormalParfois, le simple fait d'exister peut-être le plus horrible des crimes.