Amours & Bourrelets

1.

En terasse, sur paris.

Je comptemple autour de moi, les passants qui se baladent, le bruit du traffic, et toute ses personnes attablé à cette terrase de café. Une terrasse
a la promiscuité entre chaque client sacrement gênante d'ailleurs.

Mais c'est Paris. Paris qui vit.Meme si le temps n'est pas de la partie. Le soleil est couvert mais la tentation d'un après midi en terasse l'emporte.

- Un café glisse un client à la serveuse. Celle ci hoche la tête repartant à la hâte dans le bar.

Je m'etonne a remarqué toute ses interactions.
je croise le regard de ce client assez furtivement et sans que je ne le contrôle, mon regard devis a nouveau.
De la façon dont il me regarde, il doit penser que je l'épi. Ce qui est très vrai.. Mais son aura chaleureuse m'empêche de faire autrement.
Je me concentre sur autre chose à cette pensé. Il ne faudrait pas non plus passé pour une folle.

  - Livia ? Apostrophe t'il la serveuse a nouveau. De retour, café en main . Je t'en prie rajoute un café pour la demoiselle. il dresse son doigt vers .. moi

moi. MOI ! je tente de reprendre une contenance bien que destabilisé et les joues rosies. Il doit penser que je n'ai pas de quoi m'offrir la consommation.

Souriant face à mon regarde ahuri, il prend
son café et prend place en face de moi.
Je coince mon regard dans ses yeux bouillant. Ce contact me brule et je peine a tenir bon dans cette echange. J'aimerai mourrir a cette instant . C'est tellement gênant et inattendu.

- je me disais, que ainsi, vous pourriez mieux  me contempler. Finit il par dire un sourire chaleureux se dessine sur son visage

Pour rendre cette situation encore plus gênante qu'elle ne l'est, je n'ai toujours pas de crocher un mot. Lui ne décroche pas son regard du mien.

Et comme si les astres avait entendu mon appel à l'aide, la serveuse refait son apparition.

- café, comme convenu . Me dit elle en le déposant devant moi. Et repartant aussi vite.
Le malaise se réinstalle, j'aurais aimé pouvoir dire quelque chose mais n'en fit rien car c'est comme ça que je suis.

La situation était risible. Pourtant il me m'a pas fait sentir que c'est le cas. Il ne s'est clairement pas démonté face à mon mutisme. Il prend une serviette du coin de la table en y gribouillant quelque que chose puis la glisse vers moi avec des pièces qu'il laisse également puis s'en va.

Mon feu au joue ne s'amenuise pas. Si on pouvait mourrir de honte, mon coeur se serait arrêté sur le champ.
Je me risque à observer la serviette qu'il m'a adressé.

« Au roi du silence je m'incline, c'est toi qui gagnes. Mais saches que tu as gagné une bataille , pas la guerre » .