Chapitre XVIII

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Moi : et il sont ou ces documents ?

Shanks : seul  Rayleight sais, il était le bras droit de Roger.

Moi : on y va quand ?

Shanks : tu es malade ! Toi tu reste ici ! Je veux pas que tu y passe.

Moi : et pourtant je viendrai.
Et puis sa ne presse pas à moin que la police soit au courant de l'existence de ce document ?

Shanks : on ne sais pas mais il vaut mieux les brûler parce que si ils l'apprenne, ils seront plus rapide que nous .

Moi : je vois ...

Shanks :... bon on va pas gâcher cette soirée avec cette histoire !

Il me prend le bras autour de ma tête pour venir déposer un baiser sur mon front, ce qui me fait bien ÉVIDEMMENT     rougir.

Nous allons voir les autres, en ce tenant la main.

La fin de la soirée fut merveilleuse, cependant, l'idée que Shanks est été comme sa me trotte dans la tête.
Enfaite à première vue on ce sens comme dans un film d'action policier et tout mais ce n'est pas du tout ce que c'est.
Au final je suis un peut stressée par ce qui va suivre.
À l'idée de se faire pourchasser par la police me donne envie de tout renoncé mais en pensant que Shanks sera toujours avec moi me donne comme une chance, d'être protéger.

Quelques jours passèrent et je n'avais parlé de sa à personne, mais la fin des vacances approche et aujourd'hui spécialement c'est le dernier jour .

Je fais m'a valise, une main ce pause sur mon épaule, je sens très bien que c'est celle de shanks.
Je me retourne et dans un silence je le regarde pendant un moment, un sourire rassurant s'affiche sur ses lèvres, en prenant mon courage à 2 main je l'embrasse rapidement avant de retourner la tête vers ma valise pour ne pas qu'il me voit rougir.

Shanks : tu comptes faire quoi après les vacances ?

Moi : je n'en sais rien ...je te suivrais.

Shanks : Hanna,  si je dois partir tu ne peux pas venir avec moi et tu le sais.

Moi : mais tu me connais mal, quand je veux quelque chose je l'ai.

Shanks : tu veux la mort ou quoi ?!

Moi : et toi ? Pourquoi tu irais et pas moi ?

Shanks : parce que se sont mes affaires la naine !

Moi : et a partir de maintenant, t'es affaires sont aussi les mienne ketchup !

Shanks : pfff... tu est pas possible toi alors !

Il m'embrasse  le front avant de se lever et de descendre les escaliers.
Je le regarde partir, et si il essaie de partir sans moi je fais quoi ?

Voilà les vacances terminer et par mon malheur le retour des cours comme il nous on manqué...

Passons au chose sérieuse, je n'ai toujours pas oublier cette histoire avec Shanks, et sans aucun cas je ne le laisserai partir sans moi .

Je rentre dans le couloirs avant de m'arrêter nette avant de tourné, j'entends la douce voix de Shanks et celle de quelqu'un d'autre, mais celle si est tellement faible que je n'entends rien, il est donc au téléphone, je fus par peu surprise de cette discussion.

Shanks : quand ?
.... ce soir..... ok... attend je note l'adresse...

Il sort de son sac un carnet ou il écrit , le téléphone coincé entre son épaule et son oreille.

Shanks : ok.... sa faisait longtemps...
Ce soir je part.... seul oui...d'accord.

Il rapproche assez rapidement avant de regarder autour de lui.
Petit cachotier, je parie que il veut juste ce barré sans moi.

Seulement la situation est différente maintenant que je sais qu'il part ce soir.
Je me précipite donc avec mon sac vers le parking, il fait casiment tout noir mais la lumière blanche des lampadaires éclaire ma vue .
Je retrouve des yeux celle de shanks ou je cour la rejoindre, je regarde autour de moi histoire de ne pas me faire griller.

Par chance la voiture était ouverte comme sa fait environ 30 minutes que on vient de sortir.
Dans la place arrière il y a une couverture orange, celle qui nous a servi pour le voyage, je décide donc de m'installer confortablement.

                [ PDV de Shanks ]

Je laisse un petit mot à Hanna avec regret, je ne voulais pas l'abandonner mais pas la blaisser non plus .

Je reste planté devant sa porte, une minutes ou deux, je me souviens de tout ses souvenirs, notre premier baissé et nots nombreuses sortie.

Je ne sais même pas si je reviendrai vivant.

Je me décide à partir vers les escaliers, le temps presse et je ne pouvais plus attendre, on m'attendais.
J'ai aussi passer une petite lettre sous les portes des autres, mais celle destiné à Hanna était différente.

Il faisait nuit et grâce à la lumière des lampadaires je pus retrouver ma voiture, j'avais les clé en main.
Je me retourne regarde le lycée et m'éloigne vers la portière que j'ouvre et claque une fois assis.
J'enfonce la clé et la tourne, le bruit du moteur retenti, et j'imagine facilement Hanna et les autres qui discutent sans savoir que je ne risque de jamais revenir.

Je roule 30 minutes, mais au bout de 30 minutes j'entends des bruit de couverture, je me tourne rapidement histoire de ne pas mourir trop tôt dans un accident de voiture.
La couverture orange gigotte et tout en regardant la route je passe mon bras derrière pour venir la soulever brusquement.

????? : surprise !!!

Moi : Hanna !?

Je la regarde dans le rétroviseur, touts décoiffée vue qu'elle à passé 30 minutes sous une couverture.

Hanna : tu en as mis du temps à me démasquer.

Moi : nan mais comment tu savais !

Hanna : je t'ai entendu discuter au téléphone...* baisse la tête désolé *

( perso, écoute une musique bien triste histoire des émotions ;) )

Moi : mais tu ne peux pas venir !
Tu peux y rester ! Et tes parents et les autres Alors ?

Hanna : mes parents..., que je sois là ou  pas  sa ne leur change rien, et les amis, toi aussi tu les à laisser je te signale.

Moi : oui mais moi c'est des raisons personnelles ! Se sont mes problèmes ! Pas les tiens !

Hanna : à 2 on à plus de chance de revenir ok !

Moi : je lui dirai quoi ?... * soupire *
Puis on est trop loin pour te reposer.

Hanna : tu ne veux vraiment pas que je vienne, tu n'as pas confiance...

Moi : tu ne peux pas venir, c'est clair!

Hanna : * tourne la tête * arrête toi...

Moi : quoi ?

Hanna : Arrête toi !

Je me gare sur la vois de secours, parce que on est en pleine autoroute de nuit, un fois arrêter elle ouvre la porte, sort et la claque.

Sous une pluie de sentiments  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant