Un jour, je mangeais tranquillement ma part de pizza assise sur la table à manger quand il l'a jeté dans le carton et m'a embrassé sauvagement. Autant dire que j'ai été très surprise mais quand il a commencé à m'embrasser dans le cou, j'ai de suite céder et je l'ai laissé me déshabiller.

— y'a les gars qui viennent ce soir, me prévient le brun.

— oh trop bien !

Ça doit faire trois semaines que je les ai pas vu car depuis nos vacances à Los Angeles, je rattrapais un rythme de sommeil normal et j'ai commencé mes révisions. Je suis trop contente de les revoir !

— il arrivent dans deux heures j'crois.

— ok je vais me préparer.

— tu peux rester comme ça.

Je le regardais perplexe.

— tu veux vraiment que je reste en petite culotte et t-shirt oversize devant tes potes ?

Ses yeux noisettes descendent sur mes jambes dénudées.

— ouais non t'as raison vas te changer.

— bah voila !

Je l'abandonnais et allais prendre une douche. Ce matin, je m'étais réveillée et j'avais directement attaqué mes révisions. Alors une bonne douche s'imposait. J'en profitais pour laver mes cheveux. Sauf que je n'avais plus de shampoing alors j'empruntais celui de Ken en grimaçant. J'espère que je n'aurais pas les cheveux trop secs.

Lorsque je sortais de la salle de bain, je séchais mes cheveux et mettais de la crème pour définir mes boucles. Ensuite j'enfilais des sous-vêtements et mis un simple débardeur blanc et un short Nike. Je l'avais acheté à L.A l'avant dernier jour de notre départ.

A l'avant dernier jour de notre départ

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— t'as pris des fesses non ?

Je sursaute la main sur le cœur.

— j'sais pas, j'ai pas fais attention, répondis je.

Je sens ses mains attraper mes fesses et les palper.

— mais Ken ! J'enlève ses mains et me retourne, outrée. T'es sérieux là ?

— quoi ? Je vérifie juste, dit-il faussement innocent.

— ouais bah non. Est-ce que moi je te palpe le zizi pour savoir si ça a poussé ?

Il éclate de rire au point de se tenir le ventre. Je vois même des petites larmes au coin de ses yeux. Il est tellement mort de rire que je fini par le rejoindre. J'avoue que la manière dont j'ai sorti ma phrase était drôle.

— oh j'suis mort, dit-il à bout de souffle.

— t'es chiant, rigolai je.

— après tu sais, si tu veux le faire, ça me gêne ap, il me fait un clin d'œil.

Que des mots d'amour » NekfeuDove le storie prendono vita. Scoprilo ora