Il y aura toujours un peu de toi
Dans mes étreintes nocturnes
Même si le son de ma voix
A mit son plus beau costumeOn peut voir au fond de mes yeux
Les nuits blanches passées
Et sur mon corps un camaïeu
Du blanc au rouge foncéJe m'abandonne au plaisir charnel
Pour faire le vide dans mon esprit
Mais ta pensée me martèle/harcèle
Jusqu'au bout de la nuitJ'enchaîne les nuits blanches
Mes yeux sont cernés
Mon oreiller n'est pas étanche
Plusieurs fois je les noyéMais au matin une fois encore
Je revêts mon plus beau sourire
Même si mon coeur en moi est mort
Et que je ne vois plus d'avenirComme une émeute dans le coeur
Qui a formé un trou béant
Et tu en es l'auteur
Petit être que j'aime tant.
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Borde(r)line in my mind
PoetryCahier de bordel en chantier. Le port du masque est conseillé. Pour ne rien laisser transparaître.