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Rosé: Il est trop tard pour beaucoup de choses... appeler la police n'aidera personne.

Jennie: Je n'aurais pas besoin de les appeler si tu voulais bien dégager de chez moi !

Rosé: J'ai laissé quelque chose sur le seuil.

Jennie: Et on peut savoir de quoi il s'agit ?

Rosé: Un cadeau.

Jennie: Un quoi ?

(Rosé en son for intérieur: UNE CHAISE ! NON MAIS TU FAIS EXPRÈS OU BIEN T'ES CON JAMI ?!)

Rosé: Descends vérifier par toi-même.

Jennie: Pourquoi je ferai ça ?

Rosé: Viens juste à cette porte Jennie ! Tu me dois bien ça.

Jennie: Hum, d'accord. Mais après t'as intérêt à te tirer pauvre folle.

Rosé: Oui, t'inquiètes pas, je partirai bientôt...

Jennie ouvre la porte et fait quelques pas sous le porche, son portable à la main. Soudain, un coup de feu retentit. La balle loupe tout juste sa jambe et  elle retourne à l'intérieur en courant. Elle ferme la porte à quintuple tour, quand son téléphone vibre.

Rosé: Ne t'inquiète pas, j'ai fait exprès de te manquer.

Jennie: TU VIENS DE ME TIRER DESSUS ?! MAIS T'ES COMPLÈTEMENT MALADE ! (Soit dit en passant, tu sais juste pas viser en fait)

Rosé: Si tu appelles la police, je rentre et je te tue. Et cette fois, je ne manquerai pas.

Jennie: Tu me crois bête à ce point ? J'ai fermé la porte à clé, et tu n'arrivera jamais à la forcer.

Rosé: Je n'ai pas l'intention d'entrer en enfonçant la porte. Je ne veux pas qu'on puisse m'accuser d'effraction en plus de meurtre.

Jennie: De...De meurtre ?

Rosé: Oui, mais seulement si tu ne coopères pas.

Jennie: Mais qu'est ce que tu attends de moi bordel ?


Sans cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant