Je ne penses pas qu'il y est de mot pour les je t'aime,
De promesse pour les jamais,
De certitudes pour l'infini.
Je ne crois pas qu'il y est d'alternative,
Aux versés des larmes en secret,
Aux petits bout de rien,
Aux morceaux dans les mains.
On brise, on attache, on joue, on casse,
On trouve toujours la mélodie qui nous rattrape.
On aime, on pleure, on rit, on croit,
On sait bien que ce sera toujours le matin.
La rosée du matin s'apprécie la nuit,
Les couchés de soleil se regardent les volets fermés,
Les meilleurs cris sont ceux dans l'ombre,
La beauté ne peux être vu qu'avec de la noirceur.
Dans cette immense plaine,
Règne sans grande peine,
Une reine de coeur,
Dont les cerisier sèchent les murs,
Dont la pluie blanchit les heures,
Dont le corps meurtrit n'apparait que sous un abri,
Contemplant le résultat d'années conséquentes.
Je vous parle d'un conte,
Où Blanche-Neige est noire comme la cendre,
Où votre regard attire les méandres,
Où les oiseaux ne chantent qu'après le dénouement,
Où les cloches sonnent uniquement pour les enterrements.
Même si la reine demeure,
Ses cris nous emportes où son coeur le veux,
Et il va là où personne ne peux l'atteindre,
Caché dans le plus saint des Saints,
Juste au creux de nos mains impies.
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Positif + Positif = Nulle
PoetryThought of a girl tired of everything French poem ( except the first and the second ) Try it if you have the brave for 🎏
