Chapitre 3 : MAMAN !

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J'attend comme une imbécile à l'hôpital, quand le docteur s'approche de moi.

Le docteur : Je suis désolé...

Joy : Quoi !

Le docteur : On l'a plongé dans le coma, mais on ne sait pas si elle va se réveiller un jour...

Je m'écroule au sol en sanglot.

Le docteur : Avez-vous de la famille que je dois prévenir ?

Joy : Non...y'a...que moi...

Le docteur : Bien, je vais vous laissez.

Je reste là au sol, comme une idiote. Je prends mon téléphone et regarde mes contacts, je vois mon directeur et je décide de l'appeler.

Ray Dark : Joy, tout vas bien ?

Joy : Ma mère...hôpital...coma...

C'est les seules mots que je réussis a prononcer.

Ray Dark : Je vais t'emmener chez l'un de mes amis, ne bouge pas.

Sur ces paroles il raccroche et je reste là.

Le docteur : Puis-je avoir votre numéro en cas de difficulté ou autre ?

Joy : Oui c'est 07 8* ** ** **.

Le docteur : Merci.

J'hoche la tête.

Ray Dark : Suis-moi.

Je le suis, je suis complètement boulversé.

Joy : Je suis sûr que c'est à cause de mon géniteur...

Ray Dark : Je vais mener une enquête, je t'emmène chez les Sharp, ils vont s'occuper de toi.

Joy : Les Sharp ?

Ray Dark : Ne t'en fais pas, Jude ne posera pas de question.

Je ne répond pas, mes yeux sont rouges gonfler.

On arrive devant ma maison.

Ray Dark : Prends des affaires.

Je rentres dans la maison, je vois encore la marre de sang, je monte vite prend un sac et y met mes affaires. Je descend et ferme la porte de la maison à clef.

Je remonte dans la voiture de mon directeur et m'emmène chez les Sharp.

On arrive devant une grande maison, une sorte de manoir ouais.

Ray Dark frappe à la porte.

??? : Monsieur Dark, venez entrer.

On entre.

Ray Dark : Monsieur Sharp, je vous présente Joy Black, j'aimerai que vous vous en occupiez le temps que je lui trouve quelqu'un qui pourrait s'en occuper.

Monsieur Sharp : Avec plaisir monsieur Dark. Le major d'homme va te conduire à une chambre d'amis et viendra te chercher pour le dîner.

Joy : D'accord merci monsieur.

Je suis le major d'homme, il me conduit à une chambre, elle est grande, je m'installe vite fait.

Je reste fixer sur mon téléphone, en espérant que l'hôpital m'appelle pour des bonnes nouvelles.

Quelque heure plus tard, le major d'homme vint me chercher.

Le major d'homme : Le dîner est prêt.

Joy Bianchi Where stories live. Discover now