[SOIXANTE-DIX-SEPT]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

« Les sentiments ça ralentit, le cœur fermé, là j'suis à fond »

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« Les sentiments ça ralentit, le cœur fermé, là j'suis à fond »


MAËLLE POVLICHA




Je grogne un peu quand je sens le corps de Nabil se coller au mien, ses bras autour de mes épaules, sa joue contre mon front, je me colle un peu plus à lui sous le drap, sa main descend sur le bas de mon dos pour finir sur ma fesse seulement couverte d'un bas de sous-vêtements, je souris faiblement contre son cou.

- Tu étais où ? Je lui demande contre son cou.

Nabil - Mon père m'a appelé. Je fais un petit sourire en entendant sa voix encore un peu rauque et endormie. Il sera aps là quand on sera en Corse mais il va v'nir nous voir dès que l'on rentre. Je fronce légèrement les sourcils et je relève la tête vers lui.

- Nous ? Tu parles bien de toi et Tarik hein ? Il baisse la tête vers moi, un sourire de coin.

Nabil - Y'a aussi nous, nous deux. Je me relève doucement sur un bras en tenant le drap contre ma poitrine.

- Toi et moi ? Il hoche la tête et j'ouvre doucement la bouche.

Nabil - J'veux que tu rencontres mon père, tu vas déjà rencontrer la femme que j'considère comme ma mère et ma p'tite sœur aujourd'hui alors après il manque juste lui. Je le regarde et je stresse un peu à l'idée de rencontrer son père.

- Tu es sûre de toi ? Il hoche la tête. Enfin, je sais que ton père est quelqu'un de très important pour toi et Tarik alors le rencontrer ça veut dire qu-

Nabil - J'sais que c'est toi la femme de ma vie. Il remets une mèche de cheveux derrière mon oreille, je mord doucement ma lèvre.

- Arrête de me dire ça comme ça à peine réveillée. Il ricane et je cache mon visage avec le drap. Arrête de rire.

Nabil - Bébé. Il abaisse doucement le drap et je le regarde avec un peu les larmes aux yeux. Tu veux bien l'rencontrer alors ?

- Oui, si tu es sûre de toi, de nous. Il sourit et attrape mon poignet, il me tire doucement sur lui, j'écrase doucement mes lèvres sur les siennes. Tu auras jamais la chance de rencontrer mon papa mais je suis certaine qu'il t'aurait aimais directement. Je souris doucement, la voix pleine de larmes.

Comme pas deux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant