Chapitre 2. Le jeu

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La prédiction fut vraie, les jours suivants ont été une vraie catastrophe. Le patient qui était calme, devenait agressif plus les jours ont suivi. Il était comme on l'avait décrit, quelqu'un qui été impossible a résonne. Cela avait commencé par des simples refus de coopérer. Puis c'était de complètement repousse les aides-soignantes. La nourriture terminée gentiment dans leurs figures, profitant pour les terrifiés. La situation devenait si incontrôlable, que seul le psychiatre été autorisé à lui rendre visite. Arthur n'arrête pas de cette posés des questions sur ce patient. C'était cette chose qui le rendait incontrôlable. Si seulement il arrivait à lui faire passer à autre chose. C'était une énigme sans explications, un puzzle avec des pièces cachés. Quand il arriva à l'hôpital, il apprendra que des infirmières avaient entendues des cries qui venait de sa chambre. Par vérification c'était juste une crise, que bien sûr seul Arthur pouvait essayer de gère. Tout en buvant son café, il prenait l'ascenseur. Il devait passer aux bureaux des infirmières avant. De quoi prend ces médicaments, s'il accepté de les prend avec son repas. Car il fessait aussi une grève de la faim, sans aucune raison révèle. Par un dernier soupire, il finit par rentré dans la chambre du patient. Qui n'était pas là, il était dans la salle de bain. En mettant le plateau sur la commode, il s'avança progressivement vers la porte de la salle de bain. Qu'il n'ouvre sans problème, le patient était bien là assis contre un mur, la tête dans ces bras. L'arrière du crâne saigne un peu, il c'était peux être amusé à la cogné la plus fort contre le mur. Mais il efface vite l'idée de l'amusement, Eden était devait être en crise nerfs. Des larmes coulaient de sur son visage en étant tout tremblant.

C'était la première fois qu'il se montrait d'un état de faiblesse. Il continua au regard en s'essayent d'examiner ces blessures. Son saignement n'était pas si grave, peux être mettre un bandage mais pas d'ouverture de crâne, rien. C'était plutôt rassurant. Le patient n'avait pas l'air de l'avoir remarqué. Il le secoua légèrement en essayant de communiquer avec ce dernier.

- Eden, est ce que ça va ? Est-ce que tu veux bien me regarde ?

Il parla d'une voix calme, ce que le patient avait l'air d'avoir entendu. Eden avait repoussé tout approche du psychiatre qui recula. Continuant de marmonne des choses incompris. Pour une fois il n'avait pas l'air complètement agressif, même s'il avait rejeté son rapprochement et l'avoir poussé légèrement. C'était autre chose que de frappe sans raison. Lorsqu'il essaya de lui reparle. La colère du patient commence à monter.

- FERME LA ! N'essayez même pas de m'approcher. Ne vous voulais pas que votre femme et vos enfants vous retrouvé à l'hôpital ? Ou même mort ?

Il parlait d'un ton sérieux et à la fois menacent. La menace ne lui fessait rien, même l'information qu'il soit marié n'ai pas surprenant. Il avait qu'à voir sa blague pour le savoir. Faire des suggestions d'après des observations n'ai pas malin, ni original. Tout on le regarde, il insista pour essaya de le parle. Ce n'est pas sa menace qu'il va lui empêche. Cette fois il n'allait pas jouer la gentillesse.

- Tu te croit malin ? Tu ne peux pas terrifier des gens avec ce genre de menace. Je te donne deux solutions, soit t'arrêter de jouer au con, soit tu continu et ta chambre tu ne vas pas la revoir avant un moment. Je sais tout ce que ta fait ces derniers jours, c'est marrant d'agresser les gens et les blessés ? La plaisanterie est terminée. Si tu veux coopère lève-toi pour revenir dans ta chambre, je te soignerais et t'aura intérêt a mangé.

Ces mots ne lui fessaient ni chaud, ni froid. Il on rigole même comme une blague. La preuve, a peine il fait croire de suivre ces ordres qui tente de l'agresser. Il c'était lève avant de foncer sur lui pour la plaque contre un murs. Tout en mettant son bras sur sa gorge. Qu'il tenté de l'étrangler. Eden était pris d'une colère montante qui ne contrôle pas.
[il le mérite après tout !]
Le psychiatre résista, ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait. Il finit par sorti une seringue de sa poche avant de la planté dans son bras droit. C'était l'erreur d'Eden de ne pas avoir vérifié que ces poches été vides. Sinon il aurait plu changer de stratégie s'il savait pour les seringues. Arthur ne voulait pas en venir la, mais il l'avait prévenu. Quand vous prévenais un enfant de pas mangé en cachette. Si il est pris c'est qu'il avait conscience des choix. Mais il avait préféré faire l'inverse du bon sens. Comme si cela fessait parti d'un jeu. L'effet de la morphine fessait effet, Eden c'était écroulé dans les bras du psychiatre. Il a voulu joue au malin. Mais il ne rentrera pas dans son jeu.

Le jeu du diableWhere stories live. Discover now