Change mon âme.'~{On break }

Chp.I

L'atmosphère ne planait que dans le vide.

La cage thoracique se levait, rapidement suite à son abaissement paisible. Cette sensation était le résume du paradis, même si quelques rayons de soleil dérangent se cadre si parfait. Quand vous tendiez vos oreilles, les gazouillements des oiseaux paraissaient comme des anges à cette horizon. Sans également mettre de coté ce bon lit chaud, avec des nombreuses capacités, comme à être moelleux à souhait, rendrait saint n'importe quel humain malfaisant.

Au paradis, une certaine chose n'était pas du même avis que moi. A l'intérieur de la chambre, un bruit assourdissant et répétitive faisait son entrée fracassante, non désiré. Je pouvais littéralement sentir les tympans saigner à blanc, pendant que mon oreillé tentait de faire barrière sur ma tête.

- Laisse moi tranquille...j'ai besoin de sommeil. Raclement de gorge

Cependant, une supplication dormeuse n'aura pas eu raison du démon, pleurer ou crier ni changera rien malheureusement. C'est donc dans ce somme, que je quitte mon lit d'un râlement interminable. Les fameux oisillons qui chantaient sur l'arbre on prit la poudre d'escampette, en voyant mon humeur très jovial et ironique.

Mes pieds se baladent dans les couloirs de la maison, qui on pour mission de m'amener dans un lieu où je pourrais me nourrir. Dans le frigo où ma peau se brule, un petit pancake et quelques œufs m'attendaient gentiment me retour pour les dévorer. Mes doigts fines se plaquent à l'assiette en l'apportant au micro onde programme sur décongélation, sans  le mettre sur un haut degrés de chauffage. Les gargouillements me donnent le mal en patience, appuyant chaque rotation que ce plat faisait sur ce disque.

Bring, bring,bring

"Enfin prêt"

Je saute sur le plat, en oubliant les bonnes manières. Seul mon ventre prend possession de mon corps, mais je ne riposte pas non plus, je meurs de faim pour réfléchir convenablement.  Je lèche mes doigts remplient de sauce, avant de poser vaisselle dans le lavabo. Je n'aurai pas le temps, pour une vaisselle rapide donc je la laisse pour plus tard. L'urgent serait un bain, sans compter que je connais pas l'heure exact pour savoir si oui ou non je suis déjà en retard pour mon établissement scolaire.

A l'étage, je pourrais trouver mon bonheur sans trop de difficultés.  Un craquement de dos puis nous y voilà, j'ôte mon t-shirt large sans trop de mal, et forme un chignon par le biais d'une attache de cheveux de forme fleurie sans trop me soucier du rendu. Je retire mes derniers tissus, puis une réflexion me griffonne, en reluquant la pièce, je me rends compte que j'ai oublié une chose essentielle, mes ongles pissent l'arête de mon nez en signe d'exacerbation.

- Merde, j'ai encore oublié cette foutue serviette

Ni une, ni deux, mon corps me dirige vers ma chambre vêtue comme un vers.Prends une serviette sur la table de travail, pour finir à la pièce principal, la salle de bain. De l'eau froide se découle sur ma peau qui se brule à ce contact, le but était de me réveiller dans l'optique de me détendre plus que la veille. Une mousse de savon blanche recouvre ma peau, avant de se retrouver par terre sur le jet de l'eau.

Mon poignet se referme sur le bouton de douche, puis se retrouve sur la poignet de la cabine pour m'extirper d'ici en vitesse cette fois ci de manière plus désante, donc une serviette pour cacher mon intimité.

Tout ça est paradoxale, quand ma pièce à coucher est bien ranger. Quand mon esprit revient à la réalité, il se dirige vers les milliers de vêtements se dressant dans mon armoire ornée de motifs des plus originaux. Mes yeux passes sur plusieurs modèles, des robes noires à dos nu, des jeans en plusieurs coloriés, et des hauts de je ne sais quels magasins. Un soupir s'échappe de ma bouche, d'abord je prends des sous vêtements et je verrai le reste sur le moment.

Finalement mon moment sera ce jolie petit ensemble avec quelques bijoux:

La tenue que tu as pris :

Mon sac est en main,  même si ce dernier pèse une tonne  dû aux livres de cours, je peux enfin dire que je suis prête. Un coup de brosse, et le tour est joué comme l'heure qui m'indique que j'aurai du faire un allongement de sommeil. Tant pis, les dieux ont peut être choisirent mon sort à ma place, un jour spécial dirais je.

Mes pieds me font rejoindre la porté entrée de ce mobilier, pour que je puisse enfin prendre le chemin de l'école. Je me chausse en chaussures obligatoires pour l'établissement, et souhaite un au revoir. Alors que certes, j'ai perdu mes parents depuis déjà 3ans, me retrouvant seule dans cette habitation reçu en héritage accompagné de  plusieurs choses de valeurs.. Je ne juste perdre leurs mémoires, ni les rires qui hantent toujours les lieux. Un dernier coup d'œil à la porte fermée à double tours, pour enfin rejoindre une connaissance.

Trajet

Les chemins sont étroites, cependant l'air y est agréable. Des pétales de cerisiers recouvrent les lieux, rendant l'instant plus magique que jamais, chaque maisonnettes rendent l'histoire de ce quartiers puis authentique.

Je ne compte pas le nombre de pas que j'ai fait, changeant toujours ma direction de droite à gauche à plusieurs intersections. Puis, un modeste architecture interpelle mon attention. La couleur est de verte en façade font ressortir les tournesols sur la terrasse, on peut dire que la niche pour chien rendrait n'importe américains adepte de ce lieux familiale. Un sourire s'affiche sur mon visage, et mes pas continuent. 

Toc toc 

Je fais un recule, en zieutant des pattes d'appartements.

- Ochacu...

Je lui donne une tape sur l'épaule, en désaccord avec ce que je vois.

- Aïe

Cette dernière grimace, déformant son jolie petit minou endormie par la fatigue. Ses beaux cheveux marrons emmêlés, lui donne cet air d'innocence pure me faisant décrocher un énième sourire de cette matinée . Par instinct, elle passe une main caressante sur sa peau fraichement endolorie par l'impact de mon coup.

- Qu'ai je fais pour mériter ça ? dit elle d'un air boudeur

- On a cours je te signale, et tu es toujours en pyjama. Alors madame l'endormie, dépêche toi.

Tout en disant ma phrase  je la pointe du doigt, ce qui ne l'enchante pas. Après tout, qui aime se faire réprimander à une heure pareille ? Je ne peux pas la blâmer de partir avec son visage rongeons, avant de faire une autre apparition devant prête pour m'accompagner au lycée Yuei.

De nature énergique, ma petite châtain m'entraine en direction de notre destination final part la main, en courant en effacent la petite réprimande de plutôt. Je ne peux que courir sur le fait de l'adrénaline. 

" C'est bien ma meilleure amie" 

:( Désolée, si l'écriture est mal présentée. A bientôt