~Chapitre 4 : Le chat sauvage

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"-Jonathan? Tu es un maniaque du contrôle, qui aime les jeux sexuelle tordus, c'est sa?"

Nous nous retrouvions pour une deuxième fois, dans cette appartement loué par ces soins. C'était "notre" appartement, l'appartement dans lequel il jouait avec ma faiblesse, avec mon corps et mon âme , en l'échange de son silence. Je lui parlais froidement. Ma froideur mettait une distance, un mur invisible entre nos deux corps d'hommes. Cette distance il la brisa en un simple claquement de doigt, lorsqu'il vint effleurer d'un revers de main mon cou. Ma zone sensible.

Sur son visage de jeune serpent , ce dessinait déjà un sourire plein de fierté. Il avait gagné mon corps certes, mais mon cœur c'était autre chose. Il n'aura jamais plus qu'un corps vide, qu'une coquille sans âme, rien de plus qu'une chaire humaine, et cela me répugnait d'autant plus. Ce chantage était la conséquence de mes mauvaises actions, de mes adultères a répétition. Dieux m'avait punis de cette manière. C'était injuste.

Jonathan prit entre ces mains mon manteau de marque, pour par la suite le déposé convenablement sur un chaise en din. J'étais vêtus d'un simple jean en tissus vert fougère, accompagné d'une paire de converse et d'une chemise blanche comme la neige. J'aimais être chic et casuel à la fois. Jonathan, avait remarqué mon goût prononcé pour la mode masculine, il prenait soin de ne pas salir ou abîmé mon manteau a 400 boulais . Je l'étriperais d'une force sur humaine si ...

M'arrachant a mes pensées digne d'un fana de mode, le jeune brun fit sortir un son de sa bouche. Ce son m'était bien-sûr destiné:

"-Tu sais mon petit Mal, a l'époque je ne pouvais même pas espérer t'approcher ou te toucher comme un mec homosexuel . Tu étais trop entourer, trop hétéro, trop fort par rapport a moi. A ce que je voix, tout cela a bien changer. J'ai moi même changer. Quand nous étions au lycée, il était inimaginable de t'avouer mes sentiments d'adolescent amoureux"

Son discoure, me déclencha un hoquet de surprise. Je l'observais comme un chat a l'affût d'un danger, lui il continuait son discoure d'homme émotif a l'évocation du passé. Sa voix ce fit plus poignante, plus sérieuse, plus âgé; et tout en s'approchant de moi il m'avoua ces sentiments les plus cachés:

"- A l'époque tu étais un chat sauvage... Je vais te dompter, t'attraper et t'emprisonner. Tu sais mon Malou, c'est grâce a ta faiblesse que je peux te faire tout sa. Ton discoure est bien celui d'un mari lâche, d'un vraie peureux. Tu ne fais jamais face aux problèmes, tu l'évites voir le fuit. Au pire des cas, ce n'est pas de ta faute à toi ; mais celle des autres."

Une chaleur vint alors ce posé délicatement sur ma taille, elle frôle mes hanches et les enlace d'une étreinte presque charnel. Me guidant vers ce qui me semblait être un canapé Ikea , Jonathan vint nicher son visage au creux de mon cou, pour y chuchoté de son souffle sucrée des murmures :

"-A cette époque je n'étais même pas en mesure de recourir a quoi que ce soit pou t'atteindre. Tu étais une étoile lumineuse, moi je n'étais qu'un simple chien égarer. "

Je n'avais pas le droit de résiste, c'était la première règle. Allais-je découvrir de nouvelles règles au fur et a mesure du jeu? Il jouait avec ma nuque comme un enfant. Il l'effleura du bout du nez, du bout de ces lèvres humides puis la prit entre ces dents pour suçoté comme un vampire, ma peau blanche. Cette étreinte sensuelle, me rendait encore plus faible qu'avec une femme. Cependant, je comptais bien ne pas me laisser mal mené ainsi, et dans un dernier espoirs de fuite , je lui adressa des mots étouffer entre deux respirations haletante:

"-Si tu crois que je vais me laisser faire ainsi. Tu obtiens tout ça par le chantage, espèce de petit raz ! Tu te mets le doigt dans l'œil si tu crois que je suis...

-Faible? Me coupa t-il, comme si il avait deviné la fin de ma phrase. Tu es faible Mal,et voilà ou ta faiblesse te mène . Mon comportement est méprisable je sais. Mais si tout cela t'es insupportable tu n'as cas te dire que tout es de ta faute. "

Ses lèvres, ce pressent le long de mon cou déjà frémissant . Il m'allongea doucement sur le sofa en velours bordeaux,transforma ces effleurements en caresses brusque et vint goûter a mes lèvres entre-ouverte. Il entra sa langue dans ma bouche, chercha la mienne et la trouva en l'espace de quelques instants. Mon dos ce cambra sous la sensation. Nos langues jouaient , ce cherchaient timidement , mais sûrement. De doux papillons vinrent me chatouiller le bas du ventre. Étais-ce du plaisir? De l'envie ? Fermant les yeux comme un enfant apeuré, je me convainquis que non.

"-Tu ferme les yeux. Tu as si honte que sa? Tu es fais pour être passif, tu choisis toujours la faciliter mon Malou."

Sa main grande comme celle des pianistes, remonta le long de ma cuisse tremblante, et envoûté d'une sensation qui m'était inconnue. Mes joues c'étaient teinté d'un rouge vif pendant mes moments d'absence. Cette abrutis, ce vicieux, ce serpent à sonnette me faisait de l'effet. Mordillant ma lèvre inférieur d'une force que je me croyais pas capable, je me retient de prendre mon pied. Il avait le dessus sur moi, il était au dessus de tout ce qui émanait de mon être. Mon jean ce fit alors bien plus serrer, mon érection contenus dans mon chandail, demandais juste a être libérer . La main de Jonathan vint alors empoigner l'une de mes fesses, me remplissant d'un désire encore plus différent des autres . Ma respiration bien plus forte et haletante me trahissait, trahissait mon envie d'être impassible face cette situation.

Toutes ses caresses étaient calculé. Il est doué, il arrive a faire échapper des gémissements de ma bouche. Retiens toi. Me retenir, contenir tout ce surplus de plaisir , de sensation qui me submerge. Contenir tout cela en moi , était mon objectif. Le brun, retira avec ses dents mon jean, l'abaissa de sa main libre puis embrassa la peau de mon ventre. Tout es doux et lent avec lui. Cette lenteur en est presque insupportable pour l'impatient que je suis.

Ma lèvre saigna sous la pression incessante de mes dents. Jonathan remarquait le moindre geste incontrôlé que je faisais, le moindre son que j'émettais. Et lorsqu'il me voyait pousser un couinement bien plus fort que les autres , il relevais les yeux , souriait joyeusement puis ce concentra sur sa proie ; sur moi.

"-Tu réagis comme un puceau. " Avait-il balancé pendant que je donnais un coup de rein incontrôlé.

Il ce fichais de moi, ce fichais de mes réactions. Fronçant mes sourcils pour lui faire par de ma stupeur, il me prit de court et glissa sa main entre mes jambes. De nouveau son visage s'empressa d'étreindre mon cou, sensible, brûlant, faible.

Je geins, gémit sous la pression de mon entre jambe en feu. Il me faisait perdre la boule en a rien de temps. C'est trop... Trop bon.

Il avait gagné cette bataille. J'avais cédé sous le plaisir, sous l'émotion, l'envie et le désir.

Je ne pouvais pas m'empêcher de prendre un peux, ne serais-ce qu'un peux part a la jouissance qu'il m'offrait. Ma voie cassante retentis dans la pièce chauffé. La pénombre l'empêchait de voir mon visage , mais ma bouche parlait sans que je le veules. Lorsqu'il empoigna entre ses doigts espères on érection apparente, je lâchât ma menace. Je lui lançait un défis caché :

"-Pas de troisième fois ! "

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Hé. Voilà chapitre 3 fait, pas top mais j'essaye de faire de mon mieux. Des avis ? Des choses à modifier ? J'ai l'impression que l'histoire va un peux vite. Malcom ne résiste pas assez à mon goût. Vous êtes d'accord ?

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-Amelia

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Partie d'echec (Gay)Where stories live. Discover now