~Chapitre 3 : Les règles

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La petite terrasse a l’ambiance campagnarde du CoffeeCup, était presque déserte. Seul quelques courageux osaient bravé le vent qui venait s'infiltrer dans les vêtements, pour venir gelée nos corps . Tous comme moi, ils étaient là , leurs tasses de cafés entres les mains à attendre ; certains étaient patients , d'autres un peux moins. L'hiver approchait a grand pas,le temps changeait a vive allure, et le froid recouvrait déjà la ville de son épais ciel noir . Ma montre affichait bientôt 19h00. Jonathan avait le don de ne jamais être a l'heure. Nous avions rendez-vous vers 18h30 pour discuter: non pas de l'échange de muqueuse qui c'était produit dans la soirée d'hier, mais de mon pathétique dossier de conquête amoureuse. 

L'impatience me rongeait de l'intérieur, elle me donnait un teint morne et faisait frapper nerveusement mon pied contre le sol pavé.Partir ou resté? Cette question tourné en boucle dans la petite bulle qu’était mon cerveau. Je listais toutes les conséquences malheureuses qui risquaient de m'arriver si je ne restais pas, mais je listais aussi les problèmes tactiles qui ce passeraient si je restais. Ma tête bouillonnaient d'idées , de délires plus fous les uns que les autres , mais surtout de films digne des plus grand chefs d'oeuvres de Spielberg. 

Sans prévenir et me prenant par surprise, les images de la nuit dernière venaient me hanter. La sensation de ses lèvres humide dans mon coup, me provoquait de nouveau cette nosé ardente qui me retournait les entrailles. Le ventre noué je terminais d'ingurgité le liquide chaud contenue dans ma petite tasse. Les carillons de l'église Emelyne situé en face de ma table, retentissaient 20h. Ce bruit sourd me ramena très vitre a la réalité de la vie.  Saisissant désormais les deux heures de retard de mon chère inspecteur Jonthan Holms , je me leva agacé . Les quelques pièces qu'avait coûté mon café, sonnèrent lorsqu'elles fuent déposés sur le bois et le grincement de ma chaise vint troublé les discutions des tables voisines. 

Dans mon élan de colère, je marmonnais des phrases exprimant mon mécontentement:

"-Qu'elle abrutie celui-là! Il ce permet de me donné un rendez-vous au qu'elle il ne vient pas, de me faire du chantage et de ma v.ioler a moitié la peau avec sa bouche. Foutage de gueule, oui!"

Me prenant au dépourvus, une chaleur humaine ainsi qu'un toussotement roque vint me stopper  mon ronchonnement d'enfant:

"-Hum.. Ou compte tu allé mon petit Mal?"

Avait-il entendu mes pensées dites a haute voie? J'espère bien que oui , il les mérites. Jonathan me fit alors rasseoir sur ma chaise, en posant ces mains presque brûlante sur mes épaules. Je ne résista pas longtemps, avant de céder sous sa force d'homme. Il continua la discussion avec ses questions rhétoriques, des questions au qu’elles il n'attendait aucune réponse:

"-J'espère tu ne parlais pas de moi a l'instant? J'en serait véxer, il me fit un clin d'oeil moqueur puis se dalla dans la chaise a côté de la mienne. 

-Je n'ai rien dit, tu es comme Jeanne d'arc tu entends des voies Jonathan.."

Ma phrase laissa transparaître l'aversion que j'avais a son égard. Sa tête de petit reptile était parfaitement coiffer, ces cheveux marron tiré en arrière lui donnait beaucoup de charme. Le costard cravate qu'il portait, montrait son côté professionnel et formelle. Simple apparence. Je me surpris moi même à l'observer, et il l'avait remarquer. Sur son visage, ce forma alors un petit sourire narquois.  Une fausset rendait ce sourire encore plus glamour :

"-Ne bave pas trop. J'ai eu des problèmes de transport, excuse moi pour ce retard Mal.

-Malcom, appelle moi Malcom. Je n'ai jamais supporté ce surnom ni les retards. Et puis les SMS sa existe , retoquai-je d'une voie crisper.

-Ne soit pas si désagréable, je veux juste t'aider."

Bah voyons ! M'aider en me proposant un chantage. En me proposant mon corps contre ton silence, et puis quoi?Mon cul ce n'est pas du gruyère . Jonathan repris son discoure d'enquêteur après m'avoir jeté son regard habituelle:

"-Revenons en au sujet. J'ai étouffé l'affaire avec ta femme en lui disant qu'il n'y avait sois-disant rien. Mais elle souhaite continué malgré que j'ai insister hier soir au téléphone."

Ce jeune vicieux, ne me laissa même pas le temps d’encaisser ces dires , que les accusations fusaient déjà :

"-Tu as connue une autre femme moins d'un an après ton mariage, c'est vraiment déplorable .

-Mais non ! Enfin.. si mais elle m'a forcer, je n'ai pas pus résister c'était rien de bien grave , j'ai vite couper les ponts.

-Je voie! Tu es victime d'un complot international liant toutes les femmes contre toi.

-Tout  a fais ! Je suis plus un victime qu'autre..."

Jonathan me coupa la parole, et les menaces retentirent de nouveaux comme un bourdonnement dans mes oreilles:

"-Très bien, on va conclure cette entretien . Je donnes tout a Sandra, tu te débrouilleras avec la demoiselle hein?!"

Le silence. Le silence fut la seul réponse qu'il eu. Je n'avais rien a dire, je ne pouvais pas me défendre . Il m'avait eu deux fois d'affiler, j'étais peut être destiné a perdre face a tout sa.

"-Mon petit Mal, je vais fixer les règles du jeux d'accord?" M'informa t-il avec un sérieux presque troublant.

Je n'avais pas d'autre choix que d'ouvrir grand mes yeux et mes oreilles, et d'accepter les compromis.  Le jeune brun rapprocha son visage du mien pour me souffler a l'oreille ce qu'il allait m'imposé. Sa chaleur naturelle me déclencha un frisson incontrôlable . Il sifflait comme un serpent, fière de lui, fière de ce qu'il allait me dire:

"-J'aurais le droit de te toucher ou je veux, de t'embrasser quand je le souhaite. Mais ce qui va être le plus amusant.. , il marqua une pose tout en restant ces lèvres coller a mon oreille. Ce qui va être le plus amusant est que dans un premier temps, tu n'auras pas le droit de me résister qu'elle que soit le lieu ou on ce trouve . Dans un deuxième temps, tu devras porté les tenues que je t’imposerais."

J'eu un hoquet de surprise a l'évocation du mot "tenue" . Des tenues a porté? Il ce fous de moi . Par reflex je tourna mon visage vers le sien, le fixant droit dans les yeux comme pour le défier:

"-Et si je refuse?

-Je dévoilerai éventuellement le dossier a ta femme."

Mes yeux ce posèrent sur sa main qui c'était  glissé et poser sur ma cuisse. J'acceptais le marcher tordus qu'il venait de me proposé. J'étais un simple lâche. Au fond de moi je bouillonnais d'envie de lui lancer un verre au visage pour par la suite m'enfuir comme un canard en feu. Cependant, il y avait cette autre partie de moi... Cette partie qui me rendait faible face aux femmes et au plaisir charnel . Le côté soumis que j'ai toujours eu au fond de moi prenait alors le dessus.

"-Mais que va t-il m'arrivé.. "

Ces paroles que j'avais marmonné sans m'en rendre compte , me promettait un avenir indécis . Le petite reptile humain m'avait regardé le sourire jusqu'au lèvre, n'ayant qu'une seul envie: Commencer la partie.

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Tada, ce chapitre n'est pas terrible je suis désoler. Il n'y aura pas de lemon dans ce chapitre, on ne peut pas en mettre par tout. Des avis?

-Amelia

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Partie d'echec (Gay)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant