Le vampire au cœur de pierre.

Chapitre 6

PDV Eydis :

         Je n'arrivais pas a croire qu'il m'avait enfermé dans sa chambre, comme si j'étais une enfant ! J'avais déjà 20 ans, j'étais majeure et pas vacciné - puisqu'en temps que loup-garou je n'en avais pas la moindre utilité - ! Rageusement je me mis à tourner en rond. La chambre qu'il m'avait attribuée et que je supposé être la sienne, était particulièrement belle. Sobre et en bois massif, elle était illuminé par l'immense baie vitré, qui même à cette heure avancée de la nuit, baigné la chambre du claire de lune. Epuiser, je me mit à avancer vers le lit mais comment mis résoudre. Malgré ma fatigue intense je ne pouvais abandonner mes parents. Pourtant Sören avait raison, il n'était pas temps pour moi de retourner les aider. D'une part parce que ma fatigue ne me permettrait sans doute pas de réussir le trajet en sens inverse mais aussi parce que je ne serais pas retrouver mon chemin dans cette dense végétation... Je me mis à regarder le lit puis la fenêtre. Dehors une fine pluie déverser ses larmes bleu. Vaincue par la fatigue je m'allongeais sur le lit, ne prenant même pas le temps de me rincer les pieds rougis par la terre et le sang. Dans la précipitation de ma fuite j'étais sortie seulement couverte d'un léger t-shirt et d'un jean déjà trouer par le temps. J'adorais ce jean. Je le portais sans arrêt à tel point que ma mère m'avait plus d'une fois fait me déshabiller devant elle pour qu'elle puisse enfin allé le laver. Oui je le portais tout le temps. Rouler en boule sur le lit mes yeux se fermaient, pourtant mon regard ne pouvait quitter ce jean que j'aimais tant. Couvert de terre et de troue il ressemblait plus à un chiffon bleu qu'à un jean. Oui je le portais tout le temps mais désormais...

- Je ne pourrais plus le porter... 

                                                                                                  ...

Attaché à une table en métal, je n'arrivais pas à bougeait la moindre partie de mon corps. Le métal froid de la table me maintenait éveiller alors que plusieurs jour de privation de sommeil propulser mon cerveau à la rêverie, mais je savais qu'il fallait que je reste réveillé. La dernière fois que j'avais succomber au doux bras de Morphée, ils m'avaient réveillé en arrachant plusieurs de mes ongles et avait continuer plusieurs minutes après que mes hurlements nurent commencer.  Soit disant cela leur avait permis de se rendre compte à qu'elle point ma régénération tissulaire été rapide. Mais ça il le savait déjà et pour cause cette fois la il ne m'avait pas Que arraché des ongles... Je me demandais régulièrement si je l'ai aider vraiment ?  Mais un jour ou j'avais osé leurs posé la questions, l'un des scientifiques m'avait répondu que oui et que grâce à moi il avait la possibilité de rendre le monde meilleur. Ca m'avait rendu heureuse. Ma souffrance servait à une noble cause alors je ne souffrais pas vraiment. Un jour un des scientifiques m'avait expliquer que la souffrance était dans le cerveau et que si je me concentrais très fort je pourrais ne pas la ressentir mais que pour que cela fonctionne je devais commencer par l'intériorisait afin de la faire mienne. J'avais pourtant bien essayer mais rien à faire. Il m'avait était plus ou moins facile d'arrêter de hurler ma douleur mais jamais je n'avais réussi à la faire disparaitre... Bizarre peut être ne fais je pas assez d'effort ?  Prof - Un des scientifiques en charge de moi -, entra dans la pièce un petit bloque note dans la main. Ils arrivaient souvent qu'ils en aient avec eux afin de noter mes réactions à la douleur ou bien les chiffres sur leurs machines qui bipé sans cesse. 

- Bonjour N°20956, me salua-t-il chaleureusement.

- Bonjour Professeur ! Répondis-je. De tous c'étais mon préférer, parce qu'avec lui je pouvais parler ! En règle générale si j'ouvrais trop la bouche même pour hurler on me bâillonnait fermement afin que je me taise, mais avec lui j'avais le droit de parler librement !